Posté en tant qu’invité par J.Marc:
fred a écrit:
=> le niveau c’est quand on en sort 80 %.
Pareil : pour moi c’est réussir 3 voies sur 4 à vue dans ce niveau.
- Bon je sais, 75% c’est un peu moins que 80%, mais on ne va pas chipoter… *
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
fred a écrit:
=> le niveau c’est quand on en sort 80 %.
Pareil : pour moi c’est réussir 3 voies sur 4 à vue dans ce niveau.
Posté en tant qu’invité par steph:
je trouve l’ idéé des passeport génial
Posté en tant qu’invité par jean michel:
@ eva rapp
le « niveau » au sens strict ne veut rien dire!
déjà il faut différencier et distinguer un niveau à vue, après travail, en falaise sportive, en montagne, sur coinceurs, en SAE, en moulinette, en tête, régulièrement, ou une fois de temps en temps etc… qui sont des disciplines (ou manière de pratiquer) différentes au sein du même sport. Remplis les cases, ça te permettra d’y voir plus clair.
ensuite il faut le placer dans le temps, garder le même niveau toute l’année c’est pas évident, ou bien tu étais plus fort il y a 4 ans, ou tu es en pleine progression
enfin il faut voir quel est l’interêt et l’importance de la question de ton interlocuteur, (vous avez prévu de faire une cordée en grande voie? ou par curiosité - la manie de tous les grimpeurs!!!- ), dans le doute dis lui que tu es un bon grimpeur de 6, il comprendra.
et puis la finalité c’est pas forcément d’avoir un niveau officiel, mais de connaître tes forces et faiblesses selon les « disciplines », de grimper avec des gens sympa, et partager de bons moments avec eux, non?
Posté en tant qu’invité par Nukem:
steph a écrit:
je trouve l’ idéé des passeport génial
'tain, je pourrait presque avoir le jaune à un détail près. J’ai jamais couché avec une corde. Faut faire comment ?
Posté en tant qu’invité par ju:
jean michel a écrit:
déjà il faut différencier et distinguer un niveau à vue, après
travail, en falaise sportive, en montagne, sur coinceurs, en
SAE, en moulinette, en tête, régulièrement, ou une fois de
temps en temps etc… qui sont des disciplines (ou manière de
pratiquer) différentes au sein du même sport. Remplis les
cases, ça te permettra d’y voir plus clair.
Le niveau reste le même. C’est juste la cote qui change !
Posté en tant qu’invité par fred:
le niveau on ne va pas recommencer la discussion d’il y a deux ans… c’est 3/4 environ des voies reussit sur toutes couennes (de tous les genres !).
Sinon on peut aussi rentrer dans le détail. Moi quand je demande le niveau et qu’on me dit je suis un bon grimpeur de 6 alors je lui demande de m’emmener dans xenon à la maladière par exemple… ou dans vive le vent aux dents de lanfon…
Je ne suis pas sûr que le « bon grimpeur de 6 » soit aussi sûr après (pendant !) de lui…
Posté en tant qu’invité par Romain:
T es un salo, car ds Xenon il y a des longueur ds le 7 !! (superbe voie)
Perso, je pense l idee despasseport ridicule, la question du niveau pas assez precise ou inutile, tu grimpe et tu sers les dents !
Posté en tant qu’invité par David Le Piston:
Pour ma part, le « niveau » est, certes, une donnée importante en escalade. Mais (ça n’engage que moi… cela reste très aléatoire et abstrait. Si je prend mon exemple, ma meilleure performance après travail est du 6b+. Pourtant, il m’est arrivé plus d’une fois de chuter deux fois de suite dans du 6a…
J’en suis arrivé à la conclusion que lorsqu’on annonce une voie, ou un bloc, d’une certaine cotation, c’est uniquement pour donner un « aperçu » de la « difficulté » qui attend le grimpeur. Après, pour rejoindre la pensée dite plus haut, tout dépend du « style » de la voie, de sa longueur, des mouvements attendus, et aussi du style du grimpeur, de ses forces et faiblesses.
Toujours est-il que, l’important, c’est d’en profiter à 100 % à chaque sortie; le niveau passe au second plan… Le plaisir ressenti en grimpant, lui, ne peut se côter…
Le Piston
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par DenisAJ:
J.Marc a écrit:
mangeurdeknack a écrit:
Pour info je pense à « Sensationelle Verschneidung » 4b à
Gempen.
Voie qui en a laissé plus d’un dèg, y compris moi.Elle est cotée 5a sur Schweiz Plaisir.
