Ethique du metier de guide

Posté en tant qu’invité par mathieu:

Je crois que c’est la même chose pour toutes les soi-disantes expéditions (qui n’ont d’ailleurs plus rien à voir avec ce qu’elles pouvaient être il y a 30, 50 ans et bien plus).
Vu les quantités de kérosène que ça consomme (700L A/R pour le Népal et par personne et pour une poignée de jours), et question truc de nantis, c’est pas mal non plus.
Parler de l’éthique du métier de guide (et pas que, bien sûr) soulève d’abord ce problème à mon avis.

Pour en revenir à l’héliski, c’est un truc tout aussi moche, on est d’accord. Par contre il ne serait pas trop difficile de l’interdire par chez nous, vu que ça ne concerne que quelques personnes encore plus aisées que les autres , et que les gens sont majoritairement contre cette pratique par conséquent.
S’attaquer à l’héliski, c’est bien (et évident je pense, m’enfin), la gêne est très concentrée et très perceptible bien qu’éparse, mais ça reste (malheureusement) des sucrettes dans le régime que devraient prendre les activités montagnardes si l’on veut un peu d’éthique.

Posté en tant qu’invité par Green Washing:

[quote=« mathieu, id: 889517, post:21, topic:88242 »]Je crois que c’est la même chose pour toutes les soi-disantes expéditions (qui n’ont d’ailleurs plus rien à voir avec ce qu’elles pouvaient être il y a 30, 50 ans et bien plus).
Vu les quantités de kérosène que ça consomme (700L A/R pour le Népal et par personne et pour une poignée de jours), et question truc de nantis, c’est pas mal non plus.
Parler de l’éthique du métier de guide (et pas que, bien sûr) soulève d’abord ce problème à mon avis.[/quote]

Ca change un peu. Maintenant, les Trolls poussent au pied des marronniers.
Tu as raison de regretter ce temps béni des expés où quelques centaines de crève la faim se tuaient au service du blanc pour une misère. Ca polluait nettement moins. Ok, il y avait un peu de déchet ou de perte. Mais, c’était écologique. :lol: :lol: :lol:

Posté en tant qu’invité par mathieu:

Ton interprétion est plutôt orientée, et on fraule le point godwin. (Troll 'qui dit qui est)

Posté en tant qu’invité par Godwin:

[quote=« mathieu, id: 889517, post:21, topic:88242 »]Je crois que c’est la même chose pour toutes les soi-disantes expéditions (qui n’ont d’ailleurs plus rien à voir avec ce qu’elles pouvaient être il y a 30, 50 ans et bien plus).
Vu les quantités de kérosène que ça consomme (700L A/R pour le Népal et par personne et pour une poignée de jours), et question truc de nantis, c’est pas mal non plus.
Parler de l’éthique du métier de guide (et pas que, bien sûr) soulève d’abord ce problème à mon avis.

Pour en revenir à l’héliski, c’est un truc tout aussi moche, on est d’accord. Par contre il ne serait pas trop difficile de l’interdire par chez nous, vu que ça ne concerne que quelques personnes encore plus aisées que les autres , et que les gens sont majoritairement contre cette pratique par conséquent.
S’attaquer à l’héliski, c’est bien (et évident je pense, m’enfin), la gêne est très concentrée et très perceptible bien qu’éparse, mais ça reste (malheureusement) des sucrettes dans le régime que devraient prendre les activités montagnardes si l’on veut un peu d’éthique.[/quote]

Par chez nous en France, il est deja interdit.
Si « par chez toi », c’est en Suisse, va demander a Zermatt s’ils sont « majoritairement contre cette pratique ».
On en reparlera.

