Free-ride & Cie, une nouvelle menace sérieuse pour la faune sauvage

Posté en tant qu’invité par luc:

ça me fait penser à ces écolo donneur de leçon: nicolas Vannier, super discour, grande moral…mais lors de sa traversée sibérienne il y avait des quads pour ouvrir le chemin prendre la bouffe etc, c’est le meme qui vient rabotter avec un tractopelle le col de cou dans le chablais pour faire passer son odyssé de chien.
Idem Y A Bertrand combien de tonne de carburant grillé pour photographier/fim la terre?
j’ai bien plus de respect pour M HORN ,B PICCARD, ou JL ETIENNE qui il me semble font tout « by fair means » (sans moteur) qui nous ouvre les yeux sans nous culpabiliser ou nous donner des leçons parfois fort mal à propots…

Posté en tant qu’invité par leglode:

il est vrais que si l’on commence a regarder ce que font les Américains ou les Chinois en matière d’écologie, c’est meme plus la peine de faire quoi que ce soit.
Bon moi je vais commander une étude sur le taux de stress du randonneur en zone de dépose hélico…

Posté en tant qu’invité par la marmotte:

Il me semble que le probléme n’est pas nouveau.
Effectivement courir dans la neige par le froid quand on a rien a manger, ca fatigue pas besoin de travaille sur le métabolisme ou la synthése des acides aminés…

Il semble que les chasseurs rodant autour des stations ne se sont pas forcément plaints de baisse outranciére de la faune… malgré le hors piste
Ensuite et pour répondre a nos amis suisses, l’héliportage est un vecteur important de hors piste d’envergure. Ne l’ayant pas en france déjà, on réduit ce dérangement.

Bref il faudrait une veritable étude statistique globale pour ananlyser ce probléme, et non pas une analyse comportementale, on se trompe de conclusion là…
la conclusion d el’article est « oui le derangement créé un stress pour l’animal qui peut provoquer blebleble… » et non pas « la population est statistiquement en régression forte depuis que le free ride est apparu »

Note aux biologiste: le free ride (traduction HORS PISTE pour la plupart) esxiste…heu
depuis que le ski existe (sisi) …

Cela dit je ne pense pas que la compagnie des alpes va démonter ses stations parce qu’une population locale d’oiseaux risque d’être dérangée…
bref commencons par freiner le developpement des équipements en montagne, ca sera deja bien…

Posté en tant qu’invité par Dani:

;0) a écrit:

En fait, vous avez le même schéma de pensée que lorsqu’il est
question d’ automobile…ne pas intervenir, la sacro-sainte
liberté, le marché (la nature) doit se réguler seul…

Ah non, non !!!

il faut bien le reguler…
un morceau pour les dépos en hélico,
un autre pour les stations de ski,
un coin reservé aux compets (surtout Sainte Patrouille Glaciar!),
un autre coin pour les pratiques de tir de l’armée,
et un autre coin pour les chamois… parce qu’il faut bien
quelque chamois pour que les chasseurs aient son terrain de jeu aussi.

Jusqu’à ici je ne parle que de la Suisse,
c’est presque comique (surtout les tirs de l’armée… le top).

En France c’est encore plus rigolot… un coin pour les pratiques d’aterrisage en avion sur le glacier… Oui, oui… sur le glacier de Talèfre, je n’invente rien !

Posté en tant qu’invité par Olaf Grosbaf:

J’ai lancé le sujet hier et je vois que ça suscite la polémique. Sans vouloir en rajouter je trouve marrant que beaucoup de gens sur ce forum critiquent réulièrement les médias qui écrivent n’importe quoi en 'y connaissant rien.
Ben c’est pas beaucoup mieux ici! Je n’ai pas vraiment l’impression que beaucoup de monde a lu le communiqué jusqu’au bout à voir le tas d’âneries débitées. Sidéré aussi de voir comment ça brode au fil des sujet…

Il me semble que le probléme n’est pas nouveau.
Effectivement courir dans la neige par le froid quand on a rien a manger, ca fatigue pas besoin de travaille sur le métabolisme ou la synthése des acides aminés…

Les tétras ne courent par exemple et l’article va bien au-delà: quantifier le niveau de stress d’une espèce face au dérangement induits par les skieurs dans différents environnements.
Pour ceux que ça intéresse le travail de thèse de de la fille qui a fait ces travaux se trouvent sur internet… Et c’est très intéressant, mais faut prendre le temps de lire…
Olaf

Posté en tant qu’invité par la marmotte:

Il ne s’agit pas que de l’avifaune,
la grande faune de montagne est autant sujette a dérangement que les oiseaux.
Ie est d’ailleurs plus fréquent de déranger les chevreuils que les tetras.

Par ailleurs cet article ne travaille pas sur la statistique des populations et l’impact mesuré de la pratique sur la dynamique de la population. Et c’est bien ce qui est important. Le stress energétique est bien connu, et s’il n’avait peut etre pas été aussi finiement étudié, c’est une notion ampirique constatée.

