Equipements/désequipements des dalles du Charmant-Som (suite)

[quote=« Paul G, id: 1672287, post:20, topic:148008 »]Bravo pour le nettoyage.

Quant à la plainte… ca me parait tellement énorme que je n’arrive pas à croire que ce ne soit pas un canular.
J’aimerai bien savoir s’il y a une convention avec le proprio ?
Ou au moins une décision par un collectif local (regroupement de clubs, bureau des guides… ?)

Bon, excusez moi, je viens de gagner au loto, et j’ai décidé de construire une série de via ferrata pour que les beaux itinéraires soient accessibles à tous.
Je pensais commencer par les falaises de Presles, la Meije, et le Verdon.
Si vous avez des idées ou des préférences, n’hésitez pas à me donner vos avis ![/quote]

J’ai contacté le CD38 FFME pour avoir plus d’infos :wink:

[quote=« Paul G, id: 1672287, post:20, topic:148008 »]Bon, excusez moi, je viens de gagner au loto, et j’ai décidé de construire une série de via ferrata pour que les beaux itinéraires soient accessibles à tous.
Je pensais commencer par les falaises de Presles, la Meije, et le Verdon.
Si vous avez des idées ou des préférences, n’hésitez pas à me donner vos avis ![/quote]
Moi j’en ai marre de la descente de la Meije, je voudrai une tyrolienne du Grand Pic à la Berarde!

Ben moi, j’ai un consensus pour un démontage des pylônes de la station vers chez moi. Puis j’ai loué une pelle pour enlever le goudron du col de Galibier parce que ça sert à quoi tout cet enrobé?
Trêve de plaisanterie. Quand une réalisation ne nous plaît pas, on contacte le concepteur, on essaye de comprendre, on discute… non?
C’est quoi la prochaine étape? J’achète un fusil et je tire sur le 1er qui fait un truc qui ne me plait pas?

[quote=« mauris, id: 1672333, post:23, topic:148008 »]Ben moi, j’ai un consensus pour un démontage des pylônes de la station vers chez moi. Puis j’ai loué une pelle pour enlever le goudron du col de Galibier parce que ça sert à quoi tout cet enrobé?
Trêve de plaisanterie. Quand une réalisation ne nous plaît pas, on contacte le concepteur, on essaye de comprendre, on discute… non?
C’est quoi la prochaine étape? J’achète un fusil et je tire sur le 1er qui fait un truc qui ne me plait pas?[/quote]
Tu as lu les posts au dessus? Non? Lis les :slight_smile:

[quote=« mauris, id: 1672333, post:23, topic:148008 »]Ben moi, j’ai un consensus pour un démontage des pylônes de la station vers chez moi. Puis j’ai loué une pelle pour enlever le goudron du col de Galibier parce que ça sert à quoi tout cet enrobé?
Trêve de plaisanterie. Quand une réalisation ne nous plaît pas, on contacte le concepteur, on essaye de comprendre, on discute… non?
C’est quoi la prochaine étape? J’achète un fusil et je tire sur le 1er qui fait un truc qui ne me plait pas?[/quote]

Sauf qu’une route ou une station, même si elle ne plaît pas à tous, est décidée par une collectivité, donc par des élus, contre qui on peut voter.
Pas par un gars tout seul qui décide ce qu’il faut faire.
Je ne demande pas mieux que de comprendre, mais je n’ai trouvé aucune récit d’un équipeur des dalles du Ch Som (ou autre itinéraire « historique ») qui explique pourquoi il fait ça. Et je constate régulièrement que sur des itinéraires faciles (PD / AD) autrefois parcouru sur sangles ou coinceurs, les spits fleurissent de manière anarchique sans qu’on sache qui les met.