Posté en tant qu’invité par Grumpf:

[quote=« nicolasfred, id: 889347, post:1, topic:88242 »]Je souhaite faire un appel aux têtes pensantes que sont les guides au moment ou ils passent leur diplôme concernant le volet écologique!! Les députés verts (16%)ont gagné en France…les guides eux se réclament d’une profession nature… Jusque là tout va bien sauf que depuis depuis dix ans et sournoisement se développe un nouveau genre de guides… Les guides héliski!! Je sais c’est une polémique. mais, il est temps que le SNGM se détermine clairement sur ce qui est un véritable scandale voir un paradoxe dans leur soit disant métier nature!!
Cette activité génératrice de très gros revenus pour les guides qui la pratiquent ou la dirigent est des plus polluantes et s’exerce particulièrement dans les pays pauvres où à densité très faible. ce n’est pas digne de l’histoire de l’alpinisme et de ce métier montagne. Meme certaines compagnies en proposent bien sur juste à côté de notre frontière!! Comme si la pollution à l’image de Tcherrnobyl se stoppait grâce aux cumulo-nimbus… Dasn ce nouveau filon, le rapport pognon facile dans les PVD est très fréquent!
Qu’attend monsieur Pellisier pour légiférer dans le domaine ou créer deux diplômes
-les guides qui n’en feront pas
-ceux qui recourront à cette activité curieuse puisqu’en anti-naturelle. Inutile de s’étendre sur les conséquences de cette dernière.
Nous en tant que client nous engageons à ne plus utiliser les services de guides POLLUANTS; merci aux dirigeants et aux sngm d’aboutir cette année à une charte stricte car les clients dans de nombreuses associations aussi en ont marre.
Agissons avant que la scission s’installe à l’intérieur même du milieu montagne.[/quote]

Bravo. Bonne idée.

Amusant :wink:

C’est ignorer que les déposes peuvent se faire n’importe où du moment que c’est pas un sommet. Car seul les « sommets » sont interdits à l’héliski, belle hypocrisie du législateur. Mais quand on sait qu’un hélico de la Gendarmerie transportant un président de la République en vacances a été verbalisé par les gardes d’un parc national alors qu’il le déposait sur un sommet connu qu’on atteint généralement à podfok … on comprend mieux que la France, vieux pays jadis matrice de la monarchie absolue et du privilège, n’est pas prète de faire effectivement respecter les lois qu’elles se donnent, qui ne sont généralement que de l’annonce politique.

Les reprises peuvent également se faire n’importe où du moment que c’est pas un sommet, par exemple en bas d’un beau hors piste situé sur un autre versant que les remontées de départ. Ce n’est plus que du « voyage aérien ».

a pratique de dépose/reprise à coté d’un refuge, par exemple, est parfaitement légale en France, sauf interdiction de survol plus générale de tout ou partie de la zone sur laquelle se déroule le vol. Il parait que cela se pratique couramment dans le massif du Mont Blanc, pour économiser le précieux temps des monchus fortunés et actifs. Par contre il y a une interdiction générale de survol à moins de 1000 m/sol dans les parcs de Vanoise, Écrins et Vercors, mais il n’y a pas beaucoup de zèle du coté des agents verbalisateurs, occupés par les vols de ski et la fumette en stations.

Il est facile aussi de se faire déposer sur le versant suisse ou italien d’un sommet frontière, et si c’est pas vrai qui sera là pour constater le contraire à qq mètres près ?

La vraie solution est celle du classement international du massif du Mont Blanc et le projet d’un parc naturel européen sur la zone, soutenu par MW, entre autres, mais objet d’une farouche opposition d’n certain nombre « d’acteurs économiques ».

Car l’emploi justifie idéologiquement presque tout. Mais une reconversion écologique de l’économie ne peut pas se faire sans offrir aux travailleurs concernés des possibilités de faire autrement sans y perdre trop. La profession de guide dans le massif du Mont Blanc ou en Suisse peut-elle se passer de l’héliski ?

Et puis bon, la pollution commence dès qu’on se déplace autrement qu’à pied. Globalement l’empreinte écologique d’un européen occidental est de 2 (6 pour un new yorkais) ce qui veut dire que nous consommons en moyenne deux fois plus de ressources que la terre peut en reconstituer naturellement. Alors moi qui vais en montagne avec un 4x4 diesel parce que sinon je ne sort pas de la route principale de mon village en hiver, je ne jette pas la pierre aux motoristes. Je me contente d’éviter les zones où je risque de rencontrer trop de moteurs, ce qui est encore ssez facile en dehors du Mont Blanc.

