Posté en tant qu’invité par glaçon des Pyrénées:
Pour essayer d’être direct :
je randonne dans les Pyrénées pluseurs jours d’affilée avec mes raquettes et je dors parfois sous mon shelter monoplace (alt. entre 1800 et 2500 mètres).
Le matin le shelter est couvert de glace dedans dehors, le sac de couchage est couvert de glace.
Condensation…
Donc au lieu de poursuivre ma route je dois bénéficier de conditions favorables ou d’un proche refuge pour faire sécher tout ça.
Que le shelter soit glacé ne me pénalise pas, je peux le secouer, par contre le sac de couchage je ne sais pas comment gérer…
je ne peux pas le mettre en l’état ou vaguement débarrassé de sa glace dans mon sac à dos et poursuivre ma route pour le soir devoir me coucher dans un machin glacé et/ou humide…
pour résumer clairement : comment font les gars qui dorment dehors par - 10, -15 tous les soirs pendant disons une semaine ou 15 jours ???
dois-je aérer au maximum la tente durant la nuit ? dois-je utiliser un sursac particulier qui « chope » la glace et permette au sac de couchage principal de rester sec et non glacé ?
Merci pour vos expériences, du vécu svp, il s’agit de techniques de survie pas de blabla subjectif du genre « heu… alors à mon avis, bla bla bla »….
Merci aussi pour des conseils et techniques pragmatiques et économiques. J’aimerais éviter des frais trop important genre achat d’un super duvet à 500 euros et trouver une solution avec mon matos actuel :
en partant de l’intérieur du sac que je me confectionne pour les conditions indiquées :
Thermolite reactor extreme+ SOL escape Bivy + duvet synthétique confort 0° C + duvet synthétique confort 0° C (oui, 2 duvets en tout) poids total env. 2 kg.
je dors bien, je n’ai pas froid par - 10° C, en cas de coup de froid, de vent, d’orage, je m’habille plus chaudement et ça passe.
En plus j’ai toujours 2 couv. de survie, une au sol sous le matelas mousse et une autre recouvre tout l’ensemble mais de façon à respirer (un peu en vrac quoi).
Donc pour résumer :
comment dormir au sec et au chaud tous les soirs pendant une semaine au moins à 1800, 2500 m d’altitude à moindre frais, sans avoir à faire sécher le matériel parce que formidable il est resté sec. là je crapahute l’esprit tranquille.
Merci à tous les pros qui auront la gentillesse de m’éclairer.
Merci à ce site que je trouve vraiment formidable.
Cordialement à tous.