Pour votre info, messieurs:
A moins qu’un terrain privé ou communal s’il n’est clôturé ou doté d’un panneau d’interdiction d’accès est pénétrable et l’on peut parfaitement équiper un site d’escalade.
Seul le propriétaire peut en demander le déséquipement après avoir tenté de contacter l’équipeur, lui seul détient le droit au désequipement, après une procédure bien définie judiciairement.
Tout autre personne qui le met en oeuvre de son propre chef se met hors-la-loi et constitue une voie de fait.
La qualification retenue peut être vol, dégradation (si le matériel en place a été abimé) et même mise en danger de la vie d’autrui, s’il s’agit d’un matériel de sécurité destiné au public (3 ans de prison dans les faits les plus graves), les juges ne plaisantent pas en la matière.
La montagne, réputée espace de liberté, n’échappe pas aux règles de droit.
Nul ne peut se faire justice et empieter sur les droits des tiers en touchant au matériel et au terrain ne leur appartenant pas!
L’équipeur reste responsable en cas d’accident grave d’un équipement défaillant si celui-ci ne lui a pas été interdit, ce qui est le cas ici.

J’ai pas trop le temps là mais je crois lire des anneries sur la partie « responsabilité », les pros de l’équipement, vous en dîtes quoi?

[quote=« margueritat, id: 1672531, post:26, topic:148008 »]Pour votre info, messieurs:
A moins qu’un terrain privé ou communal s’il n’est clôturé ou doté d’un panneau d’interdiction d’accès est pénétrable et l’on peut parfaitement équiper un site d’escalade.
Seul le propriétaire peut en demander le déséquipement après avoir tenté de contacter l’équipeur, lui seul détient le droit au désequipement, après une procédure bien définie judiciairement.
Tout autre personne qui le met en oeuvre de son propre chef se met hors-la-loi et constitue une voie de fait.
La qualification retenue peut être vol, dégradation (si le matériel en place a été abimé) et même mise en danger de la vie d’autrui, s’il s’agit d’un matériel de sécurité destiné au public (3 ans de prison dans les faits les plus graves), les juges ne plaisantent pas en la matière.
La montagne, réputée espace de liberté, n’échappe pas aux règles de droit.
Nul ne peut se faire justice et empieter sur les droits des tiers en touchant au matériel et au terrain ne leur appartenant pas!
L’équipeur reste responsable en cas d’accident grave d’un équipement défaillant si celui-ci ne lui a pas été interdit, ce qui est le cas ici.[/quote]

Certes…
Depuis quand il existe un « site d’escalade » au charmant som? Le propriétaire est-il au courant? Est-ce qu’il y a un conventionnement FFME?
La disparition de deux plaquettes sur une ligne de spits anarchique et incomplète, connue de vous seul, et située à 5m d’une ligne de goujon bien établie, représenterait donc une « mise en danger de la vie d’autrui »?
Votre équipement posé sans concertation, sans communication, sans autorisation, sans aucun cadre, serait donc un « matériel de sécurité destiné au public »?
La sécurité de qui? décidé par qui? Vérifié par qui?

Quand au vol il n’en est point, je vous répète que vous êtes le bienvenue pour récupérer vos deux bouts de ferraille.

Enfin bref vous avez une conception de nos pratiques qui me dépasse complétement. On atteint un degré de ridicule extraordinaire dans cette affaire.

J’ai contacté le CD38 concernant les dalles. J’espère qu’on pourra mettre en place une action concertée avec les acteurs locaux (caf, ffme, autres). Votre business de topo ne vous autorise pas à vous placer au dessus de toute la communauté locale. Si ce n’est pas fait, achetez l’excellent topo de Bourdat/Guerrillot sur l’escalade en chartreuse. Vous y trouverez un préambule très intéressant sur l’équipement en chartreuse, et la position de la fédé au moment de l’édition du topo.
Prenez contact avec le CD38 FFME, cessez d’agir en solitaire au mépris de tous.

