Free-ride & Cie, une nouvelle menace sérieuse pour la faune sauvage

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Tiens, une reflexion :

J’espère que ceux qui trouvent qu’il est dommage que l’on parle de surfréquentation en ski de rando n’entrent pas leurs courses sur le Grand Ternet …

Alexis

Posté en tant qu’invité par ju le balla:

T’inquiètes pas, le bon randonneur est un monstre d’égoïsme: il ne respecte pas la quiétude de la nature en hiver et surtout il garde les bon spots pour lui… Il ne rentre que les courses classiques sur C2C…

Posté en tant qu’invité par Olaf Grosbaf:

On pourrait par exemple interdire l’accès aux parcs nationaux au moins en hiver

C’est le cas en Suisse.

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

Olaf Grosbaf a écrit:

S’il faut limiter la fréquentaion il faut supprimer les aides à
la fréquentaion: routes d’accès (on part à pied du dernier
village), balisage, refuges hôtels (comme dans le vercors: pas
de matelas, pas de couvertures, pas de demi-pension), cartes et
topo (pardon c2c;-)

Globalement je suis prêt à pas mal de choses et je suis tout à fait conscient des problèmes occasionnés par notre pratique (pas d’autoflagellation comme certains le font) mais je ne suis pas prêt à ce qu’on me restreigne alors que d’autres pratiques globalement plus dérangeantes ne sont pas remises en cause.

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Pïerre a écrit:

Globalement je suis prêt à pas mal de choses et je suis tout à
fait conscient des problèmes occasionnés par notre pratique
(pas d’autoflagellation comme certains le font) mais je ne suis
pas prêt à ce qu’on me restreigne alors que d’autres pratiques
globalement plus dérangeantes ne sont pas remises en cause.

Nan, c’est pas moi c’est l’autre ! Ah, ben si personne ne fait rien, moi non plus alors ! Eh, regarde l’autre, il fait ci ou ça … etc … etc …

Plus globalement, on leur dit quoi aux pauvres de cette planète qui voudraient bien consommer des loisirs (et peut-être pas que des loisirs) comme nous ? Merci à eux d’être écolos par nécessités matérielles.

Maintenant, je m’en fous, notre mode de vie ou de consommation en changera pas de notre vivant. Quant à la protection de l’espèce humaine ou du skirandonneur du futur … pffff mon égoisme ne pousse pas jusque là.

Alexis

Posté en tant qu’invité par strider:

merci pour ton conseil…je connais des gens d’ASTER justement je vais me renseigner mais je cherche plus à proximité de Chambé si possible

ju le balla a écrit:

J’ai simplement trouver la proposition de stage sur le tableau
d’affichage « offre de stage » du bat. belledonne vers les IUP
montagne. Pour la RN de sixt c’étais un partenariat entre la
commune et ASTER. Ce stage n’avait pas de relation direct avec
l’univ. Pour les hauts de chartreuses je n’ai pas de tuyaux. ,
désolé.

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

Alexis a écrit:

Nan, c’est pas moi c’est l’autre ! Ah, ben si personne ne fait
rien, moi non plus alors ! Eh, regarde l’autre, il fait ci ou
ça … etc … etc …

je n’ai jamais dit ça…

OK j’arrête, je reste chez moi, je dérange plus personne. J’ai ma bonne conscience pour moi. Et alors, est-ce que les choses vont avancer ?
Des efforts d’accord mais pour tout le monde et mettre des priorités dans les efforts à faire.
Si on m’interdit une zone et que dans la zone juste à coté il y a de l’héliski, j’arrive pas à me satisfaire de ma bonne conscience.

Plus globalement, on leur dit quoi aux pauvres de cette planète
qui voudraient bien consommer des loisirs (et peut-être pas que
des loisirs) comme nous ? Merci à eux d’être écolos par
nécessités matérielles.

Là je ne vois plus trop le rapport. Je ne suis pas en train de parler de pauvres mais de clients de stations de ski.

Maintenant, je m’en fous, notre mode de vie ou de consommation
en changera pas de notre vivant. Quant à la protection de
l’espèce humaine ou du skirandonneur du futur … pffff mon
égoisme ne pousse pas jusque là.

???

Posté en tant qu’invité par Nicolas:

Bon, eh ben voilà encore un bon gros maronnier à polémique, hihihi…

perso, je recadrerais juste un truc : l’étude en question parle des résultats sur le petit tétras, puis de l’ensemble de la faune…
Mais le tétras n’est-il pas une des espèces les plus sensibles? La plupart des hivernants sont quand même nettement plus mobiles (lièvre, renard, chamois et autres ongulés…), les données du Tétras( effectivement très menacé) leur sont-elles extrapolables?

