Posté en tant qu’invité par André:
Est-ce juste une baudruche générée par les revues spé ou bien effectivement allons-nous voir débarquer un jour les accros des piolets, en chaussons, au pied des falaises 100% rocher…?
Posté en tant qu’invité par André:
Est-ce juste une baudruche générée par les revues spé ou bien effectivement allons-nous voir débarquer un jour les accros des piolets, en chaussons, au pied des falaises 100% rocher…?
Posté en tant qu’invité par pascal:
c’est koi?
Posté en tant qu’invité par fred.167:
c comme la cascade de glace mais avec piolets traction et peut etre crampons,je crois…Normalement, c reservé pour acceder a la cascade quand on peut pas commencer l’ascension dessus, mais ca tend a devienir un truc a part…si j’en crois la video « pitch sorbet » qui nous fait tout un chapitre la dessus.
Selon pas mal de gens (specialistes surtout), c une discipline a part entiere mais pour ma part, je pense que ca doit se limiter aux voies d’accès pour les glaçons
G vu quelque part une discussion la dessus et des grimpeurs « esti…val?..vaux? » reprochaient aux grimpeurs en dry de bousiller les prises a ablon, ou y’a tout plein de cascades en hiver (dans vertical roc je crois)
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Oui, ça se pratique en crampons (et piolets). C’est devenu une spécialité à part entière, et les meilleurs dry-toolers (?) se recrutent parmi les meilleurs grimpeurs. Parait qu’ils plantent des Yaniro en veux-tu en voilà.
Pour l’instant, ça se pratique sur des falaises pourries, ou en salle (!). Mais demain, quand ils seront beaucoup plus nombreux ? Vigilance…
Si je trouve pour ma part cette pratique peu engageante, il faut savoir qu’elle constitue un bon entraînement au mixte extrême en montagne, style Eldorado aux Grandes Jorasses en hivernale (par Lionel Daudet en solitaire). Mais de là à en faire un sport grand public…
C’est plutôt une affaire juteuse pour les fabriquants de matériel, et si les magazine en font leur chou gras (y compris les magazines de grimpe), c’est sûrement pour la pub matos qui doit leur apporter une bonne petite somme.
Posté en tant qu’invité par Claude:
Je crois que les dry-toolers ont désormais pris consience que la roche - surtout le calcaire - n’aime pas le contact des pointes en acier. Ils ont donc équipé des nouvelles voies dans de nouveaux secteurs pour pouvoir s’entrainer. Si ils deviennent beaucoup plus nombreux ils équiperont tout simplment d’autres voies. Je ne vois donc pas de raisons pour nous inquiéter pour nos secteurs de couennes adorés.
Les magazines de grimpe en parlent parceque c’est une nouveauté dans le monde de la grimpe ; c’est bien ce que l’on attend d’eux.
Pour les fabriquants de matériel, je ne sais pas si c’est aussi intéressant que ca. A priori les gens qui font du dry ont commencé par la cascade et possédent donc déja le matos nécessaire. Ca fait juste quelques lames de rechanges de plus a vendre ainsi que des arguments pour vendre des crampons plus cher comme les darts.
Posté en tant qu’invité par FredK:
C’est peut-être une solution pour remettre en état les voies patinées ?
Plutôt que de verser de l’acide chlorhydrique sur les prises… !!
Posté en tant qu’invité par fred.167:
ouaisben alors on va refaire le topo du saussois!!
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Claude a écrit:
Pour les fabriquants de matériel, je ne sais pas si c’est
aussi intéressant que ca. A priori les gens qui font du dry
ont commencé par la cascade et possédent donc déja le matos
nécessaire. Ca fait juste quelques lames de rechanges de plus
a vendre ainsi que des arguments pour vendre des crampons
plus cher comme les darts.
Je n’en suis pas si sûr ; les fabriquants espèrent draîner une population beaucoup plus importante que celle des « cascadeurs », pour la simple raison que les conditions météo pour la cascade ne sont pas souvent satisfaites, alors que le dry-tooling, c’est n’importe où n’importe quand. Les fabriquants visent la population des grimpeurs qui s’ennuient l’hiver… et ils sont nombreux !
Posté en tant qu’invité par Oliv’:
c est clair que le rocher il aime pas le drytooling (surtout le calcaire) Mais bon je suis un jeune con donc j ai essayé ca sur une falaise de grimpe mais qui est vraiment pourrie et en fait c est génial. C est sur que ca va devenir une discipline a part entière vu les « mouv » qu on peut faire, et le yaniro bien entendu … point de vue matériel nous on fait ca a la barbare avec des piolets longs et droits d alpinisme classique, pareil pour les crampons. par contre malgré les dragonnes qu on s est fabriquée, ca daube vraiment les bras et un éperon arrière ca doit etre pratique pour les talons.
Bien sur on détourne l activité de son but premier mais il faut nous comprendre car nous sommes des pauvres lorrain et nous n avons pas un seul bout de glacon a moins de 500 km. De toute facon je crois que l escalade moderne est aussi un détournement de l alpinisme. Attention tout de meme le rocher c est fragile
Posté en tant qu’invité par Yeti:
Oliv’, il y a de très belles cascades dans les Vosges.
Ca ne doit pas être à 500 km de chez toi.
Des copains y sont allés le week end dernier. Elles étaient en bonne condition.
Ca t’évitera de bousiller sauvagement les falaises de grimpe.
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Ouais… 3/4 WE dans l’année au maximum ; et donc beaucoup de monde, d’où danger.
Posté en tant qu’invité par Oliv’:
je précise que j.marc c est l autre con qui fait du dryt avec moi. pour la falaise ne t inquiète pas trop yeti car déjà elle est interdite, en plus elle est vraiment glauque et il y a 3 glandus (dont moi) qui y grimpent chaque mois , et aussi elle va s ecrouler incessament sous peu alors… (t a déja ete grimpé a liverdun?) pour les vosges j y pense…
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Oliv’ a écrit:
je précise que j.marc c est l autre con qui fait du dryt avec
moi.
Je crains qu’il n’y ait erreur sur la personne ! Que je sois un peu con ne fait aucun doute - plutôt vieux con que jeune con dailleurs - , mais il se trouve que si le dry-tooling m’intéresse en tant que curiosité alpinistique, je n’en ai jamais fait, et encore moins avec un Olivier !
On ne choisit pas ses homonymes…