Heliski en Alaska. Mars 2005

Posté en tant qu’invité par JM:

Monsieur Waterproof,

vous dites que tous les clignotants climatiques virent au rouge mais je doute fort que les émissions gazeuses rejetées par l’automobile de nos nombreux randonneurs le we sur des trajets parfois très longs et sans co-voiturages, améliorent les choses !
Je doute fort aussi que le nombre de litres de kérosène brûlés par les quelques « héliskis » le we, atteignent la quantité de gazoil brûlés par les randonneurs.
Malheureusement dans la pratique du ski de randonnée, effort ne rime pas avec environnement ! Mais bien évidemment on a le droit de rester hermétique à cette prise de conscience, Mr Waterproof …lol

Posté en tant qu’invité par Waterproof:

Mon Cher JM,

« Quelques héliskis » Je ne crois pas que les héliskieurs qui vont en Alaska s’y rendent à la rame ! Et les gros porteurs consomment un peu plus que ma modeste chariote (moy. 5.8/100km)

Et les hélicos là bas, vous croyez qu’ils font 3 sorties de l’hiver ? Qu’il n’y a qu’Ivan et ses potes de toute la saison ? Ça doit en effet « tourner comme des hélicos » justement, bêtement pour une question de rendement.

Je n’ai jamais pensé 1 min que les trajets que nous faisons pour grimper les talus enneigés soit un bien pour l’environnement. D’autre part il est rare que je parte tout seul, et lorsque nous y allons en équipe on se tasse dans un véhicule pour différentes raisons dont celle de minimiser la pollution.

Mon hermétisme ne m’a pas privé d’écrire dans un message du 7 déc. que je pensais également être une « surcharge » pour l’environnement et que je n’en étais pas toujours très fier.

Je considère également que ceux qui font ce genre d’activité polluent trop à mon goût comme d’autres beaucoup plus respectueux de la nature trouverons que je pollue également trop. La différence c’est que je ne vais pas traiter d’hermétiques ceux qui pourraient m’en faire le grief, mais que j’essaierais de comprendre la teneur de leurs remarques, et pourquoi pas profiter de leurs propos pour améliorer ma conduite envers notre écosystème.

Bien à vous mon Cher JM

Posté en tant qu’invité par pierre:

Où l’on voit que les « Khmers verts » ne sont pas ceux que l’on croit.
Jolie réponse.

Wildernessement à toi.

Posté en tant qu’invité par Pierre:

C’est marrant (ou affligeant), mais c’est toujours le même type d’arguments.
« Quelques héliskieurs » c’est moins dommageable que des milliers de randonneurs…
Une rotation d’hélico ça consomme moins que des milliers de km en voiture, …
Un hélico une fois dans un vallon, ça dérange moins que des milliers de randonneurs dans une saison…
Bientôt on va nous dire qu’une rotation hélico ça rejette moins de CO2 que tous les skirandonneurs qui respirent pendant toute une saison donc…

Comme si les héliskieurs se déplaçaient à vélo, se chauffaient au bois et bouffaient les salades de leur jardin le restant de l’année…

Si on me dit: « j’ai envie de me taper une super descente dans de la poudre sans personne ou presque autour et sans transpirer. Le reste je m’en fous… »
C’est discutable mais au moins ça a le mérite de la franchise.

Mais si on se fait traiter d’hermétique et d’intolérant quand on critique l’héliski en avançant de nombreux arguments (je ne vais pas les répéter, tout a déjà été dit…) ça devient gonflant.

C’est sûr, tout le monde pollue et rejète du CO2 (déjà en respirant…) mais c’est pas la peine d’en rajouter.

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

C’est marrant (ou affligeant), mais c’est toujours le même type
d’arguments.

t’as remarqué aussi!? le plus drole, c’est que si tu remplaces hélicoptère par motoneige, quad, 4*4, trial, tu obtiens la meme « argumentation »…

Posté en tant qu’invité par Waterproof:

Bon on a pas encore parlé des pets de vaches et du méthane que ça dégage.
Suis sûr que 100 têtes de bétail doit être l’équivalant de pollution d’une rotation d’hélico. Donc tuons les vaches on pourra faire de l’héliski.