C’est en ça qu’un peut taxer cet article de n’être pas vraiment scientifique mais aussi politique, voire polémique.

Qu’est-ce que je ne ferais pas pour me donner bonne conscience… ;o) Ben oui, toutafé d’accord avec Alexis, on est vraiment schizos nous autres randonneurs « amateurs de la nature »…

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Pïerre a écrit:

Plus globalement, on leur dit quoi aux pauvres de cette
planète
qui voudraient bien consommer des loisirs (et peut-être pas
que
des loisirs) comme nous ? Merci à eux d’être écolos par
nécessités matérielles.

Là je ne vois plus trop le rapport. Je ne suis pas en train de
parler de pauvres mais de clients de stations de ski.

Si parcequ’ils ont la même réaction que toi : pourquoi moi Nigérian, je devrais arrêter de balancer mes ordures à la mer alors qu’un occidental moyen pollue dix fois (cent ?) plus que moi par son mode de vie ? Pourquoi moi, skirandonneur, devrais-je faire un effort pour la faune et la flore alors qu’à côté y’en a qui font du quad, de l’héliski et que les stations de ski existent ? … Oui, c’est vrai on peut se poser la question, mais faudrait peut-être pas se la poser trop longtemps. Ou alors le législateur nous imposera une réponse qui ne risque guère de nous convenir …

Une bonne soluce ? L’essence à trois euros le litre … Ca calmerait pas mal de choses dans notre monde.

Alexis.

Posté en tant qu’invité par Bubu:

Alexis a écrit:

Pïerre a écrit:

Globalement je suis prêt à pas mal de choses et je suis tout
à
fait conscient des problèmes occasionnés par notre pratique
(pas d’autoflagellation comme certains le font) mais je ne
suis
pas prêt à ce qu’on me restreigne alors que d’autres
pratiques
globalement plus dérangeantes ne sont pas remises en cause.

Nan, c’est pas moi c’est l’autre ! Ah, ben si personne ne fait
rien, moi non plus alors ! Eh, regarde l’autre, il fait ci ou
ça … etc … etc …

Je suis d’accord avec Pïerre.
Personnellement, mon raisonnement est simple : j’estime que je ne suis pas un ravageur d’écosystème si mon impact se limite à celui d’un mammifère de mon poids, et moins si possible.
En ski de rando (hors accès routier), j’estime avoir moins d’impact qu’un chamois ou un sanglier : je n’ai pas de scrupule à en faire.
Le problème est si un vallon est fréquenté en permanence par 200 randonneurs : s’il abrite déjà une trentaine de chamois, ça va pas le faire. Mais si on y regarde de près, les coins où il y a au minimum 10 personnes par jour sont très rares.
Donc si j’ai des scrupules, c’est en quantité de sorties, mais pas le fait de faire une sortie.

En faisant du ski de rando, je ne peux pas réduire plus mon impact par heure de fréquentation de la montagne.
Chiche que tous ceux qui pratiquent la montagne grace à des engins motorisés (remontée, quads, …) réduisent leur impact à celui d’un randonneur. Ensuite, ils pourront venir donner des leçons.

Pourquoi est-ce que je participe à C2C ? En plus de donner des infos comme j’en reçois, je souhaite aussi montrer qu’il est possible de se faire plaisir en ski sans remontées.
Le but étant évidemment de foutre par terre une grande parties des stations (ou plus soft, qu’elles se réduisent), histoire de rétrouver du terrain pour le ski de rando.
Car alexis, les stations ont un impact bien plus grand que tu ne l’imagine ! Ce n’est pas qq %, mais 30-40% de la surface par endroit.

De plus, on ne peut pas faire du ski de rando sans faire exprès : tous ceux qui font du ski mécanique ne feront pas du ski de rando, car certains vont seulement se faire bronzer à 2500m.
Si les stations disparaissent, les XX millions de journée de ski mécaniques ne vont pas devenir autant de journées de ski de rando.

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

Alexis a écrit:

Pïerre a écrit:

Si parcequ’ils ont la même réaction que toi : pourquoi moi
Nigérian, je devrais arrêter de balancer mes ordures à la mer
alors qu’un occidental moyen pollue dix fois (cent ?) plus que
moi par son mode de vie ? Pourquoi moi, skirandonneur,
devrais-je faire un effort pour la faune et la flore alors qu’à
côté y’en a qui font du quad, de l’héliski et que les stations
de ski existent ? … Oui, c’est vrai on peut se poser la
question, mais faudrait peut-être pas se la poser trop
longtemps. Ou alors le législateur nous imposera une réponse
qui ne risque guère de nous convenir …

Une bonne soluce ? L’essence à trois euros le litre … Ca
calmerait pas mal de choses dans notre monde.

