Merci pour l’info, qui mériterait peut-être un poste plus visible (nouveau fil ?).
La FFME s’inspire donc du modèle anglo-saxon, que j’ai évoqué maintes fois plus haut. Dommage de choisir un nom anglais, malgré tout.
On peut voir cela comme un désengagement ou bien une ouverture : ouvrir la contribution aux non licencié peut augmenter le capital, mais permettre de se désengager encore plus financièrement. À voir à quelle hauteur la FFME contribue (j’ai pas trouvé, mais pas trop fouillé).
« C2C » n’est que la somme de ses contributeurs, tout un chacun est invité (et encouragé !) à renseigner les informations sur le financement du (ré) équipement et de l’entretien des sites d’escalades.