Vous faites du mal à l’image des grimpeurs. Vous faites du mal à la pratique de l’escalade, et à la cohabitation entre les différents types de pratique.
Et vous faites ça pour de l’argent…

Mr Bonnet.
Vous, pas plus qu’un autre, au nom d’une idéologie de pratique, n’avez à enlever ne serait-ce qu’un point d’ancrage dans une voie d’escalade. Vous pouvez manifester votre désaccord en le commentant ou en l’ignorant en passant à coté. Les dalles font 200m de largeur, l’on passe où l’on veut et il n’y a pas d’itinéraire précis, donc on peut placer des coinceurs très loin de la ligne de spits.
Votre argument concernant mon intérêt économique ne tient pas, mes livres concernant ce secteur ne sont plus vendus, Mon éditeur, Mr Sombardier ayant fermé sa maison d’édition (OROS).
J’ai nombre de témoignages me soutenant quant à cet équipement qui permet aux familles avec enfants de grimper avec un minimum de sécurité.
Je vous conseille dans votre intérêt d’aller replacer ces points d’assurage. En cas contraire votre mauvaise volonté sera reconnue en temps voulu.
A l’avenir je vous conseille de respecter l’énergie donnée et l’argent dépensé par les équipeurs grace auquels vous pouvez parcourir les voies.
La procédure engagée à votre encontre suivra son cours…

A titre perso:

[quote]@rbonnet: Merci.
@margueritat: No comment…[/quote]

[quote=« margueritat, id: 1672553, post:29, topic:148008 »]Mr Bonnet.
Vous, pas plus qu’un autre, au nom d’une idéologie de pratique, n’avez à enlever ne serait-ce qu’un point d’ancrage dans une voie d’escalade. Vous pouvez manifester votre désaccord en le commentant ou en l’ignorant en passant à coté. Les dalles font 200m de largeur, l’on passe où l’on veut et il n’y a pas d’itinéraire précis, donc on peut placer des coinceurs très loin de la ligne de spits.
Votre argument concernant mon intérêt économique ne tient pas, mes livres concernant ce secteur ne sont plus vendus, Mon éditeur, Mr Sombardier ayant fermé sa maison d’édition (OROS).
J’ai nombre de témoignages me soutenant quant à cet équipement qui permet aux familles avec enfants de grimper avec un minimum de sécurité.
Je vous conseille dans votre intérêt d’aller replacer ces points d’assurage. En cas contraire votre mauvaise volonté sera reconnue en temps voulu.
A l’avenir je vous conseille de respecter l’énergie donnée et l’argent dépensé par les équipeurs grace auquels vous pouvez parcourir les voies.
La procédure engagée à votre encontre suivra son cours…[/quote]

Vous pourriez répondre aux questions qu’on vous pose :wink:

Je n’agit pas au nom d’une idéologie et égoïstement, à votre contraire, mais au nom de la décision prise par les acteurs locaux: CD38 FFME, Bourdat/Guerrillot, contributeurs C2C.
Qu’est-ce qui vous donne le droit de saccager un itinéraire existant au mépris de tous les autres pratiquants qui fréquentent ce lieux?
Votre égo vous joue des tours!
Ma position est claire et assumée: vos deux plaquettes dévissées ont été posées sauvagement, sans accord de personne, et ne constituent en aucun cas un « équipement de sécurité publique ». Ce d’autant plus que l’art de la pose laisse à désirer!
Ces plaquettes posées à 10m au plus de la ligne usuelle sur bons goujons ne sont pas et ne seront pas acceptées. Vous pouvez être sur que d’ici l’hiver il ne restera rien des autres points (cette fois ce ne sera pas moi, je préfère donner mon temps à transmettre ma passion qu’à ces gueguerres stupides).
J’espère qu’une concertation aura lieu prochainement avec les acteurs locaux pour décider d’une action commune de remise en état des dalles. L’état actuel me fait honte à chaque passage, c’est un massacre :frowning:

Pour finir je respecte l’énergie de toutes les personnes grâce auxquelles nos passions sont possible: de celles qui participent à la formation des pratiquants, à celles qui entretiennent ou défrichent nos terrains de jeu. J’ai un respect énorme pour les ouvreurs, qu’ils laissent des lignes faciles sur spit (poussez pas derrière est un excellent exemple), ou abominables (Mussatto par exemple), ou des itinéraires totalement vierges (Maynadier/Bonniot par exemple…).
Je n’ai absolument aucun respect pour votre énergie destructrice. Je le répète: vous mettez à mal la cohabitation des pratiques, sans rien apporter à personne ni d’un « coté » ni de l’autre.