Alexis.

Ben finalement on est assez d’accord. Au Nigerian, je n’ai rien à lui imposer et surtout pas de leçons à lui donner.
Si le législateur est juste pourquoi pas… Mais pas interdire la Vanoise en hiver d’un coté et autoriser la liaison Bonneval-Val d’Isère de l’autre par exemple…

Quant à une taxe générale sur le CO2 100% pour…

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Pïerre a écrit:

Ben finalement on est assez d’accord. Au Nigerian, je n’ai rien
à lui imposer et surtout pas de leçons à lui donner.
Si le législateur est juste pourquoi pas… Mais pas interdire
la Vanoise en hiver d’un coté et autoriser la liaison
Bonneval-Val d’Isère de l’autre par exemple…

Pourtant la démocratie, c’est peut-être d’autoriser ce qui convient au plus grand nombre … non ? Pas d’un pt de vue environnement global, mais uniquement pour la faune … Il vaut mieux sacrifier des zones où se concentrent les skieurs (genre station de ski) et interdire le reste si ce qui bave (nous, les randonneurs et skieurs hors pistes) sur les autres zones devient trop important et la pression démographique trop forte … Uniquement du point de vue de la faune … On peut aussi tout arrêter, mais il vaut mieux conserver un peu d’activité glissante hivernale, isn’t it ? So, il faut que cela profite au plus grand nombre, non ? Donc, on ne peut interdire le ski alpin au profit du ski de rando … balancer 8 millions de skieurs sur les itinéraires de rando ce ne serait pas réaliste. Même si ce ne sont pas des vases communicants, la pression démographique sur les milieux naturels « sauvages » serait encore plus forte qu’actuellement.

Le plus logique est d’interdire la pratique du ski de rando pour autoriser le plus grand nombre à fréquenter un peu de montagne hivernale avec quelques vrais morceaux de neige dedans … Aieaieaie … pas gagné.

Alexis

Posté en tant qu’invité par strider:

Olaf Grosbaf a écrit:

On pourrait par exemple interdire l’accès aux parcs nationaux
au moins en hiver

C’est le cas en Suisse.

Pour avoir pas mal travaillé sur la question des parcs nationaux en France, je dirai qu’interdire l’accès en hiver, c’est presque mission impossible…ça tient plus de l’idée « absolue » que de quelque chose de pragmatique et adapté aux réalités de terrain…de toute façon la réforme des Parcs vient de se faire, elle est effective depuis avril 2006, et il n’y a mentionné aucune intention d’interdire l’accès l’hiver, et vu que l’échéance est passée, c’est même pas la peine d’y penser, le travail de concertation a déjà été fait, les jeux sont faits.

Quelques précisions quand même:

-faut déjà imaginer le foutoir administratif que ça peut représenter, car le principe de cette idée d’interdiction d’accès en hiver remet en question le droit de circulation dans un espace « public » qui est une des bases des libertés fondamentales énoncées dans notre préambule de la constitution française…et plus idéologiquement parlant l’attachement français à la liberté d’accès à la montagne…faut se souvenir le tapage crée par le dispositif des réserves intégrales et pourquoi le dispositif n’a pas été reconduit, car relativement « inacceptable » par les sociétés…

-aussi la question à la base est ambigue car « physiquement » contestable : faut-il interdire l’accès en hiver en zone centrale appelées aujourd’hui "coeur du parc’ alors qu’en zone périphérique dite d’adhésion les enjeux à propos de la faune hivernale sont aussi forts, sinon plus? en effet les zones centrales sont surtout en altitude (le cas en Vanoise par exemple, Ecrins aussi), bien souvent au-dessus de la zone des tétras ou la zone ou les chamois mangent en hiver, donc interdire en zone centrale ne changera rien au problème…(pour les bouquetins pas de souci en général, ils ne sont pas farouches et n’ont que très peu peur des hommes, la plupart du temps, ils tiennent juste une distance de sécurité sans avoir besoin de courir et de taper sur leur force) je précise qu’il est encore plus absolument impossible d’interdire un accès du public en zone périph (qu’on appelle selon la réforme zone d’adhésion)

-aussi, les Parcs Nationaux eux-mêmes auraient des contentieux internes sur la question :
en effet chez les gens des Parcs, gardes, chef de secteur, administratifs, etc…il y a différentes sensibilités sur la question de la liberté de circuler dans la montagne et parfois il y a des conflits internes
en effet un Parc National Français se définit selon 2 missions : d’une part la mission de Protection/Sauvegarde (avec moyen de répression) et d’autre part, la mission d’Accueil/Pédagogie (moyens d’informations, sorties avec gardes etc…)
Ces 2 missions fondent les valeurs des PN Français, ils y sont très attachés, il va de soit qu’interdire l’accès l’hiver va à l’encontre des principes de la deuxième mission et la question ferait bcp de conflit au sein des parcs-mêmes entre ceux qui pronent la liberté et ceux qui pronent l’interdiction.