Et je l’ai trouvée pas donnée pour un 5a…NB : quand on grimpe dans le 5/6, et qu’on merde dans un 4,
c’est qu’on n’est pas en forme ce jour là ; sauf si tout le
monde merde dans ce 4, auquel cas c’est juste la voie qui est
mal cotée…
quand une voie est sous-côté, cela peut vite devenir dur moralement.
si on s’attend à du 4 et qu’on trouve tous les pas durs pour du 4, on peut se demander ce qu’on fout là dedans, ou qu’on est nul.
Dans ce cas, il faut se dire : bon y a un problème dans la cotation. J’oublie que c’est sensé être du 4 et je me concentre sur mon escalade.
Je sais plus facile à dire qu’à faire
Posté en tant qu’invité par DenisAJ:
Nukem a écrit:
'tain, je pourrait presque avoir le jaune à un détail près.
J’ai jamais couché avec une corde. Faut faire comment ?
on t’a pas dit de te lover avec la corde mais de la lover !
Bon sang, mais tu ne sais plus lire ou quoi
Posté en tant qu’invité par P’tit’ étoile:
ptit seb a écrit:
salut, j’arrive en cours de route.
Perso j’ai le passeport bleu FFME. C’est vrai, si je me bougeai
un peu le c… j’aurais le violet.
http://www.ffme.fr/passeport/escalade.php
Quoi qu’en pensent certains, cette idée de compétences (sécu,
manips, difficulté, bloc, grandes voies…) me semble pas mal.
Au Judo, quand on donne son niveau, on est ceinture orange,
marron…
Au moins quand vous annoncez votre niveau, on sait ce que vous
êtes capables de faire.
Qu’en pensez vous ?
Cette idée des passeports, c’est bon pour des enfants ou des ados. Mais lier le fait de savoir faire une réchappe à un niveau de 6a à vue et 5a bloc me parait aberrant. Ont peut (et doit) savoir faire une manip de réchappe bien avant. Idem pour la descente en rappel assuré avec autobloquant, lié à je ne sais plus quel niveau. En gros, cela me parait aberrant de lier la connaissance des manoeuvres techniques à un niveau de cotation de voies!
De toute façons, le seul moment où c’est vraiment important de connaître son niveau (et celui de son compagnon), c’est quand on se lance dans une grande voie en montagne.
Et là, quel que soit son niveau du point de vue cotation (3, 4, 5, 6, 7, …) il faut être autonome pour toutes les manips!
Après, pour les couennes, tout est question de site d’escalade et de style de voie, et ça varie tellement… Sans compter les voies dont les cotations varient d’un topo à l’autre!
P’tit’ étoile.
Posté en tant qu’invité par Nukem:
DenisAJ a écrit:
on t’a pas dit de te lover avec la corde mais de la lover !
Mais j’la love moi ma corde. J’la kiffe grave même. Mais bon, de la à faire ça devant un jury … Manquerai plus qu’ils filment et que ça se retrouve sur Internet. J’ai ma pudeur moi.
/* Ouaip bon, ça va. Arrêtez de rigoler quand je parle de pudeur. */
Posté en tant qu’invité par ptit seb:
Ca me fait marrer. Mon propos étais de dire que le niveau en escalade ne se résume pas à une cotation que l’on arrive à torcher ou pas. Même si le contenu des passeports est discutable, je trouve l’idée de mettre des mots sur des compétences intéressante.
Mais on revient toujours à la même chose : mon 6a est plus gros que le tien
Et quoi que certains en pensent, l’escalade c’est : résine + voies + bloc + grandes voies + manips + mental + … … …
En salle, j’ai failli me péter les chevilles parce qu’un mec qui grimpait du 7 m’a « séché » sur un plomb. « Euh, dynamiser une chute ? Non, c’est quoi ? »
Mais bon, le plus important c’est qu’il réussissait à vue 87,6 % des 7a bleus de Grimp’sans’haut, la SAE de Sormiou sur Verdon.
Il est vrai aussi que certains instructeurs « offrent » les passeports… c’est une autre discussion…
Bonne grimpe
Posté en tant qu’invité par ptit seb:
Salut, je trouve l’idée des passeports bonnes et j’ai 31 ans dont 7 ans de grimpe et d’alpinisme.
Dans un 6a, on trouve à peu près des mouvements de 5a bleauc d’où le lien. Vers 6a, on commence à grimper bcp en tête et avec des gens qui n’ont pas forcément notre niveau d’où une notion d’autonomie et donc de réchappe. Je ne dis pas qu’il ne faut pas apprendre les réchappes avant en fonction des besoins de sa pratique perso. Mais il y a un moment ou ne pas être autonome devient dangereux.
