Guide abandonné en Argentine

Posté en tant qu’invité par guillaume:

OK, c’est difficile de juger quand on a pas assisté à toute la scène, mais tout de même: il y avait un gars qui filmait !
je trouve ça hallucinant et indescent.
Dans une situation pareille il me semble que c’est pas le moment de filmer ou prendre des photos… Tu ranges ta caméra et tu aides, vous ne trouvez pas ? preuve qu’ils ne devaient pas se sentir en perdition…
et à quoi ça sert de trainer un gars malade au bout d’une corde vers le sommet ? entre 400 m vers le sommet et 600 m de descente vers le C2, le choix qu’ils ont fait semble difficile à comprendre et les images sont abominables… J’espère que l’on en saura plus.
Mais bon, il ne faut pas oublier que les secouristes ont sauvé le reste du groupe et ont pris des risques pour leur propre peau.

Posté en tant qu’invité par inhumain:

pas un pour le prendre dans ses bras , pas un pour lui donner des paorles de réconfort…un chien aurait été mieux traité…pour avoir lu qqs témoignages sur la très haute altitude , y a longtemps que je sais qu’à partir d’une certaine zone on est plus des humains mais uniquement des bêtes habités par l’instinct de survie…

Le sauver était peut-être difficilevoir impossible, mais au moins un peu de réconfort et d’accompagnement. Pas un geste d’umanité. Vraiment je suis choqué!

note pour plus tard: si un jour je fais l’aconcagua, j’irai avec mes propres sauveteurs.

Posté en tant qu’invité par Lolo:

C’est clair que nous n’avons pas toutes les cartes en main pour juger ce triste évènement. Toutefois, en tant que pratiquant et sapeur pompier, je suis dégouté, écœuré et attristé par l’attitude des 6 membres (5 + 1 cameraman) de la caravane de secours. Pas un seul ne tente de soutenir le guide ou de le redresser sur ces jambes. On entend même des insultes ! Et on appelle ces gens là des secouristes !
La scène se déroule en altitude dans des conditions extrêmes mais des comportements tels que ceux là ne sont pas digne de montagnards. Toutes mes condoléances aux familles des victimes.

Du point de vue d’un néophyte…

Il me semble que lorsqu’on s’engage dans une course comme celle-ci, il ne faut s’en remettre qu’à soi-même (compétences, connaissances, résistance…) et à la chance (risques objectifs). Faire cette ascension comportait des risques, et je pense que le guide le savait (sa cordée aussi, je l’espère). Être secouru n’est pas un dû. Être secouru est une chance (3 rescapés quand même… merci pour eux).

Cela dit, je ne vois pas comment il est possible, pour un sauveteur (ou pour qui que ce soit d’ailleurs), d’abandonner une personne à l’agonie. Je ne comprend pas ! À la vue des images, les sauveteurs ne « semblaient » pas être en détresse… mais à leur décharge, peut-être ont-ils su que du gros mauvais temps allait leur tomber dessus… et qu’au lieu de 2 personnes (pour cette course), ça allait être 8 s’ils n’avaient pas « abandonné » ! Je ne sais pas !!

Pour ce qui est des insultes, c’est difficile de juger. Parfois, dans des situations extrêmes, bousculer l’amour propre d’une personne permet, en la faisant « sortir de ses gonds », de la sauver ! Lui ont-ils au moins donné de la « chaleur humaine » avant de le laisser ? (c’est le moins qu’on puisse espérer)… Avons-nous toutes les images ?

Difficile de juger ! En tous cas, mis à part le fait qu’une personne tenait la caméra au lieu d’aider (quoique, pour certaines manœuvres, une personne de plus, c’est une personne de trop… car gênant les manips), je ne vois pas pourquoi ce (non)sauvetage mériterait plus qu’un autre une enquête (parce qu’il a été filmé ??). Espérons au moins qu’elle aura le mérite d’aider les alpinistes qui se trouveront dans la même situation à s’en sortir.

Bien que la diffusion de cette vidéo fut pour le moins d’une grande indélicatesse, je n’ose croire qu’elle fut publiée à dessein par l’auteur pour le « spectacle » !