L

Posté en tant qu’invité par fabioli:

Même s’il ya confusions sur les personnes qui dirigent les instances de guides, je partage entièrement les propos de la personne qui a lancé le débat. il est temps que les choses soient clairs pour les clients. D’autant plus qu’un guide pratiquant cette activité gagne environ 500e par jour + une commision de 6% par client amené plus un forfait très intéressant pour l"avion et l’hébergment. Un système o’pair en fait durant les jours de travail . Renseignment pris dans les compagnies et agences.
En clair, plus je pollue, plus je gagne sans même payer une vignette verte.
Dommage pour ce métier que des dérives pareils gangrènent l’ensemble de la profession.

Que reste-t-il du guide paysan sans tomber dans la caricature folklorique des 15 aôut à Chamonix.Un déplacement en vooture en tre amis ne polluera jamais autant que des heures d’hélico. Cette activité est soyons clair un véritable aspirateur à pognon pour ceux qui la pratiquent.
Dernière idée qui me vient: pourquoi un guide préfere-il monter dans un hélico plutôt que de faire une bele voie?

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Bonjour.
Plusieurs choses m’interpellent dans ce sujet qui mêle à la fois le côté écologique d’un moyen de locomotion et le côté éthique d’une profession.

Tout d’abord le côté pollution et environnement de l’hélicoptère. Trois critères : CO2, la vue, le bruit.
CO2 : n’importe qui (qui a les moyens) peu prendre un hélicoptère d’un aéroport et se rendre dans un lieu ou dans un autre (usine par exemple), c’est un moyen de locomotion fortement réglementé mais autorisé comme l’avion. Un hélicoptère pollue autant qu’il amène quelqu’un travailler ou skier. Un hélicoptère qui ne ferait que filmer nos belles montagne pollue autant que n’importe quelle dépose. L’argument CO2 ne me semble pas tenir d’autant plus que personne ne remet en question l’hélico pour les secours ou pour les ravitaillements de certains refuges. L’interdiction de dépose sur un sommet me semble tombé de nul part, et comme le dit Freenours c’est excessivement facile à contourner.
Visuel : c’est une pollution bien moindre que n’importe quel pylône ; prenez l’exemple du téléphérique de l’Aiguille du Midi, jolie pollution visuelle que j’utilise périodiquement.
Le bruit : cet argument a été cité, c’est certainement celui qu’il faudrait retenir.

Tant que l’hélico est autorisé y a-t-il une question d’éthique qui puisse exister pour la profession de guide ? Un téléphérique ou des canons à neige polluent, des spits aussi. Comment suggérer une barrière éthique, et sur quels critères ? un guide ne devrait-il grimper que sur des voies en coinceurs, et ne jamais prendre de remontée mécanique ? Si on considère que ce serait absurde (mon avis), alors pourquoi vouloir considérer que l’hélico ne pourrait pas être utilisé par un guide ? sur le seul argument que, bien que légal, il aurait une action environnementale supérieure à d’autres ? Soyons raisonnables, si un guide refuse une course alors le guide suivant sur la liste le fera, il n’aura que raté une course, tous les guides ne roulent pas sur l’or…

Il me semble loufoque de vouloir suggérer une barrière éthique environnementale à la profession de guides.

Puisque je suis contre la dépose en hélico, il me semble alors que seule reste alors possible la législation et la réglementation. Le bruit étant une pollution, est-ce envisageable de n’autoriser l’hélicoptère sur des zones vertes, parcs naturels, ou zones protégées que pour des missions spécifiques comme secours, ravitaillement de refuges, maintenance de constructions (refuges, pylônes) et ce en raison de la gêne causée par le bruit ? Ainsi, prises de vues ou déposes seront traitées de la même manière, et si quelques richissimes alpinistes paient un hélico pour se faire déposer en refuge à l’occasion d’un ravitaillement (bien contrôlé), ma foi, peut-être offriront-ils une tournée de Champagne…

L’avis d’un homme de droit m’intéresserait.

