AMA, si tu y as échappé au Mt Blanc, c’est que l’organisme est capable d’acclimater.
Donc ça fonctionne - et ça fonctionnera plus haut aussi, en respectant toutefois bien les paliers.
(edit: ortho.)
AMA, si tu y as échappé au Mt Blanc, c’est que l’organisme est capable d’acclimater.
Donc ça fonctionne - et ça fonctionnera plus haut aussi, en respectant toutefois bien les paliers.
(edit: ortho.)
Je connais dans mes relations proches quelqu’un qui a tenté après toute les précautions prises ( controle et tests médicaux plus entraînement adéquat ) le pic Lénine ( et approche à vélo ) et bien ça l’a pas fait à 6500.
Juste pour moi une question de bon sens si dans une autre vie il me prenait l’idée saugrenue de jouer à quit ou double toute mes petites économies dans l’ascension d’une sommet comme l’Everest.
Les conseilleurs ne sont que rarement les payeurs dans ce genre d’affaire .
PS Je crois avoir entendu dire à l’époque que feu P. Bérhault était limité en altitude à cause d’un problème lié au risque d’œdème pulmonaire ou autres complications au dessus de 5000 m .
Le Huayna Potosi en Bolivie à « seulement » 6088m c’est plus de moitié des prétendants qui font demi-tour avant le sommet. Ils ne sont pas tous passé par le Mont-blanc avant de tenter l’expérience à 6000 mais l’encadrement et guidage pour le sommet (sur trois jours) à deux c’est seulement 150 euros . Ça limite les dégâts financier en cas d’échec .
Bien brave les guides boliviens .
Il ne s’en tire pas si mal avec un hélicoptère et quelques gelures .
Mais pourquoi ce commentaire désobligeant dans cet article , je cite « Au rayon des réussites, plutôt que l’anecdotique passage au sommet de [la princesse du Qatar en compagnie de l’inévitable Nims Purja »?
Anecdotique sans oxygène ? Vraiment ?
Avé des prises USB et une borne wifi haut débit, j’espère !
C’est bien cela, exactement ce que je pense. Je me connais quand même sur mes limites physiques. Si je n’avais pas eu cette idée en tête d’une acclimatation déjà effectuée, je n’aurais jamais envisagé ce projet.
Cela va peut-être vous paraître grotesque mais mon entraînement passe aussi par du vélo statique,entre 6 à 9 kms, ayant en tête être à cette altitude de 4807 mètres. Vous me direz que c’est psychosomatique mais le psyché mémorise de l’acquis et programme le soma en conséquence quand nous lui demandons.
Autre chose, la grande polémique de la zone de la mort, oxygène obligatoire ou pas car certains alpinistes n’en prennent pas. Vous ne trouvez pas cela bizarre? Sachez aussi que le plus fort pourcentage des constituants de l’air est détenu par le diazote(N2) et non l’oxygène!
https://webphysique.fr/composition-de-lair/
Je ne sais pas si c’est une bonne idée de « jouer » toutes ses économies, surtout en ce moment et dans le cas de l’Everest. Il y a peut-être d’autres solutions comme trouver une agence locale pas trop onéreuse et prévoir, comme je l’ai fait une expéditon dans les années à venir. La préparation peut-être longue et il faut en tenir compte et pas trop se précipiter!
Contrairement aux économies personnelles, je préfèrerais passer par un ou des crédits bancaires remboursés sur le temps la préparation de l’expédition et conserver mes économies personnelles.
Par exemple : prêt personel pour projet personnel Boursorama : 10 000 € en 42 mois, soit mensualité de 261.68 € hors assurance.
Maintenant chacun voit à sa porte!!!
J’ai regarder hier le prix des permis d’ascensions pour les sommets népalais. Pour l’Everest,les tarifs sont affichés ici : https://nepalhimalpeakprofile.org/sagarmatha
Maximun pour un étranger ; 11 000 USD. Cela vaut-il la peine d’être ad perso?
Et alors?
Il n’a pas entendre parler de la pression atmosphérique
Une discussion intéressante (même si c’est sur un forum de pilotes) au sujet des problèmes du manque d’oxygène en altitude.
À faire absolument pour la haute altitude ou en cas de doute : test d’effort en hypoxie.
Non. On n’est pas tous pareil.
Tu verras bien si ça suffit, tu nous diras.
tu devrais exposer ce genre de capacité aux experts médicaux qui font faire des tests en caisson hypobare.
Pinaillons : on ne compare pas l’oxygène (qui est un élément chimique) au diazote qui est une molécule diatomique.
Dis nous, chef, on a quand même droit de comparer le dioxygène (qui est une molécule diatomique) au diazote (qui est une autre molécule diatomique) ou pas ?
Ou sinon l’oxygène (qui est, je te l’accorde, un élément chimique) et l’azote (qui est, tu en conviendras j’espère, un autre élément chimique).
Juste vérifier les clauses du prêts en cours pour de ce qui est de savoir qui va prendre la place de l’emprunteur s’il ne peut plus rembourser ( accident ) ou s’il casse sa pipe.
Ben ça oui, vu que ce sont deux molécules.
Je crois qu’ il faut plutôt essayer la plongée avec un sac à dos chargé de plomb et une paille pour respirer
Bonsoir,
C’est une technique qui peut fonctionner, j’avais eu l’occasion de tester et vérifier quand j’avais encore une activité de chercheur en physiologie.
Bernard
Tu veux dire que tu avais expérimenté que faire des efforts à faible altitude, en pensant mentalement être au sommet du Mont Blanc, permettait de relancer des mécanismes d’adaptation à l’altitude que l’organisme aurait mémorisé lors d’une précédente ascension au Mont Blanc ? Et permettait de s’entraîner pour aller faire ensuite l’Éverest ?
Ça augmente le nombre de globules rouges par exemple ?
Bonsoir,
Penser, ça ne faisait pas partie de l’expérience. L’essai consistait à s’entraîner sur vélo fixe à notre altitude habituelle, de façon à augmenter notre VO2max, et ainsi être plus capables d’aller ensuite rapidement en altitude. Pendant l’entraînement, chacun pouvait bien penser à ce qu’il voulait, ceci n’était pas étudié.
Bernard
Et l’on fait bien, oui, de parfois se promener sans but sur C2C.
Il y a des discus’ qui sont de vraies trouvailles : celle-ci vaut son pesant de bouteilles d’oxygène.
N’ayant rien de pertinent à raconter sur l’affaire (les dieux des altitudes et mes plus ordinaires banquiers me préservent à jamais de ce genre de projet !) … je voudrais faire observer ceci :
Cette montagne, si on l’aime et si on la respecte, on la nomme comme la désignent ceux qui la contemplent depuis longtemps.
Selon le versant que l’on approche, elle s’appelle: « Sagarmatha » (déesse mère du ciel), ou bien « Chomolungma »(déesse mère des vents).
Que l’on veuille bien me pardonner, mais dans cette désinvolture, cette arrogance incroyable, et cette fatuité de prétendre nommer les choses par la manière occidentale et « moderne », je crois que l’on peut lire bien des choses.
Et sur les projets et sur les protagonistes.