Condoléances aux familles des victimes.

[quote=« jo64, id: 845857, post:20, topic:84237 »]

[quote=« davidauboulot, id: 845727, post:15, topic:84237 »]Par contre a 6500 en redescendant une personne atteinte d’un MAM violent, on peut la sauver.

Ne serait ce pas plutot la meteo (froid + vent + horaire tardif???) qui justifie leur decision? Se sauver eux plutot que de tous y passer?[/quote]

D’après les commentaires, il était atteint d’un oedème pulmonaire, alors essayer de lui faire monter les 400m vers le sommet n’est pas une bonne solution, sauf comme tu l’écris avoir des impératifs de survie du groupe? visiblement ils ne semblent pas avoir de matériel de secours.
D’après la vidéo il n’y a pas de vent, la neige tombe normalement.[/quote]

Ce que je voulais dire: ils se sauvent eux plutot que de le trainer. Peut etre logique vu les conditions!

Perso, je me suis retrouvé a 14h a quasi 6000 a l’Aconcagua 3 jours avant de me faire le sommet. Temps de merde. j’ai ete pris dans le vent et les nuages: ben les temperatures degringolent tres tres vite, et alors tu fais tres tres vite pour descendre!!! Ce meme jour, un nuage lenticulaire s’est forme (ce que je ne pouvais pas voir de la ou j’etais mais que j’ai vu en redescendant!!!), signe de tres gros mauvais temps.

Bref, dans leur situation: tu le laisses la a 6500, et tu penses a te sauver toi sans… avoir a porter davantage qui t’ammenerait a une mort quasi certaine.

Posté en tant qu’invité par Aaaa…tchoum:

[quote=« David_, id: 846089, post:27, topic:84237 »]

[quote=« jo64, id: 845857, post:20, topic:84237 »]

[quote=« davidauboulot, id: 845727, post:15, topic:84237 »]Par contre a 6500 en redescendant une personne atteinte d’un MAM violent, on peut la sauver.

Ne serait ce pas plutot la meteo (froid + vent + horaire tardif???) qui justifie leur decision? Se sauver eux plutot que de tous y passer?[/quote]

D’après les commentaires, il était atteint d’un oedème pulmonaire, alors essayer de lui faire monter les 400m vers le sommet n’est pas une bonne solution, sauf comme tu l’écris avoir des impératifs de survie du groupe? visiblement ils ne semblent pas avoir de matériel de secours.
D’après la vidéo il n’y a pas de vent, la neige tombe normalement.[/quote]

Ce que je voulais dire: ils se sauvent eux plutot que de le trainer. Peut etre logique vu les conditions!

Perso, je me suis retrouvé a 14h a quasi 6000 a l’Aconcagua 3 jours avant de me faire le sommet. Temps de merde. j’ai ete pris dans le vent et les nuages: ben les temperatures degringolent tres tres vite, et alors tu fais tres tres vite pour descendre!!! Ce meme jour, un nuage lenticulaire s’est forme (ce que je ne pouvais pas voir de la ou j’etais mais que j’ai vu en redescendant!!!), signe de tres gros mauvais temps.

Bref, dans leur situation: tu le laisses la a 6500, et tu penses a te sauver toi sans… avoir a porter davantage qui t’ammenerait a une mort quasi certaine.[/quote]

NON!
Parmi tous le gestes qui SAUVENT ou qui ADOUCISSENT LA FIN il y a: injection de dexaméthasone (tube unique qu’en grande altitude on porte sur soi), ox médical, réchauffer (sac de bivouac / couverture de survie / abri de neige), transport vers le bas (perdre de l’altitude) en faisant glisser sur la neige si nécessaire, chaleur humaine et respect…
Je connais bien l’Aconcagua et les 8000. J’ai participé à des sauvetages à des altitudes entre 7 et 8000 mètres. On peut toujours faire quelque chose, un petit quelque chose, un tout petit quelque chose. Sauver une vie perdue dans la tempête est extrêmement difficile, mais… parfois réalisable.
En ce qui concerne le cas du malheureux guide évoqué plus haut: nous n’avons pas les éléments nécessaires pour apprécier la situation réelle. Oui! on entend le mot: imbécile. Mais il me semble aussi entendre des sanglots (le désespoir dû au sentiment d’impuissance d’un ou de plusieurs secouristes?)
J’ai la conviction intime que chacun a donné le meilleur de lui-même lors de ce drame.
Alors, à la victime: camarade alpiniste repose en paix; à ses proches: ma sympathie; à ceux qui ont tenté d’aider: merci.