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[quote=« Samourai, id: 889645, post:30, topic:88242 »]JE remets en question le ravitaillement des refuges par hélicoptère. Les refuges sont devenus des hôtels-restaurants d’altitude et je ne les fréquente pas.

Pour moi, l’hélicoptère en montagne ne devrait être utilisé que pour les secours.[/quote]
Pourquoi ?

Parce que c’est le seul cas où tu te sens égoïstement concerné ?

Et tu crois franchement qu’on va fermer les refuges parce que TU ne les fréquentes pas ?

Posté en tant qu’invité par david38:

Tout a fait d’accord aussi pour le bruit. mais aussi pour l’aspect effort physique/ récompense de la nature. Quels efforts fournissent ces guides et ces gars pour aller regarder dame nature? Il parait que sur des sites chamoniards qui proposent que de l’héliski on peut voir des ours au Kamtchatka. le pauvre, il a du apprécier qu’un guide fortuné joue au mariolle au dessus de sa tête pour le plaisir de ses clients. proprement scandaleux. Oui, on peut vraiment parler d’éthique quand on ne propse plus ni effort physique ni respect de la nature. Ces guides ne devraient plus l’être mais devenir des moniteurs d’héliski Au moins, il n’ y aurait plus maldonne. Se réclamer de L’uiagm avec sa médaille de guide quand on fait de l’hélico toute l’année!!! Laissez moi rire.
Sur l’argument, pollution/pays pauvre. c’est juste. les russes ont un pnb par habitant de 3500e/an et les français de …27000e/an. Autrement dit, on va polluer chez les pauvres. En plus, aucune législation sur l’hélico la-bas. Pareil pour la russie. Le plaisir des riches clients type banquiers boursiers n’a pas de limite.

[quote=« Samourai, id: 889645, post:30, topic:88242 »]

JE remets en question le ravitaillement des refuges par hélicoptère. Les refuges sont devenus des hôtels-restaurants d’altitude et je ne les fréquente pas.

Cela dit, j’ai apprécié ce que tu as écrit. Le bruit constitue, à mes yeux, l’essentiel de la pollution occasionnée par l’hélicoptère.

Je rajouterais que je n’apprécie pas l’augmentation de présence humaine qu’il induit. Quand je suis en altitude, je recherche une certaine solitude. Cela ne me dérange pas de croiser d’autres personnes qui sont dans la même dynamique que moi : une dynamique d’individus qui vont explorer, rencontrer la nature, se dépasser. Par contre, je n’ai aucune estime pour des gens nantis qui viennent se faire déposer par un moyen motorisé bruyant et polluant. Quelle sera la prochaine étape ? Ils viendront se faire reprendre pour la descente aussi ?

Pour moi, l’hélicoptère en montagne ne devrait être utilisé que pour les secours.

-> Un guide utilisant l’hélicoptère avec ses clients voudrait-il nous communiquer son opinion ?[/quote]

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Posté en tant qu’invité par Bianchi:

héliski en France
A ma connaissance, l’interdiction ( de l’hélico en montagne à titre de loisir … ) ne porte pas sur la dépose à un sommet, mais elle est générale ( loi dite « Giscard », mise en place après sa dépose hélico au sommet du Mt Blanc ( descente face nord ) et aux frais du contribuable
mais, la loi est « contournée », avec le laxisme et la passivité des autorités chargées de la faire appliquer

on se pose à 20 m de l’autre côté de la Frontière ( Italie ),
la loi parle de « dépose » hélico, donc on en déduit que les « reprises » sont librement autorisées ( on se fait reprendre en bas de la descente … la dépose ayant été faite en Italie pour 20 m)
de multiples « exceptions » sont autorisées, permettant tous les abus …
de toute façon, il n’y a quasi aucune répression, donc tout est permis …
etc etc