Posté en tant qu’invité par naguy:

Salut la troupe,

A voir certaines choses qui ont été écrite, je crois reconnaitre les paroles de certains mais cette fois, je ne suis pas venu pour polémiquer, juste pour donner des points de réflexion qu’il me sembles n’ont pas été abordés.

Une des choses qui est souvent revenue et que aussi bien ce que j’appellerai: « Les pseudo écolo » pour aller plus vite et sans offenses et chez les « freerider fou » et le fait que aussi bien les uns que les autres polluent pour aller s’adonner à leur passion. Aussitôt après il a été fait souvent remarquer que ce n’était pas une raison pour polluer plus.
Je ne vais pas juger mais juste dire qu’il est trop facile d’arrêter le raisonnement à la frontière où il peut nous servir et où il commence à devenir génant.
En plus simple, moi je me permet parce que ça m’arrange et interdis aux autres de faire plus parce que j’ai juger de manière subjective que c’est comme ça.

Ensuite l’argument a été amené que ça dérange. C’est effectivement pas tout faux mais il me semble que les endroits de dépose sont connu et qu’il y a emplement moyen des les éviter voir même toute la valée en question.

Il sera retorqué que c’est de l’individualisme pure et de la sans gêne de la part de personnes qui ne pensent qu’à elle. Il suffirait de tourner le problème en sens inverse et de se demander de quel droit il serait possible d’interdire à un freerider fou d’aller en hélico sans ce dire que là, on l’emmbète aussi. Et que donc on lui fait exactement ce qu’on lui reproche de faire.

En conclusion, je vais dire plusieurs choses, il faut apprendre la tolérence, le respect des autres, se dire que certain font de l’hélico nous pas pour polluer mais uniquement pour rider plus, prendre conscience qu’aussi bien les alpes que les autres chîne de montagne sont assez grande pour tout le monde et que lorsque des skieurs étrangers viennent chez nous, ski, pistes ou rando ils trouvent nos alpes les plus belles.

Mais le sujet de réflexion faisant office de conclusion ultime et que je me demande commment on peut, tous sur ce forum, espèrer le respect lors de courses alors que nous n’en avons déjà pas à la maison.
Ceci faisant référence à bon nombre de propos tenu sur ce tchat mais aussi sur tout le forum.

               Merci d'avoir pris le temps de lire ce que j'ai pensé et  A+, Naguy

Posté en tant qu’invité par naguy:

Salut la troupe,

A voir certaines choses qui ont été écrite, je crois reconnaitre les paroles de certains mais cette fois, je ne suis pas venu pour polémiquer, juste pour donner des points de réflexion qu’il me sembles n’ont pas été abordés.

Une des choses qui est souvent revenue et que aussi bien ce que j’appellerai: « Les pseudo écolo » pour aller plus vite et sans offenses et chez les « freerider fou » et le fait que aussi bien les uns que les autres polluent pour aller s’adonner à leur passion. Aussitôt après il a été fait souvent remarquer que ce n’était pas une raison pour polluer plus.
Je ne vais pas juger mais juste dire qu’il est trop facile d’arrêter le raisonnement à la frontière où il peut nous servir et où il commence à devenir génant.
En plus simple, moi je me permet parce que ça m’arrange et interdis aux autres de faire plus parce que j’ai juger de manière subjective que c’est comme ça.

Ensuite l’argument a été amené que ça dérange. C’est effectivement pas tout faux mais il me semble que les endroits de dépose sont connu et qu’il y a emplement moyen des les éviter voir même toute la valée en question.

Il sera retorqué que c’est de l’individualisme pure et de la sans gêne de la part de personnes qui ne pensent qu’à elle. Il suffirait de tourner le problème en sens inverse et de se demander de quel droit il serait possible d’interdire à un freerider fou d’aller en hélico sans ce dire que là, on l’emmbète aussi. Et que donc on lui fait exactement ce qu’on lui reproche de faire.

En conclusion, je vais dire plusieurs choses, il faut apprendre la tolérence, le respect des autres, se dire que certain font de l’hélico nous pas pour polluer mais uniquement pour rider plus, prendre conscience qu’aussi bien les alpes que les autres chîne de montagne sont assez grande pour tout le monde et que lorsque des skieurs étrangers viennent chez nous, ski, pistes ou rando ils trouvent nos alpes les plus belles.