Sincèrement et après avoir consulté pas mal de sites, c’est la seule chose qui me choque réellement dans cette affaire est que les sauveteurs n’aient pas monté des équipements ou instruments de survie et que le guide italien n’ait pas été médicalisé même sommairement sur place.

Je peux parfaitement comprendre qu’il ait été impossible de remonter ce guide ou de le redescendre sans mettre en danger d’autres vies, qu’on l’insulte pour provoquer chez lui une réaction, qu’il n’y ait pas eu de mots de réconforts à 6500m d’altitude par - 40°C j’imagine et au beau milieu d’une tempête (on n’est quand même pas dans un film américain). Mais je ne m’explique pas cette absence. :expressionless:

Pour ce qui est du film, il a apparemment été transmis à la famille de la victime et il est aussi possible que ce soit elle qui ait décidé de diffuser les images. Je serais prudent sur la question.

Il y a des précisions sur les circonstances de la vidéo sur kairn : http://www.kairn.com/news_montagne~66972.video-secours-aconcagua-dessous-affaire.html?#n66972

Posté en tant qu’invité par guillaume:

[quote=« Aaaa…tchoum, id: 846142, post:28, topic:84237 »]NON!
Parmi tous le gestes qui SAUVENT ou qui ADOUCISSENT LA FIN il y a: injection de dexaméthasone (tube unique qu’en grande altitude on porte sur soi), ox médical, réchauffer (sac de bivouac / couverture de survie / abri de neige), transport vers le bas (perdre de l’altitude) en faisant glisser sur la neige si nécessaire, chaleur humaine et respect…
Je connais bien l’Aconcagua et les 8000. J’ai participé à des sauvetages à des altitudes entre 7 et 8000 mètres. On peut toujours faire quelque chose, un petit quelque chose, un tout petit quelque chose. Sauver une vie perdue dans la tempête est extrêmement difficile, mais… parfois réalisable.
En ce qui concerne le cas du malheureux guide évoqué plus haut: nous n’avons pas les éléments nécessaires pour apprécier la situation réelle. Oui! on entend le mot: imbécile. Mais il me semble aussi entendre des sanglots (le désespoir dû au sentiment d’impuissance d’un ou de plusieurs secouristes?)
J’ai la conviction intime que chacun a donné le meilleur de lui-même lors de ce drame.
Alors, à la victime: camarade alpiniste repose en paix; à ses proches: ma sympathie; à ceux qui ont tenté d’aider: merci.[/quote]

bien d’accord avec atchoum !!
l’altitude n’est pas une excuse à l’inhumanité. à lire certains, passée une certaine altitude l’homme devient un animal… pas d’accord !
c’est par contre un bon révélateur de personnalité. dans le cas présent, ce qui choque le plus c’est l’apparent dénuement des « secouristes »: aucun matos médical mis en oeuvre. c’est trés curieux. par contre il y avait une caméra !!
on a plus l’impression d’une équipée de gardes du parc ou de guides venus remettre sur la bonne voie la cordée égarée. en revanche ils ne devaient pas être véritablement formés aux secours (on imagine mal le PGHM trainer au bout d’une corde un gars qui a un oedème vers le sommet du Mt blanc pour le faire descendre de l’autre côté !!).
le pire dans tout ça c’est que l’on ne voit que 30 secondes d’une action qui s’est déroulée sur plusieurs heures… j’espère que l’on voit le pire.
en tout cas, ça remue les tripes et ça rappelle à chacun que tout peut vite basculer là haut.

Certes, mais il ne faut pas oublier qu’on n’est pas à Chamonix. Je ne connais pas ces coins-là mais il serait étonnant qu’ils aient un service de secours organisé aussi efficacement que le PGHM.

