Posté en tant qu’invité par Bubu:
donc si tu veux progresser à la descente, il faudra
certainement améliorer ta technique, faire des pauses, etc.
Heu, je ne suis pas sûr que de faire des pauses diminue l’énergie dépensé et la fatigue à la montée: ça coupe la machine, et faut tout relancer quand on redémarre. Le top est de limiter le plus possible les pauses ainsi que leur durée. Par contre, faire des pauses et bourriner entre permet de faire du fractio et d’augmenter sa puissance. Mais lors de cet exercice, on est pas du tout efficace et on est bien fatigué au sommet, c’est plus tard que l’on en récolte les fruits.
Mais si de limiter les pauses évite de la fatigue, ça ne suffit pas: il faut aussi bien gérer son effort: en démarrant cool pour se chauffer, puis en allant ni trop vite ni trop lentement (ces limites varie au cours de la course, il faut apprendre à se connaitre), en restant « dans le vert », et en s’hydratant bien. On peut marcher ainsi des heures sans s’arrêter et sans se fatiguer bien sûr, et on rechigne alors à faire des pauses.
Pour le problème des cuisses à la descente, c’est juste qu’elle est trop en arrière, comme on l’a déjà dit. Normalement un bon skieur (sur le milieu du ski) n’a pas besoin de plus de cuisse que pour monter, sauf neige difficile (l’entrainement aérobie de la montée développe aussi un peu mode anaérobie, et suffisemment pour ce qu’exige une descente en ski). Sinon un entrainement possible: courrir dans les escaliers à la montée (en sautant les marches), si ses déplacements en villes ou chez soi empruntent pas mal d’escalier, c’est suffisant.
En ce qui concerne le sac, il faut bien le ramener près du corps en sérant toutes les sangles: bretelles, ceinture, rappels de charge. Après 50m de descente, on peut souvent encore ressérer les bretelles (c’est un peu comme les chaines de voiture). Un sac de 10kg ne doit quasiment pas bouger.