Enfin, et pour éviter de justement partir dans tous les sens, il serait interessant, pour compléter cette étude des populations et de l’impact des pratiques, de mettre en regard une recherche sur le développement des protections des niches de repli de cs especes. Il peut s’agir par exemple de densifier un boisement en amont d’une zone a tetras. Un embroussaillement peut trés facilement et trés rapidement dévoyer le « flux » de skieurs hors piste. Il s’agit bien entedu de mesures a adapter sur des sites particuliérements fréquentés et particuliérement sensibles. Certaines actions ont permis de dégager des espaces a tetras permettant par un entretien de la vagétation de dégager des aires d’acceuil et de développement, pourquoi ne pas poursuivre dasn le sens de la protection? Ces solutions sont d’ailleurs sous entendues dans cet article (tu vois, on lit…)

Mais encore une fois il ne s’agit pas tant de doser les pertes enegretiques lors du dérangement que de véritablement travailler sur la dynamique des populations.

Pour finir, il serait interessant que les espaces naturels protégés intégrent TOUS des mesures d’action dans leurs zones peripherique pour les PN ou dans leurs plans d’action. Les conflicts d’usages auront toujours lieu, apr contre il existe des action en profondeur qui peuvent aider à la tenue des populations.

L’avancée de la foret en montagne, la perte des espaces ouverts, des écotones riches, la poussée des especes invasives est aussi en partie liée à la déprise agricole des zones de montagnes (manque de rentabilité, absence de labels agricoles etc) et à la montée du foncier, ce qui induit une fuite des montagnards pour une mutation vers l’habitat secondaire qui bien évidemment n’est pas pour encourager l’entretien des bois et clairieres.

Bref le porbléme n’est pas tant dans la constatation du phénoméne que dans sont appréhension statistique et la recherche de pratiques de protection acceptables tant économiquement que politiquement. Je ne pense pas que manifester pour la survie du tetras devant le siege de la compagnie des alpes servira a grand chose…

Il ne s’agit pas simplement du tetras mais de l’usage et de l’aménagement de la montagne au sens large, le probléme est complexe, multidisciplinaire. A la recherche fondementale doit se substituer la recherche appliquée.

Posté en tant qu’invité par reb:

http://tf1.lci.fr/infos/sciences/environnement/0,,3406820,00-sports-hiver-menacent-animaux-sauvages-.html

Posté en tant qu’invité par Joki:

S’il vous plait : laissez vos chiens conchier les trottoirs vers chez vous et surtout ne les emmenez pas à la montagne et surtout pas quand il y a de la neige,
la faune vous remercie.

Posté en tant qu’invité par gazelle:

N’importe quoi…! Dire que l’on serait responsable du dérangement de la faune etc alors que l’on se rend simplement en montagne, en toute discrétion et en respectant la nature. Que dire des constructions de remontées mécaniques, des gros nazes qui font du motoneige ou du quad dans la nature, de l’héliski, du détournement des cours d’eau, etc… Evidemment, c’est bien plus facile d’accuser les amoureux de la montagne plutôt que d’autres individus ou société qui pensent business…

Posté en tant qu’invité par jfb:

gazelle,

si tu pouvais lire tout le fil de discussion avant de poster un troll, ca serait cool.

souplai, merci.

Posté en tant qu’invité par Septik:

Qu’est-ce qu’un troll ? Ai pas encore isolé le sens exact.

Posté en tant qu’invité par mp2:

Bonjour Septik,

la définition, enfin une des …

Sur les réseaux informatiques, notamment Internet et Usenet, on utilise le terme troll pour désigner une personne, ou un groupe de personnes, participant à un espace de discussion (de type forum), qui cherche à détourner insidieusement le sujet d’une discussion pour générer des conflits en incitant à la polémique et en provoquant les autres participants.

Par métonymie, on parle de troll pour un message dont le caractère est susceptible de générer des polémiques ou étant excessivement provocateur, sans chercher à être constructif, ou auquel on ne veut pas répondre et que l’on tente de discréditer en le nommant ainsi.

Le terme troll provient de l’expression trolling ou pêche à la traîne qui est une ligne munie d’hameçons (à ne pas confondre avec trawling qui est la pêche au chalut grand filet en forme d’entonnoir), les remarques polémiques constituant un troll étant considérées, métaphoriquement, comme des appâts destinés aux contributeurs qu’on veut hameçonner. Les personnes se rendant coupables de trolling ont été appelées, progressivement, des trolls, en allusion aux monstres laids et déplaisants de la mythologie nordique ; par ailleurs, dans le jeu Donjons et Dragons, les trolls ont une capacité de régénération, les membres recoupés repoussent en quelques heures, la comparaison avec les fils de discussion qui se multiplient est d’autant plus judicieuse.