[quote=guillaume]dans le cas présent, ce qui choque le plus c’est l’apparent dénuement des « secouristes »: aucun matos médical mis en oeuvre. c’est trés curieux. par contre il y avait une caméra !!
on a plus l’impression d’une équipée de gardes du parc ou de guides venus remettre sur la bonne voie la cordée égarée. en revanche ils ne devaient pas être véritablement formés aux secours (on imagine mal le PGHM trainer au bout d’une corde un gars qui a un oedème vers le sommet du Mt blanc pour le faire descendre de l’autre côté !!).
le pire dans tout ça c’est que l’on ne voit que 30 secondes d’une action qui s’est déroulée sur plusieurs heures… j’espère que l’on voit le pire.
en tout cas, ça remue les tripes et ça rappelle à chacun que tout peut vite basculer là haut.[/quote]

Je suis d’accord avec toi quant au caractère violent et choquant de la vidéo.

Mais je viens de lire le lien de tintin: ces hommes ne sont pas des secouristes mais des guides. Apparemment, ils ont raccompagnés les survivants au camp de base avant de remonter. Peut-être pensaient-ils que le guide serait mort? Je pense que ça a dû être sacrément difficile pour eux de se retaper l’ascension dans des conditions météo mauvaises. Cela ne peut-il pas expliquer un certains nombre de choses? Et puis, l’Argentine ce n’est pas la France. Les secours en montagne là-bas ne sont probablement pas les même qu’ici.
La question de la caméra et de leur apparente inhumanité reste. Cependant on voit, à plusieurs reprises qu’ils s’excusent presque de ne pas pouvoir le remonter. Méfions-nous des images. La justice tranchera.

Et le plus incompréhensible est que le caméraman, une fois en sécurité, reposé, chez lui, n’ait pas détruit cette vidéo ; et qu’elle se soit retrouvée entre les mains du père de la victime.
« A chaud », à près de 7000m, on peut comprendre bien des folies, mais à froid…
A moins que le caméraman ait désapprouvé l’attitude de ses compagnons, et qu’il ait voulu garder une preuve ce cette attitude ?
Bref, beaucoup de points obscurs, voire invraissemblables…
Et donc oui, méfions-nous des images, et laissons faire l’enquête.

En fait ce que je ne comprends pas c’est la raison d’être de ce film, comment peut-on avoir besoin de filmer cette scène ? Ce ne sont, si il faut, que quelques moments, peut être choisis, parmi les pires, sur une heure… mais pourquoi faire une vidéo ?

On peut se poser des questions sur leur attitude, mais après avoir vu le reportage « Everest : des médecins aux frontières de la mort » et le passage où un groupe de grimpeurs regarde leur collègue crever a petit feu sans réagir, il semble bien difficile de porter des jugements sur la faculté d’analyse de l’esprit humain a de telles altitudes.

Je me suis fait la même réflexion que J.Marc au final. Quoi qu’il en soit ça retourne les tripes : des situations que je n’aimerai pas vivre, des choix auxquels je n’aimerai pas être confronté et dont on ne sort surement pas mentalement indemne.

Posté en tant qu’invité par guillaume:

le lien de Tintin est interessant. on peut y lire le commentaire suivant:

[quote]Les personnes présentes sur la vidéo sont deux gendarmes et 4 guides volontaires habitués de la montagne. Certains ont fait le sommet avec leurs client le jour même ou le jour précédent, avant de remonter vers le sommet pour venir en aide a Federico.
Il n’y a ni oxygène, ni brancard dans les camps d’altitude sur l’Aconcagua (impossible de laisser du matériel a demeure, il serait détérioré ou volé rapidement). Les services de secours sont concentrés au camp de base à Plaza de Mulas à 4300m avec une antenne légère à 5400m à Nido de Condores.
[/quote]

Lire l’article complet ici :
http://www.kairn.com/news_montagne~66972.video-secours-aconcagua-dessous-affaire.html?#n66972

ça expliquerait pas mal de choses. on parle à tort de "secouristes " dans les médias.

Voici quelques infos pour éclaircir la situation à propos d’une intervention des « patrouilles » de secours sur le terrain, tiré de la page de:
www.aconcaguaexpeditions.com.