A mon sens, l’hélico en montagne ( l’usage abusif de celui ci ) est une engeance absolue, au même titre d’ailleurs que les motos et 4x4 de merde …
car offrant la possibilité à n’importe qui ( qui a le pognon ) d’aller faire telle ou telle descente y compris dans les endroits les plus sensibles, les derniers coins encore « préservés » de notre terre, avec la foule et les hordes sauvages qui vont avec : voir en Suisse les sommets « autorisés » où par un beau jour de printemps les hélicos font la queue avant de se poser … et où on collecte ensuite les sacs poubelles de canettes et autres saloperies …
Une station ne dessert que par gravité, c’est déjà pas beau, mais c’est limité …

Et que l’amoureux de l’hélico se fasse une hélisurface dans son jardin à lui …
Quant aux refuges, il y a d’autres moyens de les approvisionner ( câble, etc )

Posté en tant qu’invité par jo:

[quote=« clyde, id: 889433, post:16, topic:88242 »]Moi je propose des rotations hélicos, été comme hiver pour montées, les marches d´approche et les descentes.

Trop fatigant la montagne autrement.

Faut vivre avec son temps quoi![/quote]

C’est une honte ! la montagne est un plaisir ! plus rien n’a d’interet si on facilite à outrance! vive la marche d’approche!

Bon OK, je reconnais que sur la forme mon post était peut-être un peu abrupt mais je ne garde pas de refuge et ne suis pas héliskieur !

Il est certain que l’usage de l’hélico pour les loisirs et les refuges qui en sont la conséquence pourrait être interdit en montagne (et pour être jusqu’au boutiste, même pour les secours dans le cadre d’une activité de loisir !).
Et ceci d’un point de vue écologique car il n’y a pas de régles éthiques, c’est un autre débat, chacun pratique comme bon lui semble.

Mais l’argument CO2 ne semble pas très crédible car cette pollution induite par les hélicos est infime par rapport aux rejets globaux.
D’autre part, pourquoi se focaliser uniquement sur la montagne?
Il faudrait alors interdire toute activité de loisirs motorisés: courses auto, moto, activités nautiques, aériennes, tour de France cycliste pour sa caravane, son escorte de motards et ses hélicos, etc…qui se déroulent partout.
Ce qui veut dire supprimer ces activités non seulement pour les pratiquants mais aussi pour les milliers de spectateurs qui y assistent et qui y prennent plaisir.

Alors sous prétexte de sauvetage de la planète, si l’on veut supprimer les plaisirs de la vie, eh bien je préfère crever de suite car je pense que l’homme n’a pas le pouvoir d’inverser la tendance, c’est un engrenage inéluctable et en partie naturel.
Ce qui ne veut pas dire non plus qu’il faut encourager tous les excès et ne pas surveiller ses propres comportements et modifier quelques habitudes.

Pour en revenir à l’héliski, je reprends l’avis de Lutin:
Le bruit serait l’argument à retenir.
Sûrement mais c’est valable uniquement pour ceux qui sont dans le même secteur (et qui savaient certainement qu’il y avait des déposes…), ce n’est donc pas un problème d’intérêt général.

Posté en tant qu’invité par Boum:

Le solution c’est le mulet.
Giscard déposé versant Italien à dos de mulet et repris plus bas à 20 mètres près, ça le fait bien.

A La Réunion, le comité s’occupant du cirque de Mafate, qui ne possède pas de route, voulaient des « hélico-bus »!

Déjà que je détestais les allées et venues des hélicos touristiques…

Vous imaginez le boucan et la pollution: il n’y aurait plus eu beaucoup d’amateurs pour l’île intense… en bruit!

[quote=« jo, id: 889746, post:36, topic:88242 »]

[quote=« clyde, id: 889433, post:16, topic:88242 »]Moi je propose des rotations hélicos, été comme hiver pour montées, les marches d´approche et les descentes.

Trop fatigant la montagne autrement.

Faut vivre avec son temps quoi![/quote]

C’est une honte ! la montagne est un plaisir ! plus rien n’a d’interet si on facilite à outrance! vive la marche d’approche![/quote]