oh bah oui, une pelle de fond de sac.
Suis pas fossoyeur moi.
Et vu le nombre de bouts de PQ qui traîne, pas grand monde doit les enterrer…
58_2_organisation_secours_montagne_surveillance_des_plages.pdf
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oh bah oui, une pelle de fond de sac.
Suis pas fossoyeur moi.
Et vu le nombre de bouts de PQ qui traîne, pas grand monde doit les enterrer…
Vu la fréquentation de certains parcours il y a très peu de personne ( en France) qui abandonnent volontairement ( ou pas) des déchets.
Mais il suffit que très peu de personnes le fasse pour que cela se voit.
Le problème n’est pas le " recyclage" des déchets mais la production massive en amont de ce qui va devenir des déchets notamment sur la multiplication ( en milliards ) des emballages individuels de ces objets.
Je fais la différence entre engagement ( se mettre volontairement en situation difficile) et autonomie ( prévoir pour agir librement ) .
Le fond de sac influe sur le niveau d’autonomie mais ne conditionne pas le niveau d’engagement.
Autonomie qui ne me rend pas dépendant d’autrui pour gérer certains imprévues jusqu’à une certaine limite .
Limite variable selon les individus et selon la façon dont ils ont organisé et anticiper le niveau d’engagement en rapport au parcours qu’il envisageaient que cela soit pour une simple randonnée jusqu’au parcours dans les milieux les plus extrêmes ( froid altitude isolement )
et encouragé par les service de secours dans des stages de formation professionelle ( accompagnateur entre autre ).
un problème ? demander un avis par téléphone.
On attend ton retour d’expérience pour ce qui est du fond de sac des ukrainiens en première ligne au sens propre du terme.
Donc j’ai un fond de sac en toute circonstance qui me sert et peut servir à d’autre .
PS ici quid du fond de sac ?
Le facteur ( 3 ? ) engagement / autonomie est à son maximum
Il disent aux AMM en recyclage « n’hésitez pas à nous appeller, on préfère venir pour rien que venir trop tard ».
N’hésite surtout pas :
https://fightforua.org/
Des déchets, oui, mais je pense que beaucoup de monde ne considère pas le pq comme un déchet. Ils se disent que ça va disparaître avec le temps, la pluie. Comme les peaux de banane ou de mandarines.
Sur c2c, l’engagement c’est grosso-modo l’éloignement de la civilisation :
La cotation engagement est une estimation du degré de danger dans lequel se trouverait l’alpiniste si un problème survenait. Elle prend en compte de nombreux critères et reste subjective. Parmi les critères principaux, on peut noter l’éloignement de la civilisation (refuge, vallée, etc.), les possibilités d’échappatoires ou de redescente, le niveau d’équipement de l’itinéraire et l’altitude.
Camptocamp.org
A Chamonix, Téléphonie mobile, 3G et 4G à Chamonix-Mont-Blanc (74), performance des réseaux mobiles à Chamonix-Mont-Blanc et par beaux temps, l’engagement est devenu faible puisqu’il est possible de joindre les secours et de se faire extraire à « tout moment ».
L’engagement redevient plus important qd la météo empêche l’intervention du Charles De Gaulle.
Pour ma part, l’engagement a bien évidement un impact significatif sur la constitution du sac. Je ne prends pas la même chose pour réaliser en VTT la traversé des Vosges (massif très urbanisé où on sera rarement à plus d’1 heure d’une boulangerie) et la traversé de l’Islande.
Bonjour,
Un certain nombre de messages HS portant sur la couverture du réseau téléphonique en montagne on été déplacés ici.
Eh bien pas tant que ça… (en proportion)
Tout à fait.
En vrai j’ai eu différents « grigris » en fonction des activités (et des suites d’accidents !), mais jamais de PQ : au pire t’as les fesses sales, c’est grave Dr ? (je n’suis pas concernée, ça m’fait toujours chier de rentrer).
Perso, sûrement que mon optimisme me perdra, mais il n’y a au fond de mon sac rien de commun à TOUTES les sorties…
Y avait même pas de sac dans la plupart des sorties gv, la petite bouteille d’eau et les deux habits s’accrochant volontiers au baudard, les clés de la bagnole et le téléphone restant volontiers dans ladite bagnole.
Y avait, parce que maintenant j’ai une clé à molette + une clé de 12 + de la crème + un chiffon + un outil de secours dans un sac à pof en « fond de sac », mais je conviendrais que ce soit difficilement généralisable
De quoi arrêter de saigner / réduire une douleur violente peut-être pertinent ?
Mouchoir - strap - Ixprim ou Izalgi quoi…
J’ai eu 3 accidents « notables » qui me donnent une légère idée du non-nécessaire (ou l’inverse ?)
Donc, je dirais que le meilleur kit de survie qui vaille (parce que ça ne rentre pas au fond du sac), c’est d’embarquer SYSTEMATIQUEMENT avec soi un pote en or.
ça remplit toutes les missions pré-citées, ça éclaire et réchauffe le cœur dans la nuit, ça rassure, console et court vite… Absolument recommandable.
