Souvent la situation typique que j’ai vu c’est le mec qui s’y connait un peu (ce qui est bien plus dangereux que ne rien connaitre du tout) avec une femme (pas forcément sa copine, mais souvent) qu’il essaie « d’initier » au milieu, alors qu’il est à peine initié lui même.
Effet des reseaux sociaux sur la pratique de la montagne (fréquentation, bivouac)
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D’ailleurs, en ce qui concerne le feu au bivoauc, difference interessante entre la France et la Suisse.
Je cite les conseils du CAS:
Utilise les foyers existants, car chaque nouveau foyer détruit la végétation et le sol pour des années. Evite de causer des dégâts par le feu et respecte impérativement les prescriptions en matière de danger d’incendie de forêt.
Alors qu’en France c’est preconisé de demonter les foyers quand on part. Je pense que les Suisses ont raison sur ce point.
À titre personnel je ne fais plus, ou alors très rarement, du feu quand je bivouac. Souvent parce que je bivouac bien au dessus la zone boisée. Mais je ne pourrais jamais nier le charme du feu de camp, c’est sur que certains le feront, et je pense que la façon Suisse limite mieux les degâts.
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Il me semble qu’il était question de formation au bivouac et à la pratique de la montagne. C’est fait :
Je précise que je n’ai pas de conflit d’intérêt 
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Et bien se renseigner avant de faire du feu. Actuellement c’est interdit dans tout le Valais, et probablement aussi d’autres cantons.
https://www.vs.ch/web/sfnp/incendi
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Plutôt une bonne idée de former les gens au bivouac, je trouve.
Mais deux questions :
Je lis « Ce soir, le sol, c’est votre matelas ».
Qd vous prévoyez de bivouaquer, est ce que vous compter toujours trouver une belle zone d’herbe, ou est ce que vous prévoyez mousse ou autogonflant pour pouvoir choisir le lieu qui vous plaira le plus ? Perso, je cherche du plat confortable, mais j’ai tjrs un autogonflant
Je lis aussi « allumage du brasero ».
Si c’est une sorte de feu de camp, est ce une bonne idée d’associer les notions de bivouac et de feu de camp ?
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A mon sens c’est une très mauvaise idée
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Je me dis quand même on est descendu très bas , faire une formation pour dormir dans une tente à des enfants oui, mais à des adultes…
Ce qui est positif c’est que de nouveau métier vont apparaitre, et de nouvelles formations, comment lacer ses chaussures de randos par exemple etc…
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Peut-être que les adultes n’ont jamais dormi sous tente étant enfant.
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Oui, il y a plein de gens qui n’ont jamais campé de leur vie, et un bivouac est + compliqué qu’un camping avec la voiture. Problème du poids du sac, du choix de l’emplacement, de la gestion du froid ou de l’humidité, de l’alimentation, intérêt de s’isoler du sol, gestion des déchets…
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Je pense aussi, ce que l’on se permettait de faire avant, je ne le fais plus, lors des bivouacs de type « festif » -> Mini BBQ + charbon de bois -> pas de trace au sol + pas de bois ramassé ou coupé
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C’est un chien de protection de feu ?
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J’ai trouvé aussi que l’initiative est intéressante.
Le camping et le bivouac semblent élémentaires pour un certain nombre d’entre nous (montagnards et c2cistes) mais ce n’est pas forcément une réalité partagée de manière large dans la population. Pour prendre un exemple personnel, mes enfants ont campé et bivouaqué très jeunes mais je ne suis pas sure que leurs cousins et cousines aient jamais dormi ne serait-ce qu’en tente. Et la multiplication des résidences de tourisme et autres meublés touristiques n’y aide pas.
Alors, oui, un accompagnement pour ce type de pratique, une initiation, c’est bienvenu.
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Plutôt un chien d’attaque de saucisses,…
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La preuve que non 
Se donner bonne conscience parce-que arrivé à un certain âge (et pratiqué X fois) on évolue ne fait pas oublier qu’on s’est nous même comporté comme ceux qu’on critique maintenant.
Certes, l’époque à changée, mais ça n’est pas plus « inné » maintenant qu’avant
Ce qui posait peu de soucis quand il n’y avait pas grande monde en montagne peut devenir plus problematique quand il y a beaucoup plus de monde. Si on n’était que 500million sur terre il n’aurait égalament peu de soucis de faire des roadtrip ou même prendre l’avion à volonté, mais là il y a plus de pression sur l’environnement.
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J’avais participé avec MW à un ramassage de déchets au Lac Lauvitel (début des années 2000) avec descente avec des mules. Je me souviens que les « déchets » que l’on avait ramenés dataient essentiellement des années plutôt 60-70 avec un nombre incalculables de boites de conserves qui étaient soigneusement planquées dans les rochers,…
Je pense donc au contraire qu’il y a moins de déchets laissés volontairement mais que la fréquentation (et la population !) a fortement augmentée et malgré cela je pense qu’il y a moins de détritus laissés en montagne, en revanche, pour les foyers de feux (et le bois prélevé) c’est problématique par rapport à « avant ».
Edit : @rufus97 j’avais pas vu ton message, mais même constat.
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Heu… ben non, pas forcément. Ado, à la fin des années 80, quand j’ai commencé à bivouaquer et à randonner dans les Vosges, j’avais juste un réchaud, une popote, un karrimat et un duvet. Il ne me serais pas venu à l’idée de laisser mes déchets, mon PQ, ni d’emmener une tente par beau temps l’été. Ni même d’allumer un feu de camp en pleine forêt l’été. Il y a des choses qui relèvent du bon sens, même si on habite en ville toute l’année.
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Mais avec tous les complotistes qu’on rencontre maintenant, tu ne trouves pas que ça fait beaucoup de monde qui manque de bon sens ?
Bernard
Je ne sais pas si ce cas est du aux RS… fin de la gratuite des secours ?
Quelqu’un reconnait ce sommet ? En ariege a priori ?
Je ne sais pas où c’est, mais je ne vois pas le lien avec les réseaux sociaux.
Peut-être plutôt le suivi d’une trace sans autre compétence (soit erreur de trace liée aux mesures GPS, soit trace d’hiver suivie en été, par exemple…) ?