Dopage ds PDG?

Posté en tant qu’invité par ;0):

http://www.dopinginfo.ch/fr/dmdocuments/doplis2005.pdf
la liste est longue et c’est un casse tête tant pour les contrôleurs que pour les coureurs et de plus, j’imagine qu’il faudrait une fédération international forte à qui incomberait les contrôles (sous les règles du CIO?) La PDG est une course militaire, alors quelle fédé et quel règlement

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Oli:

Et le Viagra dans ce genre de compétition apporte un bénéfice non négligable qui plus
est n’est pas sur la liste des dopants !
Voir article ci-dessous:

Olivier

Article Paru dans le quotidien « La Liberté » du 27.10.2005:

Le Viagra fait aussi bander les muscles

dopage · Quand il s’agit de grimper au septième ciel, le Viagra® est efficace. En dehors des performances sexuelles, il faciliterait également le rendement des sportifs d’endurance, des alpinistes et des chevaux.

Dr Jean-Pierre de Mondenard*

Pour les compétitions amoureuses comme pour les épreuves athlétiques, la quête de l’homme tend constamment vers la découverte de la «pilule» permettant de faire la différence.

Depuis 1998, le sildénafil (Viagra®) a démontré qu’il était performant pour accroître l’érection, mais parallèlement on a découvert qu’il intervenait positivement et sélectivement sur la vasodilatation pulmonaire, fonction limitante des activités d’endurance maximale ou altérée lors des efforts en altitude…
Ainsi, aujourd’hui, le Viagra® se trouve en bonne place aussi bien dans la pharmacopée du Don Juan que dans celle des sportifs où, un supplément d’oxygénation musculaire propulse la performance maximale, ainsi que dans celle de l’alpiniste de l’extrême. Car c’est bien connu, qui peut «grimper au 7e ciel» peut atteindre un 8000 m.

Il s’échappe des alcôves

Déjà en 2001, nous avions signalé dans la presse sportive que le Viagra® (sildénafil), médicament commercialisé pour les troubles de l’érection, s’était échappé pratiquement incognito des alcôves douillettes pour rejoindre les camps d’altitude afin de limiter le mal aigu des montagnes (MAM). L’équipe du Pr Martin Wilkins du Centre national de cardiologie de l’hôpital Hammersmith, dans l’ouest de Londres, a démontré que l’enzyme qui gênait l’afflux du sang dans le pénis chez des personnes en difficultés érectiles provoquait aussi des difficultés respiratoires dans un air appauvri en oxygène. En somme, les poumons se comportent comme les corps caverneux de la verge, subissant une vasoconstriction des artères qui empêche une bonne oxygénation. Or, le Viagra® inhibant l’action de cet enzyme stimule la turgescence du sexe masculin et la dilatation des vaisseaux sanguins pulmonaires. Aujourd’hui, les aptitudes sur l’appareil respiratoire du petit comprimé bleu inté- ressent de plus en plus les spécialistes de la haute montagne. Conséquences: les études consacrées au sildénafil se multiplient. L’une des dernières en date a eu pour théâtre le Mont-Blanc. Douze volontaires ont été héliportés vendredi 11 juillet 2003 à l’observatoire Vallot (4360 m) près du plus haut sommet des Alpes où ils ont testé pendant six jours les effets secondaires du Viagra®. Ce test clinique, incité par le docteur Jean-Paul Richalet, professeur de médecine à l’Université Paris XIIIe et directeur scientifique de l’Association pour la recherche en physiologie de l’environnement, vise à observer les effets du sildénafil, principe actif contenu dans le Viagra®, sur l’hypertension pulmonaire et les maladies liées à l’altitude.