J’imagine que tu fais donc parti des services concernés pour savoir.
Quel est donc le % de bobologie et de nuit pas sympa traitée en appelant le Charles de Gaulle ?
Il faudrait déjà se mettre d’accord sur la définition des interventions « de trop ». Une chose est certaine 100% des interventions du Charles de Gaulle en montagne ne se faisait pas avant la généralisation des communications et des secours aéroportés.
Ne faisant pas parti des services concernés, je n’ai pas accès aux chiffres comme toi. Néanmoins, j’imagine bien que les coûts fixes (infrastructure, matériel, rémunération, entrainement …) sont prépondérants dans ce genre d’organisation et que les coûts variables (carburant, entretien, matériel consommable …) sont faibles (hormis pour l’hélicoptère). En conséquence, ça coute grosso-modo ce qu’on décide d’y mettre en terme de dimensionnement et le coût n’est guère diffèrent qu’il y ait, ou pas, interventions. En France, il y a juste un soucis sur l’organisation avec 3 intervenant qui ne doit pas aider à rationaliser les coûts.
C’est un point de détail. Mais, c’est une évidence que les secours ne peuvent pas dire qu’il ne faut pas les appeler. La raison d’exister de ces services/métiers/emplois est le secours. Ils ne vont donc pas dire qu’il ne faut pas les appeler.
Le sac a nécessairement évolué au fil des décennies. Par exemple, les petites fusées de détresses seront moins utiles depuis la généralisation des communciations.
J’imagine que tu fais donc parti des services concernés pour savoir.
Il se trouve que je partage ma vie avec un secouriste du PGHM…
Il se trouve que je partage ma vie avec un secouriste du PGHM…
Et donc pour les chiffres ?
J’ai eut plusieurs amis, compagnons de cordées, dans les secours. On avait abordé le sujet mais il n’avait pas de chiffres.
J’en étais resté au rapport de la cour des comptes de 2012 https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/58_2_organisation_secours_montagne_surveillance_des_plages.pdf
De toute façon, tu en sauras toujours plus que tout le monde…
De toute façon, tu en sauras toujours plus que tout le monde…
Il faut surtout lire le rapport de la cour des comptes :
Au regard des 4,5 millions d’interventions annuelles effectuées chaque année par les services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), les secours en montagne sont très peu nombreux : ils ne sont que de 5 000 à 8 000 par an en moyenne selon les sources1 . Le coût total du dispositif d’Etat mis en place peut être évalué à 60 M€ (hors formation). Les interventions des SDIS dans ce domaine sont sensiblement moins importantes que celles des services d’Etat ; la Cour n’a pu évaluer leur coût.
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Le secours en montagne au sens strict reste une activité limitée : en 2011, on comptait 52 000 interventions sur le domaine skiable (piste et hors piste) contre 5 000 à 8 000 interventions spécifiques de secours en montagne, soit environ dix fois moins.
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Mais, je n’ai pas trouvé la proportion des secours pas top. Est ce que tu l’a connais ?
Ou comment, à partir du fond de sac, arriver à la cours des compte. Les voies du seigneur sont impénétrables.
Ou comment, à partir du fond de sac, arriver à la cours des compte. Les voies du seigneur sont impénétrables.
Le sac dépend de l’engagement, et donc notamment de la performance et de l’organisation des secours.
Il suffira à tout en chacun de pratiquer dans des endroits sans secours structurés pour s’en rappeler.
Si quasiment tout le monde a ajouté un téléphone portable dans son sac, c’est avant tout pour pouvoir déclencher les secours ! L’organisation des secours et la capacité à déclencher des secours ont donc une incidence sur le sac.
La couverture téléphonique et l’hélicoptère expliquent pourquoi le téléphone est progressivement devenu un élément quasi généralisé dans le sac.
Mais, je n’ai pas trouvé la proportion des interventions des interventions pas top. Est ce que tu l’a connais ?
Moi je sais, y’en a une intervention de trop!
Et moi et moi et moi !
J’ai pas encore dit ce que je mettais en fond de sac !!!
Ben ça dépend…
Dans le temps j’avais des « cachets magiques », à savoir de la coramine glucose, j’ai été bien contente d’en avoir pour moi et mes coéquipiers lors de 2 bivouacs non prévus en haute montagne.
Maintenant j’ai des comprimés de sporténine, mais ils sont plutôt en « dessus de sac », bien utiles pour un petit coup de fatigue.
De plus une pharmacie minimale : pansements, compeed, désinfectant, doliprane, petit bandage.
Pour le bricolage : de la cordelette, un opinel, un briquet, un bout de bougie
Et puis une couverture de survie, une frontale.
En fait ça dépend bien sûr du type de sortie, quand j’emmenais un groupe j’avais la totale, et même plus
… et maintenant parfois : rien (sauf du PQ quand même)
Quel est donc le % de bobologie et de nuit pas sympa traitée en appelant le Charles de Gaulle ?
0%.
Mon petit doigt me dit que le Charles de Gaulle n’a jamais été appelé pour un bobo en montagne. Ni de nuit ni de jour d’ailleurs.
De rien c’est tout naturel.