Venez récupérer vos deux plaquettes, c’est mon dernier appel. Faites en quelque chose d’utile: entretien d’une ligne, ouverture d’une nouvelle. Ne vous compromettez pas encore dans un ré-equipement insensé et égoïste :mad:

Je crois qu’on a compris les arguments de chacun… :confused:

M. Margueritat pourrait-il nous éclairer un peu plus sérieusement là dessus ? Car l’argument de faire grimper des familles avec enfants « en toute sécurité » est un peu light à mon goût…

[quote=« margueritat, id: 1672531, post:26, topic:148008 »]Pour votre info, messieurs:
A moins qu’un terrain privé ou communal s’il n’est clôturé ou doté d’un panneau d’interdiction d’accès est pénétrable et l’on peut parfaitement équiper un site d’escalade.
Seul le propriétaire peut en demander le déséquipement après avoir tenté de contacter l’équipeur, lui seul détient le droit au désequipement, après une procédure bien définie judiciairement.
Tout autre personne qui le met en oeuvre de son propre chef se met hors-la-loi et constitue une voie de fait.
La qualification retenue peut être vol, dégradation (si le matériel en place a été abimé) et même mise en danger de la vie d’autrui, s’il s’agit d’un matériel de sécurité destiné au public (3 ans de prison dans les faits les plus graves), les juges ne plaisantent pas en la matière.
La montagne, réputée espace de liberté, n’échappe pas aux règles de droit.
Nul ne peut se faire justice et empieter sur les droits des tiers en touchant au matériel et au terrain ne leur appartenant pas!
L’équipeur reste responsable en cas d’accident grave d’un équipement défaillant si celui-ci ne lui a pas été interdit, ce qui est le cas ici.[/quote]

Pourrait-on avoir une source ?
Un texte de loi, qui confirmerait ces affirmations ?
Donc si le proprio ne veut pas d’équipement, il doit tout clôturer et mettre des panneaux ?
Et comment peut-il faire pour contacter l’équipeur qui la plupart du temps ne laisse pas son nom ?
Tant que je n’aurai pas du juridique là dessus, je n’y croirai pas trop.

Et ca ne répond pas non plus à mes questions sur les motivations de l’équipement sauvage sur itinéraire historique ?

[quote=« Paul G, id: 1672606, post:34, topic:148008 »]

[quote=« margueritat, id: 1672531, post:26, topic:148008 »]Pour votre info, messieurs:
A moins qu’un terrain privé ou communal s’il n’est clôturé ou doté d’un panneau d’interdiction d’accès est pénétrable et l’on peut parfaitement équiper un site d’escalade.
Seul le propriétaire peut en demander le déséquipement après avoir tenté de contacter l’équipeur, lui seul détient le droit au désequipement, après une procédure bien définie judiciairement.
Tout autre personne qui le met en oeuvre de son propre chef se met hors-la-loi et constitue une voie de fait.
La qualification retenue peut être vol, dégradation (si le matériel en place a été abimé) et même mise en danger de la vie d’autrui, s’il s’agit d’un matériel de sécurité destiné au public (3 ans de prison dans les faits les plus graves), les juges ne plaisantent pas en la matière.
La montagne, réputée espace de liberté, n’échappe pas aux règles de droit.
Nul ne peut se faire justice et empieter sur les droits des tiers en touchant au matériel et au terrain ne leur appartenant pas!
L’équipeur reste responsable en cas d’accident grave d’un équipement défaillant si celui-ci ne lui a pas été interdit, ce qui est le cas ici.[/quote]

Et comment peut-il faire pour contacter l’équipeur qui la plupart du temps ne laisse pas son nom ?[/quote]

C’est simple! Il dévisse deux plaquettes, il post la sortie sur internet. Ensuite dépôt de plainte, paf, il connait l’équipeur qu’il peut contacter. :rolleyes: :lol:
(j’en rigole mais c’est atterrant…)