-sans parler des communes qui vont « hurler » au préjudice, dans un contexte de décentralisation déjà bien amorcé…déjà elles acceptent parfois difficilement la main-mise de l’Etat sur leur territoire, car il faut bien comprendre que c’est beaucoup de contraintes à gérer, même si les communes pour la plupart reconnaissent l’intérêt d’avoir un Parc National sur leur territoire. simplement elles ont tendance et c’est bien naturel (!) à vouloir le beurre et l’argent du beurre, c’est à dire qu’elle veulent conserver les avantages d’un parc national (bonne image, labellisation, tourisme estival mieux assuré) sans pour autant trop en subir les contraintes (les demandes d’autorisation pour projet de toute sorte etc…etc…) autrement dit les Parcs Nationaux sont parfois trop perçu par les communes comme ne communiquant qu’au travers des interdits…fort de ce constat les Parcs et les communes ont émis le besoin de travailler ensemble sur des projets de dvpt durable et non de vivre chacun de leur coté en s’ignorant. Les Parc Nationaux n’ont pas intérets d’interdire l’accès en hiver, car ils ont besoin d’une bonne image chez les communes des Parcs pour pouvoir collaborer avec elles (notamment par la charte de dvpt durable etc…)

Tous ces paramètres considérés montrent qu’interdire l’accès en hiverdans un parc national en France est et sera contestable et probablement jugé comme inadapté par les acteurs concernés.En tout cas vu que la réforme vient d’être passé, il n’est pas question d’y retoucher pour l’instant.

Posté en tant qu’invité par ;0):

Pïerre a

Quant à une taxe générale sur le CO2 100% pour…

Comme ça on revient au nucléaire…

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

on sort du sujet…

;0) a écrit:

Pïerre a

Quant à une taxe générale sur le CO2 100% pour…

Comme ça on revient au nucléaire…

Pas forcément… Mais c’est vrai que c’est le débat actuel en Suisse.

Si le choix est renouvelable face à nucléaire, mon choix est fait…
Mais si le choix est nucléaire face à « fossile » mon choix est aussi fait. Entre des risques potentiels et localisés pour le nucléaire et un risque certain et généralisé pour les énergies fossiles et le réchauffement je ne conçois pas qu’on puisse préférer la 2e solution ou même hésiter.

Posté en tant qu’invité par Alexis:

strider a écrit:

Olaf Grosbaf a écrit:

On pourrait par exemple interdire l’accès aux parcs
nationaux
au moins en hiver

Tous ces paramètres considérés montrent qu’interdire l’accès en
hiverdans un parc national en France est et sera contestable
et probablement jugé comme inadapté par les acteurs
concernés.En tout cas vu que la réforme vient d’être passé, il
n’est pas question d’y retoucher pour l’instant.

Il est évident qu’une interdiction ne sera jamais possible. Et il est évident que je souhaite toujours pouvoir randonner où bon me semble, surtout si c’est loin des blaireaux (vous connaissez la conjecture qui dit qu’il y a toujours n-1 blaireaux en ski dans le vallon où vous avez décidé d’aller ?), surtout si j’ai reussi à trouver le spot secret, loin de tous, surtout si c’est dans un melesin, surtout si je peux voir le tétras-lyre, le lagopède et le chamois, même si j’ai du remords à les déranger, je suis content de les avoir vus. Et malheureusement, on est tous pareil.

Le top, ce serait une interdiction pour ces n-1 blaireaux …

Alexis

Posté en tant qu’invité par Pïerre:

Alexis a écrit:

Pourtant la démocratie, c’est peut-être d’autoriser ce qui
convient au plus grand nombre … non ? Pas d’un pt de vue
environnement global, mais uniquement pour la faune … Il vaut
mieux sacrifier des zones où se concentrent les skieurs (genre
station de ski) et interdire le reste si ce qui bave (nous, les
randonneurs et skieurs hors pistes) sur les autres zones
devient trop important et la pression démographique trop forte
… Uniquement du point de vue de la faune … On peut aussi
tout arrêter, mais il vaut mieux conserver un peu d’activité
glissante hivernale, isn’t it ? So, il faut que cela profite au
plus grand nombre, non ? Donc, on ne peut interdire le ski
alpin au profit du ski de rando … balancer 8 millions de
skieurs sur les itinéraires de rando ce ne serait pas réaliste.
Même si ce ne sont pas des vases communicants, la pression
démographique sur les milieux naturels « sauvages » serait encore
plus forte qu’actuellement.

