Le post précédent vient juste de devancer celui-ci, sur le même sujet…
Les deux entretiens sont vraiment intéressants : celui avec François Damilano se livre à une réflexion sur la performance en montagne, le problème des preuves de l’ascension, la vitesse dans les courses -qui existe depuis toujours-, Kilian Jornet…
Celui avec Claude Gardien donne aussi des précisions fort utiles sur les différentes ascensions d’Uëli Steck et les conditions de la course.
Merci à la Baltringue !
Peut-être existe-t-il différentes façons de pratiquer l’alpinisme et peut-on éviter les exclusives, en laissant chacun construire ce qu’est son propre rapport à la montagne ?
Pour une conciliation du souci esthétique avec celui de la difficulté, cf Mummery « Le roi du rocher », Hoëbeke, p120-121.