[quote=« margueritat, id: 1672531, post:26, topic:148008 »]Pour votre info, messieurs:
A moins qu’un terrain privé ou communal s’il n’est clôturé ou doté d’un panneau d’interdiction d’accès est pénétrable et l’on peut parfaitement équiper un site d’escalade.
Seul le propriétaire peut en demander le déséquipement après avoir tenté de contacter l’équipeur, lui seul détient le droit au désequipement, après une procédure bien définie judiciairement.[/quote]
qui pourrait donner son point de vue sur ce sujet ? je suis extrêmement surpris de cette position. Ds le même genre, si la parcelle n’est pas clôturée, je peux installer des tyroliennes entre les arbres comme bon il me semble ? détériorer les rochers ? poser des ponts de singes ? http://www.mercantour-roya.com/images/articles/2014-05/2014-pont-de-singe-mesces.jpg .
je serais bien curieux de voir les textes de lois ou jurisprudences qui pourraient accréditer cette position pour le moins surprenante…

Et question annexe, et tout aussi intéressante : dans le Parc naturel de Chartreuse, un équipement hors propriété privée peut-il se faire sans autorisation du Parc ?

Dans une grande voie que je ne citerais pas, par peur d’être poursuivi par l’équipeur, je suis tombé et ai cassé un piton. Retenu par le goujon situé plus bas, je me suis empressé de garder pour moi ce morceau de métal, souvenir d’une chute heureusement sans conséquence.

La question monsieur le juge, est celle-ci : Ai-je volé ? Bien sûr me direz vous, car si vous n’aviez volé, le piton vous n’auriez cassé. Mais si vous n’aviez cassé ce piton, l’auriez vous volé ?
Ce piton servait à artifer mais j’ai tenté le mouve… d’où ce geste « free vol » . Les cloches en « free sonnent » encore… Depuis, le charmant son qu’elles émettaient s’est éteint…
Mais qu’avez vous fait de l’objet coupable ? Juste une petite « free cassée ».

Le vol a-t-il dérangé le volatile qui vous observait depuis le volcan voisin ? Le vol… Quand ? Je ne m’en souvient plus guère. Mais le piton à serrer a cédé. Il permettait d’ac-céder au bac salvateur sans pos-séder de gros biceps. Mais sans lui, comment les suivants vont-ils pro-céder ? Risquent-ils d’en dé-céder ? Ils vont se suc-céder et s’ex-céder de la disparition du piton ! De dépit, on nage en plein délire.

[quote=« bonobo26, id: 1672652, post:38, topic:148008 »]Dans une grande voie que je ne citerais pas, par peur d’être poursuivi par l’équipeur, je suis tombé et ai cassé un piton. Retenu par le goujon situé plus bas, je me suis empressé de garder pour moi ce morceau de métal, souvenir d’une chute heureusement sans conséquence.

La question monsieur le juge, est celle-ci : Ai-je volé ? Bien sûr me direz vous, car si vous n’aviez volé, le piton vous n’auriez cassé. Mais si vous n’aviez cassé ce piton, l’auriez vous volé ?
Ce piton servait à artifer mais j’ai tenté le mouve… d’où ce geste « free vol » . Les cloches en « free sonnent » encore… Depuis, le charmant son qu’elles émettaient s’est éteint…
Mais qu’avez vous fait de l’objet coupable ? Juste une petite « free cassée ».

Le vol a-t-il dérangé le volatile qui vous observait depuis le volcan voisin ? Le vol… Quand ? Je ne m’en souvient plus guère. Mais le piton à serrer a cédé. Il permettait d’ac-céder au bac salvateur sans pos-séder de gros biceps. Mais sans lui, comment les suivants vont-ils pro-céder ? Risquent-ils d’en dé-céder ? Ils vont se suc-céder et s’ex-céder de la disparition du piton ! De dépit, on nage en plein délire.[/quote]
Magique, merci :slight_smile:

Si Mooonsieur Margueritat ne veut pas se faire « piquer » ses plaquettes, faut pas qu’il les laisse trainer partout :stuck_out_tongue: