Pas facile, car on voit peu d’arrière plan.
C’est le Certascans N, qui est sur la frontière. Son arête NO (à droite) est facile. L’arête Est aussi. Côté espagnol, c’est dans mon souvenir assez pourri. Mais côté français, c’est un beau granit sur moins de 80m de hauteur dans la face, au dessus d’un méga pierrier.
Vu de loin côté nord:
Et la face (80m au plus haut), vue de l’arête NO:
Effectivement assez gêné par les réactions ici et ailleurs sur ce fait divers sans qu’on connaisse les circonstances. Comment il s’est retrouvé là on n’en sait rien à moins qu’il y ait eu des infos depuis.
J’ai même lu qu’il devrait payer les secours et une amande… A mon avis l’amande (il l’a piquée où cette amande ? On n’en sait rien) ça ne devrait pas être trop significatif financièrement par rapport à l’hélico.
Non mais c’est des contacts indirects. Du coup peut-être que ça passe par l’Ariège.
Ce genre de chose c’est pas tellement nouveau quand-même peut-être juste plus courant. Mais quand on nous demandait si on cueillait des cerises sous le télésiège de Seythenex c’était guère mieux. Ou des vaches naines pour des veaux. Ou de voir le Mont-Blanc en hiver pour qu’il soit blanc…
Exact, ce genre d’anecdote n’a rien de nouveau.
Après tu fais plutôt référence à une méconnaissance générale de la montagne (comme ceux qui une fois a la maison du parc de la Vanoise avaient demandé devant moi a quelle heure ferme le parc).
Mais je pense que les gens que j’ai croisés ils avaient vraiment vu une photo du lac quelque part, de ce lac, sur internet ou par bouche à oreille probablement (je doute qu’un office de tourisme les envoie là en mai) et se sont dit go on y va sans même s’interroger sur comment on y va.
on frise la synesthésie là !
Aux Fontannettes à Pralognan, il ferme à 19h au printemps. Des chamois gardent l’entrée et empêchent d’entrer dans le parc. Une année on a du faire un détour par des pentes raides pour passer à 19h30…
A l’époque où on avait des touristes en tongs sur le glacier des Bossons, on essayait de leur vendre des cuissots de dahu. Ça marchait pas mal 
avec la tente, le barbecue, la sono, la stère de bois et les packs de bière je marche très lentement, il me faut bien 1h pour faire 50m … 
sont interdits de toute façon dans le parc 
Oui, j’ai fait la même constatation cet été. Fin juillet/début août, dans le Valgaudemar, impossible de réserver pour 3/4 personnes: tous les refuges étaient complets. Et en plein mois d’août en Haute Maurienne, j’ai eu beaucoup de mal à avoir de la place en refuge au dernier moment, alors que j’étais seule: beaucoup étaient complets jusqu’à la fin du mois d’août, en particulier les refuges du Parc de la Vanoise (j’ai essayé Dent Parrachée, Prariond, Fond d’Aussois). Il n’y a qu’au Carro où il y avait de la place. Même au refuge des Evettes, je n’ai eu de la place que dans une tente à côté du refuge (il y en avait 3 de disponibles, installées par le refuge). C’était en téléphonant le matin même, il est vrai, mais quand j’ai demandé au dîner quand les autres personnes présentes avaient réservé, c’était au moins 2 ou 3 semaines avant.
Et plusieurs personnes bivouaquaient (avec ou sans tente) à proximité du refuge, dont une famille avec enfants, mais avaient pris la demi-pension au refuge.
A noter que l’an dernier, au mois de juillet, on avait pu avoir quelques places 3 ou 4 jours à l’avance dans des refuges du Parc de la Vanoise, mais là aussi, on avait vu sur internet que tout le mois d’août était déjà réservés (aux environs du 15 juillet).
P’tit’ étoile.
C’est marrant, j’avais l’impression que la tendance ces dernières années ( pas que sur les refuges de montagne ) était de s’y prendre au tout dernier moment pour les réservations, ce qui désolait les professionnels du tourisme.
Mais peut-être que cette tendance est en train de s’inverser ?
Même constat, en même temps c’était au même endroit et à la même période . c’était surtout pour faire découvrir cela à ma copine et à sa fille de 9 ans, donc j’ai pu choisir assez librement mon refuge dans un endroit peu passant.
Le parc de la Vanoise est devenu à la mode, il y a plein de vidéos qui circulent sur le tour des glaciers ou d’autres parcours.
Bref, un refuge comme celui de l’Arpont, qui était déjà l’un des plus gros de France (top 10) faute d’alternatives comme celui du col de la Vanoise, est devenu une véritable usine depuis sa rénovation.
Concernant la fréquentation : cette année le parking de Bellecombe était payant (avec quelques ratés, signalisation très insuffisante, appareil bâché par des opposants, 5 € la demi-journée, 8 € la journée, etc.). De plus, il y avait un nombre insuffisant de navettes alternatives pour monter. Il paraît que certains jours des gens n’ont pas pu monter et sont restés en bas.
Selon des rumeurs entendues au bar, les prochaines routes/parking concernés seraient :
=>la route du lac du Mont-Cenis qui mène au refuge du Petit Mont-Cenis,
=>L’Orgère aussi (je ne connais pas trop ce coin, je ne fais que rapporter la rumeur).
Ça faisait longtemps que je n’étais pas venu en Maurienne en juillet/août, je viens d’habitude en mai/juin ou en septembre/octobre. On peut dire qu’il y avait beaucoup de monde sur les itinéraires rando classiques.
quand c’est complet, c’est complet aussi au tout dernier moment.
La loi de l’offre et de la demande.
téléphoner/passer le jour m^me permet , parfois, de « récupérer » les places de ceux qui réservent à l’avance sans respecter leur réservation ( et sans annuler !)
…et ça c’est un autre débat !
Globalement, le système de la liste d’attente en ligne m’a souvent donné de bonnes surprises, que ce soit sur des réservations que j’avais tentées très à l’avance ou au dernier moment.
J’ai souvent pu récupérer la ou les places manquantes, y compris en juillet/août, en Suisse beaucoup (via hut-reservation.org, anciennement alpsonline.org) et je pense aussi parfois en France sur le site de réservation de la ffcam.
Après, ce n’est pas toujours miraculeux, mais je conseille la mise en liste d’attente et surveiller son mail régulièrement.
Sauf quand il fait mauvais, par exemple l’an dernier au refuge de l’Arpont. On avait pris les dernières places disponibles, mais le jour j, il y a eu beaucoup plus de places de libres car mauvais temps (pluie et orages).
Cela m’a d’ailleurs été plus ou moins confirmé lors de mes discussions en refuge cette année (le refuge des Evettes était bien complet): les gens réservent assez à l’avance et si la météo est vraiment mauvaise, ils annulent ou ne viennent tout simplement pas.
Heureusement, il reste les autres 
: au refuge des Evettes, tout le monde montait au lac du Grand Méan. J’ai été toute seule vers la pointe Francesetti: personne sur tout l’itinéraire. Idem du refuge du Carro (col du Carro ou col de Pariotes pour la plupart) où j’étais seule à la Levanna Occidentale (week-end du 15 août pourtant).
certes, certes. Mais s’il fait moche, je vais pas non plus aller en montagne.
Lorsque je vais en refuge c’est pas pour son confort ni pour le repas…
Sur le surtourisme dans les Écrans et les Dolomites :
https://www.lechotouristique.com/article/parc-national-des-ecrins-215-tentes-en-bivouac-et-apres
Oups !!!