Je ne porterais aucun jugement sur ce réglement, tu dois l’accepter quand tu pénétre dans le Parc avec le payement du permis,et donc j’essaye d’informer de cette situation différente de celle que l’on peut connaitre en France notamment.

« Pour pouvoir entrer dans le Parc Provincial de l’Aconcagua, il est nécessaire d’obtenir un permis. Il doit être demandé de manière personnelle au bâtiment Cuba, situé dans la ville de Mendoza (rue Las Tipas et avenue Los Robles, au Parc General San Martín). En signant ce permis, la personne dégage de toute responsabilité la Direction des Ressources Naturelles et Renouvelables (Une entité estatale chargé de l’administration du Parc de l’Aconcagua) et au Gouvernement de la Province de Mendoza, de tout accident qu’elle pourrait avoir dans le parc et elle accepte ce qui établit le Règlement d’Utilisation du Parc. »

www.aconcaguaexpeditions.com/frances/1/ingresoypermisos.htm

« Les routes de la Face Sud et du Glacier des Polonais ne sont pas dans la zone prise en charge par les patrouilles, car il s’agit de routes à haut risque. Alors, les alpinistes qui décident de les emprunter pour tenter l’aventure doivent prendre toutes les précautions nécessaires pour pouvoir faire face à une urgence. »

www.aconcaguaexpeditions.com/frances/7/patrullarescate.htm

[i]« Hago constar que desligo de toda responsabilidad al gobierno de la Provincia de Mendoza por cualquier accidente que pueda occurir, dado que marcho por mi exclusiva cuenca y desga y declaro conocer la réglamentacion y recomendaciones a los visitantes del Parque. »

« I make it known that the gouvernment of the Province of Mendoza is not responsible for any accident which may occur, as i trek exclusively on my own risk and behalf. »[/i]

Ceci est la retranscription en Anglais ou espagnol d’une phrase figurant sur le papier que l’on signe pour l’obtention du permis d’entrée dans le Parc de l’Aconcagua.

Le lien: www.aconcagua.com/english/download/d-zips/climb.pdf
ou www.aconcagua.com/home/frame.htm où l’on peut trouver
quelques infos.

Il faut aller sur les pages de liens pour lire l’ensemble et mieux
comprendre le contexte de l’Aconcagua et de son Parc.

Vais encore etre cru… mais faut accepter certaines facettes de la vie.

On ne préjuge pas de ses qualités avant de, et il faut peut etre savoir renoncer de temps en temps ou meme definitivement, Pro ou pas

Certes, dans cet environnement, on ne raisonne plus de la meme facon.

On sait tous les risques que l’on prend pour satisfaire nos passions diverses (montagne ou autres). On les accepte. Quand le pire arrive, ben ce doit etre pareil. Y’a pas a blamer un tel ou un autre pour trouver des responsables lorsque l’on ne peut plus et que l’on persiste pour en arriver la. Pire encore quand la meteo n’est pas de la partie.

Les images: ouais, on en a vu d’autres. Suffit juste de regarder les JT!

Comme le dit Olivier, on signe un permis que l’on paie, meme cher (350 dollars en 2008) pour tenter de grimper la haut. Ben si on ne peut pas, on reste en bas, ou on fait demi tour. Et ca restera toujours une belle balade!

En effet, c’est bon à savoir et ça explique pas mal de choses.

Cependant cela n’explique pas tout, et la question est alors de savoir s’il est normal qu’aucune patrouille de secouristes n’ait apparemment tenté de porter secours en aucune façon au guide italien malgré l’existence de ce règlement.

[quote=« capitole, id: 846281, post:39, topic:84237 »]

En effet, c’est bon à savoir et ça explique pas mal de choses.

Cependant cela n’explique pas tout, et la question est alors de savoir s’il est normal qu’aucune patrouille de secouristes n’ait apparemment tenté de porter secours en aucune façon au guide italien malgré l’existence de ce règlement.[/quote]

En l’état actuel des choses, c’est apparement à la justice de décider si cela était « normal » ou pas.
Le contexte est a mon avis loin d’être évident.