Mais le sujet de réflexion faisant office de conclusion ultime et que je me demande commment on peut, tous sur ce forum, espèrer le respect lors de courses alors que nous n’en avons déjà pas à la maison.
Ceci faisant référence à bon nombre de propos tenu sur ce tchat mais aussi sur tout le forum.

Merci d’avoir pris le temps de lire ce que j’ai pensé et A+, Naguy

Ps désolé je voulais le mettre en bas et pas en haut

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

naguy a écrit:

Une des choses qui est souvent revenue et que aussi bien ce que
j’appellerai: « Les pseudo écolo » pour aller plus vite et sans
offenses et chez les « freerider fou » et le fait que aussi bien
les uns que les autres polluent pour aller s’adonner à leur
passion. Aussitôt après il a été fait souvent remarquer que ce
n’était pas une raison pour polluer plus.
Je ne vais pas juger mais juste dire qu’il est trop facile
d’arrêter le raisonnement à la frontière où il peut nous servir
et où il commence à devenir génant.

Effectivement, l’endroit où on place la limite du « droit de polluer » ou du droit de « gêner » peut donner matière à discussion.
Par contre quand on essaie de nous faire croire que la gêne et la pollution occasionnées par un héliskieur (ou autre utilisateurs de loisirs mécanisés) sont les mêmes , voire moindre que celle d’un skirandonneur on se fout du monde.

Posté en tant qu’invité par JJB:

les vaches sont la plus grosse source de pollution (par le méthane ) sur la planète, avec effet de serre, voir l’Inde, etc
juste après, le randonneur standard qui dégaze son petit déj à la montée

Posté en tant qu’invité par Bubu:

Une des choses qui est souvent revenue et que aussi bien ce que
j’appellerai: « Les pseudo écolo » pour aller plus vite et sans
offenses et chez les « freerider fou » et le fait que aussi bien
les uns que les autres polluent pour aller s’adonner à leur
passion. Aussitôt après il a été fait souvent remarquer que ce
n’était pas une raison pour polluer plus.
Je ne vais pas juger mais juste dire qu’il est trop facile
d’arrêter le raisonnement à la frontière où il peut nous servir
et où il commence à devenir génant.
En plus simple, moi je me permet parce que ça m’arrange et
interdis aux autres de faire plus parce que j’ai juger de
manière subjective que c’est comme ça.

T’inquiète, on se permet de continuer le raisonnement.

Ensuite l’argument a été amené que ça dérange. C’est
effectivement pas tout faux mais il me semble que les endroits
de dépose sont connu et qu’il y a emplement moyen des les
éviter voir même toute la valée en question.

Ah ben oui, en Savoie ça veut dire qu’il faut éviter le Glacier de Tré la Tête, le Glacier des Glaciers, les vallons autour du Miravidi et une bonne partie des vallons sur la frontière entre le Petit St Bernard et le Mont Cenis. Lorsqu’on est en Tarentaise ou en Maurienne, si on veut éviter l’héliski d’un côté et les stations de l’autre, il ne reste plus grand chose à part la zone centrale du Parc, qui représente le 1/4 de la surface des 2 vallées !

Il sera retorqué que c’est de l’individualisme pure et de la
sans gêne de la part de personnes qui ne pensent qu’à elle. Il
suffirait de tourner le problème en sens inverse et de se
demander de quel droit il serait possible d’interdire à un
freerider fou d’aller en hélico sans ce dire que là, on
l’emmbète aussi. Et que donc on lui fait exactement ce qu’on
lui reproche de faire.

Non, c’est faux ! Le randonneur ne lui fait pas exactement ce qu’il reproche à l’héliskieur.

  • Le randonneur gène l’héliskieur en interdisant l’héliski.
  • L’héliskieur gène le randonneur par sa seul présence (enfin par la nécessité de l’hélico), il n’a pas besoin d’interdire la randonnée pour le gèner ! Et par contre il n’est pas gèné par la présence des randonneurs (enfin pas plus que les randonneurs entre eux ou les héliskieurs entre eux).

