Posté en tant qu’invité par Pat:
Je suis assez d’accord avec ton analyse. Dans une pathologie, il me semble que le patient a aussi son rôle à jouer. Par contre la mission du praticien est d’observer une certaine transparence avec le patient ; notammement dans ce cas précis d’une entorse où effectivement, sans diagnostic précis posé, il est difficile de prendre position.
Je suis assez accro aux médecines « douces » (homéo, méso, ostéo), je consulte donc fréquemment dans ces spécialités. Chaque praticien que je fréquente, et c’est pour cela que j’ai confiance en eux, interviennent systématiquement en me posant le diagnostic avec les soins possibles , leurs avantages et leurs inconvénients.
Dans la trauma sportive, j’ai pu observer une constante qui s’appelle REPOS, terme à la limite de l’insulte pour la population d’actifs que nous sommes, alors ensuite on peut ne pas se reposer, on peut continuer en ralentissant la cadence…mais chacun doit alors admettre les risques de rechute, de longueur de guérison, etc.
Actuellement je suis tjrs em…avec des tendinites aux coudes, bon je m’hydrate, mon ostéo remet en place ce qui « a bougé », j’ai un traitement de fond en homéo, quand cela empire vraiment je fais de la méso, mais en fait chacun m’a bien dit que cela me permettait de continuer les activités sportives, mais n’augurait pas obligatoirement d’une guérison totale, je le sais et je l’admet.
Attention donc aux préjugés tout faits, ceux qui plâtrent systématiquement sont à bannir, ceux qui encouragent de continuer systématiquement le sont aussi. Il faut placer le curseur au bon endroit mais en accord total entre praticien et patient et en toute connaissance de cause.
A+