[quote=doudouc2c]salut!
même problème que toi, sur 12h de course j’en passe 6 à pleurer et à me demander si faut appeler l’hélico!
du coup j’ai consulté généraliste et chirurgien, radios à gogo, scanner et arthroscanner, le diagnostic est long mais …
ca aurait pu être les ménisques mais non c’est les cartilages et ce n’est pas mieux… ils appelent ca un « synfrome rotulien » qui fait souffrir bon nombre de sportifs. les solutions : kiné ultrasons visco supplémentations, physio et phyto thérapie, voir ils opèrent! j’espère être guérie avant!
et bien sur ne pas oublier l’ostéopathie parfois miraculeuse!
si tu es sur grenoble je peux te filer des adresses sures, car les charlatants du bistouri rôdent…
sinon, ce n’est pas une solution géniale, mais tu peux prévenir le mal avec des anti inflammatoires (gaffe au ventre) ou simplement de l’aspirine qui a la même fonction, avant la descente entre autre.[/quote]
Salut les éclopé(e)s ,-)
J’ai aussi un problème d’usure des cartilages, et peut-être d’arthrose, avec un kyste synovial qui se forme parfois dans le creux du genou, surtout au ski.
Mon rhumato m’a laissé le choix entre marcher dessus jusqu’à ce que l’os soit usé de façon à ce que ça ne fasse plus mal, et la viscosupplémentation.
J’ai pris la viscosupplémentation, ça marche jusqu’à ce que ça soit usé et après il faut recommencer car ça coince et le genou s’enflamme. C’est partiellement remboursé une fois par an.
Il m’a aussi proposé des injections préventives pour un gros truc genre expé ou raid à ski. On verra, pour le moment j’évite les médocs, sauf l’aspirine pour les muscles, et encore. Et la cortisone ne fait pas forcément bon ménage avec le diabète.
Je ne respecte absolument pas la limite prescrite de 600 à 800 mètres de dénivelé quotidien, loin de là. La moindre course d’alpi c’est 1500 à 2000 mètres de descente. Pour le moment le genou tient, même s’il est toujours un peu sensible.
J’avais par contre un autre problème de pieds complètement idiot, c’est que mes crochets intermédiaires étant desserrés laissaient filer les lacets et du coup le pied venait taper sur le bout de la chaussure, avec la torture qu’on imagine pour les doigts de pied. J’ai arrangé ça, du coup je descends normalement en trottinant, en posant bien le bâton avant le pied. Je choissit de préférence les descentes raides pour que ça dure moins longtemps tout en marchant quasi à quatre pattes, ce qui soulage les pieds et les genoux.
Mais je retiens le truc de Rozenn, le COHEBAN
Henri