Posté en tant qu’invité par Régis:

A quoi ça rime d’avancer des arguments par rapport à l’écologie alors qu’en fait ce qui dérange les randonneurs c’est ce bouquant infernal que va faire l’hélico en passant au dessus de sa tête.

Le randonneur veut le silence et est donc gèner par le freerider et son hélico bruyant.
Le randonneur lui ne gène pas le freerider et son hélico. Donc c’est lui qui râle : c’est normal.

Par contre ramener là dessus les problèmes d’impact sur l’environnement c’est du foutage de geule car tout le monde pollue d’une manière ou d’une autre (avion, voiture,fabrication de nos matériels respectifs,…). De même tous les pratiquants de la montagne hivernale, randonneur ou freerider, dérangent la faune et donc l’oblige à consommer beaucoup d’énergie pour les éviter, alors que la période hivernale correspond pour eux à moins de ressource (pas d’herbe) et plus de dépense (plus froid).

En définitive je suis bien content qu’en Fance la dépose en hélico soit interdite et que les parcs résistent aux pressions des stations. Par contre il faut bien réaliser que ceci ce fait grâce à la mobilisation de quelques uns et non pas juste parce qu’il y a des lois … Mais aussi que d’autre personnes se mobilisent pour interdire nos pratiques en milieu naturel (raquette, ski de rando, escalade, … et leur impact sur la faune).

Donc attention au développement des argumentations écologistes qui, pousser à l’extrème, peuvent interdire la dépose en hélico ET le ski de rando …

Posté en tant qu’invité par JCG:

Régis a écrit:

Donc attention au développement des argumentations écologistes
qui, pousser à l’extrème, peuvent interdire la dépose en hélico
ET le ski de rando …

Et pourquoi pas, si ponctuellement un enjeu fort est avéré ça me parait envisageable.
(tapez pas trop fort SVP !)

Posté en tant qu’invité par Agnès:

Régis a écrit:

A quoi ça rime d’avancer des arguments par rapport à l’écologie
alors qu’en fait ce qui dérange les randonneurs c’est ce
bouquant infernal que va faire l’hélico en passant au dessus de
sa tête.
Le randonneur veut le silence et est donc gèner par le
freerider et son hélico bruyant.
Le randonneur lui ne gène pas le freerider et son hélico. Donc
c’est lui qui râle : c’est normal.

Pour moi, les nuisances sonores ont des conséquences écologiques indéniables et sont à ranger avec les autres types de pollutions. D’ailleurs, à moins que toute la faune alpine soit devenue sourde (dans certains coins, ça ne serait pas étonnant), le bouquant infernal que va faire l’hélico en question doit bien avoir sur elle un peu plus d’impact que le simple passage de randonneurs…

Par contre ramener là dessus les problèmes d’impact sur
l’environnement c’est du foutage de geule car tout le monde
pollue d’une manière ou d’une autre (avion, voiture,fabrication
de nos matériels respectifs,…). De même tous les pratiquants
de la montagne hivernale, randonneur ou freerider, dérangent la
faune et donc l’oblige à consommer beaucoup d’énergie pour les
éviter, alors que la période hivernale correspond pour eux à
moins de ressource (pas d’herbe) et plus de dépense (plus
froid).

Comme on a déjà débattu et avancé des arguments contradictoires là-dessus y’a pas très longtemps, on va pas recommencer. Pour info, lis donc le fil « question provocatrice ».

En définitive je suis bien content qu’en Fance la dépose en
hélico soit interdite et que les parcs résistent aux pressions
des stations. Par contre il faut bien réaliser que ceci ce fait
grâce à la mobilisation de quelques uns et non pas juste parce
qu’il y a des lois … Mais aussi que d’autre personnes se
mobilisent pour interdire nos pratiques en milieu naturel
(raquette, ski de rando, escalade, … et leur impact sur la
faune).

Donc attention au développement des argumentations écologistes
qui, pousser à l’extrème, peuvent interdire la dépose en hélico
ET le ski de rando …

…dans certains coins ? Pourquoi pas après tout !

Agnès

Posté en tant qu’invité par pierre:

C’est plus qu’envisageable : c’est déja réalisé ( vallon de Lauvitel, près du Lautaret) !

A titre perso, et ça n’est qu’une opignon : j’espère qu’il y en aura de plus en plus, même si cela réduit notre espace, déja si terriblement amputé par les stations.

