Pas mal le griffoir à chat 
Enquête bâtons de randonnée
Anna, transmets leur toutes mes excuses les plus sincères pour avoir sous estimé ces œuvres d’art.
Rando, ski montagne, raquettes, rien de mieux que « Les bâtons d’Alain ».
J’hésitais à en prendre une paire justement, mais ça me chagrine un peu les bâtons monobrin, je trouve ça tellement pratique de pouvoir ranger 2 bâtons télescopiques sur le sac sur les emplacement piolets sans gêner les mouvements. Alors certes quand on a déjà les skis sur le sac on doit pouvoir caser 130cm de bâtons en plus, mais dans certains cas quand ça termine en mixte je me vois pas trimballer un bâton rigide 
En ski de rando je suis inconditionnel, dans la mesure où je connais trop bien mes capacités de destruction des bâtons pliables ou télescopiques. Quand on casse en rando ou alpinisme, les conséquences ne sont pas les mêmes qu’à ski, surtout sur un raid de plusieurs jours.
Par contre, en rando estivale ils s’avèrent souvent encombrants et moins versatiles qu’un modèle léger et pliable. Et une vraie dragonne avec une poignée liège apportent une efficacité et un confort indéniables.
A l’image des nombreux équipements que l’on a en double ou en triple pour des activités différentes (sac à dos, baudrier, etc), il ne me parait pas ridicule d’utiliser différents modèles de bâtons. Quand je vais grimper et que je laisse mes bâtons au pied de la falaise, je prends de vieux bâtons de ski ou de ski de fond monobrins que l’on ne me volera pas ou que je peux déglinguer sans regrets.
perso j’ai des bâtons alu tout normaux (avec de la mousse longue pour les dévers).
En cas de mixte les bâtons sont fixés avec les skis.
Idem.
Et pour le ski, des bâtons télescopiques, jamais, trop de risque de raccourcissement intempestif.
C’est là qu’une localisation par GPS peut être pas mal pour retrouver le quidam qui les a malencontreusement (euphémisme) pris pour siens.
Bâtons télescopiques seulement pour la rando, l’alpinisme ou la raquette. Jamais pour le ski pour lequel j’ai des Trab avec mousse à mi-hauteur.
Vu que je ne mets jamais les dragonnes (expérience…) je m’étais un peu renseigné sur les ɓâtons d’Alain, mais quand j’ai vu le prix…
je pense que rien n’empêche de couper des dragonnes, si on aime vraiment pas ça…
Je n’aime pas mutiler mon matériel !
Tous les machins connectés passent en général via bluetooth par le smarphone pour communiquer avec l’extérieur. Donc à moins d’oublier et/ou de se faire voler son smartphone avec les bâtons et qu’il ne soit pas coupé, aucune chance de les retrouver par ce moyen.
Si tu veux des bâtons « autonomes » il faut il faut ajouter un module 4G et une carte sim ou un émetteur, ça va augmenter encore le poids, ajouter un abonnement et final le surcoût sera largement supérieur au prix des bâtons… 
Il y a des solutions antivol/tracker à base d’AirTags Apple, et des choses qui y ressemblent qui peuvent fonctionner chez Android aussi (voir par exemple le Tile tracker).
Tout ça fonctionne bien en bluetooth, mais pas uniquement le bluetooth du téléphone du propriétaire. Le smartphone d’un parfait inconnu peut le détecter en passant à proximité et participer à sa géolocalisation.
Pas besoin à ce moment là de module de communication SIM, c’est un tag bluetooth low energy tout bête, qui peut d’ailleurs se coller sur d’autres choses que des bâtons. Des gens utilisent ça pour leurs vélos par exemple.
Tu as raison mais ça coûte quand même 30 € si je ne m’abuse, et vu la valeur d’une paire de bâton et la probabilité des se les faire voler… pense-tu que l’investissement soit rentable ? (sans parler du risque de traçage détourné de tous ces machins connectés)
Perso je n’ai jamais entendu parler de bâtons volés (par contre des bâtons qui cassent ou qui tombent au fond d’un ravin ça c’est courant…)
les mêmes pour moi,depuis au moins vingt ans (indestructibles et bien moins chers que chez Alain)
Lors d’une rando « Vercouline » avec plein de participants et repas en commun à la fin, tout le monde a posé ses bâtons à l’entrée, et quand je suis sorti il n’y avait plus mes bâtons télescopiques à poignées ergonomiques et amortisseurs, mais il restait à la place une paire de vieux bâtons très ordinaires…
Bernard
Des bâtons connectés ? Aucun intérêt, selon moi.
En revanche, pour avoir débuté en alpi à 17 ans, avec des « vieux » de 45-50 ans qui avaient les disques vertébraux et les ménisques complètement écrabouillés par des années de descentes dans les cailloux sans bâtons, je me suis immédiatement-tout de suite équipée de bâtons télescopiques pour cet usage, dans l’espoir de faire durer la carcasse.
Trente-cinq ans après, j’en mesure quand même les bénéfices articulaires.
Évidemment, les bâtons télescopiques, c’est pour aider dans les montées et amortir-équilibrer dans les descentes avec sac un peu lesté. Pas pour la rando du dimanche en forêt de Fontainebleau où c’est plus gênant qu’autre chose…
A Bleau, selon le but, c’est rando sans bâtons ou marche nordique (mais dans ce cas, avec de vrais bâtons de marche nordique en carbone et fibre de verre, avec gantelet à passage de pouce).