Posté en tant qu’invité par Van:
[quote=« strider, id: 1080340, post:72, topic:104084 »]
[quote=« Captainhook, id: 1078095, post:50, topic:104084 »]Pour compléter l’info :
PPRN : plan de prévention des risques naturels prévisibles
Définition des couleurs du zonage réglementaire :
Blanc : zone sans contrainte liée aux phénomènes naturels
Bleu : zone constructible avec respect de prescriptions
Rouge : zone inconstructible au titre des risques naturels
Orange : ?? Il n’y en a pas en Isère.
Comme tu le dit, ils sont conçus pour la prise en compte des risques naturels dans l’urbanisme et l’aménagement du territoire, ils ne sont pas adaptés à la pratique sportive en montagne.[/quote]
Salut Captainhook, le « orange » (cas savoyard récent) en fait est la même chose qu’une zone rouge sauf que des habitations existent dessus et sont habitées plus ou moins à l’année (ou en résidence secondaire) : ça signifie concrètement « projets nouveaux interdits » le temps que les études prescrites (avec délais) + travaux de protection qui en découlent soient réalisées afin d’envisager la modification du zonage et le passage en zone bleu…mais on ne contraint pas les gens à évacuer leur habitation, ils peuvent d’ailleurs les rénover dans les volumes existants sous réserve que ces rénovations ne soient pas de nature à augmenter leur vulnérabilité…
d’une certaine manière le violet peut être l’équivalent du « orange » cité précédemment.[/quote]
Intervention dans un sujet qui ne doit intéresser que très peu de monde (mais bon, si les journalistes prennent leurs informations dans les forums…
)
Il me semble que la « zone orange », s’il s’agit bien de celle du « maintien du bâti l’existant », ne correspondait pas vraiment à l’ex zone violette iséroise (A moins qu’effectivement, ce ne soit une toute dernière nouveauté du RTM/DDT 73?)
Elle était appliquée à presque tout le bâti situé en zone rouge, et ne supposait pas nécessairement que des ouvrages de protections ou des études complémentaires puissent amener à un déclassement de la zone, comme c’était le cas des zones violettes en Isère. Ces dernières avaient vocation à rester relativement peu nombreuses en Isère, alors que les « zones de maintien du bâti à l’existant » étaient très courantes en Savoie.