Il me semble que l’idée d’espace « sacralisé », « sanctuarisé » est une question de survie pour l’espèce humaine, encore plus que pour la planète (même si les deux sont intimement liée, bien sûr).
Ne gagnons-nous pas dans cette perspective un espace où l’idée même de wilderness peut survivre, dans notre tête tout autant que dans l’espace ?

Posté en tant qu’invité par Régis:

le « dans certains coins » pourrait devenir « partout dans les parcs N ou R » et ça je n’en veux pas du tout : car cela nous obligera à nous cantonner dans nos belles villes et jolis parcs urbains surpeuplés.

Il y’a beaucoup de personnes à qui cela convient , mais il y’en a quelques autres qui ont envie de se promener dans des zones non urbanisées et à peu près seul ; j’espère qu’on nous laissera cela dans les 10 ans à venir ! Mais il faudra être vigilant là dessus …

A+

Posté en tant qu’invité par JCG:

pierre a écrit:

C’est plus qu’envisageable : c’est déja réalisé ( vallon de
Lauvitel, près du Lautaret) !

C’est vrai, mais difficile de dire que c’est le ski de rando qui y est interdit, c’est en fait toute pénétration humaine autre que scientifique, c’est une réserve intégrale ayant pour but d’étudier les processus naturels en l’absence d’intervention humaine.
(moi j’y suis allé nananère)

A titre perso, et ça n’est qu’une opignon : j’espère qu’il y en
aura de plus en plus, même si cela réduit notre espace, déja si
terriblement amputé par les stations.

Il me semble que l’idée d’espace « sacralisé », « sanctuarisé » est
une question de survie pour l’espèce humaine, encore plus que
pour la planète (même si les deux sont intimement liée, bien
sûr).

oui, mais c’est partout et tout le temps qu’il faut essayer de faire mieux. Les sanctuaires sont de belles vitrines mais ne doivent pas être une bonne conscience justifiant le n’importe quoi ailleurs.

Ne gagnons-nous pas dans cette perspective un espace où l’idée
même de wilderness peut survivre, dans notre tête tout autant
que dans l’espace ?

Posté en tant qu’invité par Waterproof:

J’aimerais bien trouver des documents sur l’impact des skieurs de randonnées sur la faune. Je ne sais pas si des études sérieuses existent à ce sujet.
Je crois que nous devons également nous soucier de cette problématique et, suivant les informations à notre disposition éviter des endroits critiques pour la faune hivernale.
Faire un effort volontaire et plus motivant que de subir des lois contraignantes imposées parce que nous n’avons pas pu ou voulu prendre les devants, afin de respecter nos amies les bestioles (que l’on prend pourtant plaisir à admirer dans des positions majestueuses plutôt que dans le stress de la fuite)

Posté en tant qu’invité par JCG:

Régis a écrit:

le « dans certains coins » pourrait devenir « partout dans les
parcs N ou R »
Zones Centrrales des PN admettons (et encore nos députés travaillent à détruire ce seul statut à peu près béton),
mais les Parcs Régionaux, laisse moi rire… Le jour où un PNR protègera le milieu naturel de façon contraignante, il n’y aura plus de neige en montagne. (OK, j’exagère mais je me comprend)

Il y’a beaucoup de personnes à qui cela convient , mais il y’en
a quelques autres qui ont envie de se promener dans des zones
non urbanisées et à peu près seul ; j’espère qu’on nous
laissera cela dans les 10 ans à venir ! Mais il faudra être
vigilant là dessus …

OK, cela dit je ne crois pas à autant de puissance de la part des lobbys écolos, souvent largement éxagérée par leurs détracteurs.

A+

Posté en tant qu’invité par Agnès:

Effectivement, la démarche serait très intéressante.
Pour les infos sur le dérangement, il faut chercher du côté de l’OGM (Observatoire des Galliformes de Montagne, et non pas…), mais je n’ai rien trouvé en ligne pour l’instant.

Sinon sur l’impact des cables j’ai trouvé ça :
http://www.frapna.org/site/isere/doc-actu/Tetras.htm
mais plein d’études ont été réalisées sur ce thème…

Agnès