Le plus logique est d’interdire la pratique du ski de rando
pour autoriser le plus grand nombre à fréquenter un peu de
montagne hivernale avec quelques vrais morceaux de neige dedans
… Aieaieaie … pas gagné.

Alexis

No comment…
Mais créer des lunaparks d’un coté et des zones désertes de l’autre je ne vois pas l’intérêt.
Si on place le bien de la nature au dessus de tout, alors autant exterminer tout de suite l’espèce humaine c’est la meilleure solution.

Posté en tant qu’invité par Alexis:

Pïerre a écrit:

Mais créer des lunaparks d’un coté et des zones désertes de
l’autre je ne vois pas l’intérêt.

Pour moi, non plus. Pour la biodiversité et le patrimoine génétique mondial, il y a un intérêt.

Si on place le bien de la nature au dessus de tout, alors
autant exterminer tout de suite l’espèce humaine c’est la
meilleure solution.

L’espèce humaine serait-elle un parasite ? Ou est-ce juste une question de démographie ?

Alexis

Posté en tant qu’invité par davidB:

Destruction, mise en péril des milieux naturels, de la diversité des espèces, perturbation forte de l’environnement, pollution.

À ce propos, il y a deux façons de poser les problèmes :

a) Est-ce que l’impact, la pression sur l’environnement dus à l’homme deviennent trop forts ou non?

ou bien

b) Voyez, tous ceux qui ont une action plus pertubatrice que la mienne, qu’ils mpodifient les premiers leur comportement !

Si on retient la deuxième option, la conclusion qui s’impose c’est que tant que les autres, ceux qui créent plus de dommages que moi, ne font rien ou continuent leurs actions négatives, il n’y a aucune raison pour que je change mon comportement, quand bien même ceux qui font comme moi seraient très nombreux.

Si, au contraire, ce qui pose problème, c’est une action humaine globalement trop intense, on peut alors commencer à agir rationnellement, tant individuellement que collectivement, pour maintenir une situation acceptable pour le présent et pour l’avenir ou y revenir.
Ne pas oublier l’avenir, ne pas oublier ceux qui viendront après nous.

Pour moi, la façon responsable de poser les problèmes est tout simplement d’admettre que la pression humaine sur l’environnement atteint aux bornes du supportable et qu’on est arrivé au point où il faut dire stop, avant qu’il n’y ait plus rien à préserver.

Se comparer aux autres, alors que tout montre que les problèmes sont multiples, très sérieux et liés, conduit à coup sûr à une impasse.

Cependant les choses sont rarement simples. Par exemple il a été fait la remarque que parcourir la nature permet de mieux la connaître. Sans aucun doute et infiniment plus qu’en restant dans un milieu urbanisé. Mais avant de la respecter pleinement combien de temps faut-il ?
Quand on n’ a pas grandi au milieu d’elle il faut beaucoup de temps pour apprendre ce qu’on lui doit, et pendant ce temps que d’erreurs ne commet-on pas ! Alors que tout presse pour en « user et en profiter un max » avant que cela ne soit plus possible.

Alors, oui de plus en plus, on risque de se retrouver face à des restrictions. Je le perçois non pas comme des restrictions à la liberté d’aller et venir, mais de crééer des dommages irréversibles. Ce n’est pas tout à fait pareil !

Encore une fois la question n’est pas tant de crééer une hiérarchie des dommages que de lutter contre.

Posté en tant qu’invité par leglode:

le problème c’est qu’il ya aussi des intégristes dans l’écologie, et qu’a force de mesures illogiques comme celle pronnées ici on arrivera aux effets contraires désiré.
Je suis désolé mais sur la route et dans la société en général la loi doit(devrais…)s’apliquer à tous de la meme manière, en gros en veux m’intérdire de conduire à 60km/h alors que d’autre fond du 120!
que ceux qui nous donne des leçons ici nous explique ce qu’ils font pour limiter leur impact écologique car on en a tous un, je suis pret a parier que certains sont pret à faire des centaines de bornes pour voir l’éspèce rare de tel piaf.
Sinon on peut aussi interdire toutes activitées humaines…