En grandes voies, il faut bien apprendre. Heureusement, des gens m’ont tiré derrière eux et m’ont appris. S’il m’avait fallu maîtriser toutes les manips que je connais maintenant pour me lancer en grandes voies, je serais encore à bouquiner .
La référence en terme de niveau d’escalade ne devrait pas être la cotation, c’est réducteur voire même dangereux. Exemple : le nouveau topo du Verdon vient de sortir. Ulla (6b max) est une classique. Cet été, des grimpeurs qui ont un niveau 6b à vue vont aller s’amuser dans cette fissure équipée moderne sur plaquettes selon le topo. Ils vont peut-être avoir quelques émotions… J’espère pour eux qu’ils assurent niveau manips et qu’ils aient eu la bonne idée de laisser tomber une panoplie de coinceurs au fond du sac.
Les passeports sont bien sûr à améliorer mais je trouve que ça va dans le bon sens sans nuire à la liberté puisque rien n’est obligatoire.
Posté en tant qu’invité par J2LH:
eva rapp a écrit:
Une question me taraude … lorsqu’on vous demande votre niveau
en escalade vous annoncez quoi ?
Niveau à bulle
Si je prends mon exemple :
Je réalise quasiment tous les 6 A/B que je tente à vue, après
travail ma meilleure performance est le 7B et à vue le 6 C…
=> Niveau 6A + ?
Toujours la même question : ca te sert à quoi de connaitre ton « niveau » ?
Pour moi c’est le niveau des grandes voies où je peux m’engager en étant quasiment sur de sortir (normalement en libre et à vue). Après, personne n’est à l’abri d’un but.
Pour d’autres personnes ça peut représenter autre chose mais si tu réponds à la question de l’utilité de connaitre ton niveau tu devrais avoir la réponse à ta question. Sinon c’est d’autant plus difficile que le niveau d’un grimpeur n’existe pas dans l’absolu. Encore faudrait il déjà pouvoir mesurer la cotation d’une voie et non l’estime à la louche.
Posté en tant qu’invité par raoul loubar:
Tu serais pas au Sapey aujourd’hui, J2, ca m’étonnerait pas. Bonne journée. Ian.
Posté en tant qu’invité par J2LH:
raoul loubar a écrit:
Tu serais pas au Sapey aujourd’hui, J2, ca m’étonnerait pas.
Pas du tout. J’étais aux Pointes du Midi hier, aujourd’hui rando.
Posté en tant qu’invité par françois:
J2LH a écrit:
Toujours la même question : ca te sert à quoi de connaitre ton « niveau » ?
va voir ici tu auras des éléments de réponse:
http://www.escaladeplaisir.free.fr/read.php?2,177,177#msg-177
pour moi, annoncer son niveau ça permet de savoir avec qui on va grimper et choisir les voies en conséquence; vendredi, j’ai fait connaissance d’un c2ciste, qui m’a annoncé son niveau, et connaissant bien le site ou on grimpait, ça m’a évité de l’envoyer au casse-pipe (ça évite de casser l’ambiance …)
et si la personne m’annonce un niveau supérieur au mien, ça me force à me booster psychologiquement pour essayer d etre à la hauteur
donc, comme beaucoup, mon niveau c’est ce que je sors à vue 3 fois sur 4 quelque soit le site soit 6a. c’est purement pratico-pratique pour éviter trop de réchappe, et pas foutre en l’air une journée de grimpe des le premier 1/4 d’heure. ce qui ne m’empêche pas de tenter des voies dans le 6c ou le 7a
Posté en tant qu’invité par fred:
On est d’accord là dessus un grimpeur de 6a peut parfaitement s’entrainer dans du 6c…
Moi je suis globalement (quand je suis prêt et en forme) 6b et j’enchaine des 7b après travail…
Posté en tant qu’invité par Thier:
Pour moi aller grimper c’est essayer de m’éclater au max ,d’aller au bout de moi même, et donc d’enchaîner la voie la plus dure possible au regard de mon niveau.
Aller grimper dans ton niveau plancher , à part à l’échauffement : c’est chiant car il y a peu de combat et peu d’incertitude, c’est de l’escalade pépère… pj a écrit:
"Il n’est pas envisageable d’annoncer comme « son niveau " que
ce que l’on réussit à 100% »c’est un niveau « plancher » et puis il vaut mieux un peu
d’humlité certains jours
[%sig%]