Tout ça pour avoir son nom dans de le champ « historique de l’itinéraire » sur camptocamp une fois le topo récupéré par ce site de cleptomanes !
Sinon, ha, les remarques suintantes de condescendance de Franchouillard ! Personnellement, je me sens un peu visé car je suis le genre de mec qui se fait plaisir dans le 5, passe du 6 sous la torture et s’emmerde dans les grandes voies ainsi qu’en salle parce-qu’il préfère infiniment plus le terrain d’aventure, le crapahutage et surtout la recherche d’itinéraire. Équiper l’arête du soleil avec une soixantaine de spits rend la course un peu comme la bouffe sans gluten: d’apparence similaire mais avec tout le fun en moins !
Aussi, chaque alpiniste a ses propres exploits et avec le niveau qu’il a: Benoist avec une hivernale des Jorasses, un débutant avec le Gioberney… Le plaisir n’en est pas moindre pour autant et cela évolue bien sûr avec le niveau et l’expérience !