Plus performants

Ce sildénafil a déjà été exploré pour soigner l’angine de poitrine et pourrait permettre de lutter contre le mal des montagnes (MAM). Les douze hommes, âgés d’une cinquantaine d’années, ont pris du Viagra® alors que, parallèlement, ils pédalaient sur des vélos d’appartement et étaient suivis par quatre médecins présents à l’observatoire Vallot. Résultat? La moitié ayant pris du Viagra® avait des performances nettement supérieures, et respirait bien mieux. Leur circulation sanguine était aussi plus fluide.
Compte tenu de ces résultats prometteurs publiés en janvier 2005, on doit s’attendre à une diffusion massive du médicament dans les trekkings d’altitude.

Et dans le cuissard?

D’autres équipes sont sur le même créneau de recherche. Au mois d’août 2003, ont eu lieu deux expériences similaires à celle du refuge Vallot. L’une a été menée par des scientifiques suisses à la cabane Regina Margherita - le plus haut refuge d’Europe (4559 mètres) construit il y a plus d’un siècle (1893) sur l’initiative du célèbre physiologiste italien Angelo Mosso - situé sur le versant italien du Mont-Rose, et l’autre en Californie à White Mountain (4000 m). Déjà au printemps, au camp de base de l’Everest, à 5400 m d’altitude, des chercheurs allemands de l’Université de Giessen, aidés de 120 porteurs et de 50 yacks pour le transport du matériel, avaient testé le Viagra® sur quatorze alpinistes tentant l’ascension du Toit du monde.
Il est à craindre que le sildénafil ne concerne pas que les amateurs de régions escarpées accessibles seulement à pied ou à dos de mulet mais aussi tous les sportifs grimpant avec du matériel tels les cyclistes du Tour de France dans les étapes de montagne. D’ailleurs, on peut se poser la question de savoir si la petite pilule bleue n’a pas déjà investi la pharmacie des géants de la route lorsqu’on apprend que les femmes des coureurs sont omniprésentes à l’arrivée des étapes! I

*Médecin du sport, Jean-Pierre de Mondenard est l’auteur du «Dictionnaire du dopage», Editions Masson (2004).

Lien:
http://www1.laliberte.ch/journal/jo_archives.cfm?vDest=vtArtikel&id=224733&b1=viagra&o1=&b2=&o2=&b3=&re=&ra=AM&da=&startrow=1

Posté en tant qu’invité par Astiaou:

Où commence le dopage ?

A question simple réponse simple.

Quand on boit son petit kawa après le repas par (mauvaise) habitude c’est pas dopage
Quand on s’enfile du kawa dans le but de goinfrer de caféine c’est dopage (du pauvre… couillon)

Quand on prend un bout d’aspirine parce que ça va mal c’est pas dopage
Quand on se met des aspirine ou comme certains crétins des Guronsan pour péter des flammes c’est dopage, mais dopage à la con, parce que les hématomes et l’aspirine c’est très bon ça, et la prise de Guronsan faciliterait les claquages en cas de mauvaise hydratation.

Et puis manger de façon très adaptée ce serait aussi se doper, alors yaka enfermer les types plusieurs jours avant la compère et les nourrir tous pareil, de pain et d’eau par exemple… Mais sûr qu’il yaurait le bordel pour calculer les rations « non dopantes » en fonction du métabolisme de chacun et sûr qu’il y aurait des magouilles avec des types du genre de Jésus qui multiplierait les pains, Qu’est-ce que t’en penses Thomas de savoir que ton taulier faisait du « bizness » en trafiquant la dope ?

Posté en tant qu’invité par Phil:

Donc pour une femme,c’est un super dopant…parcque moi,perso,je ne me vois pas faire 1800 avec une trique qui ne veut pas ramolir…

Posté en tant qu’invité par maurice:

Ah mais je comprends maintenant pourquoi je n’ai jamais eu de problème en altitude !!!

Posté en tant qu’invité par pierre:

Manque d’imagination, cher ami : avec ça tu n’as même plus besoin de piolet, ce qui fait que tu es plus léger en matos …
Bref : tu gagnes sur tous les tableaux !

Posté en tant qu’invité par ;0):

Fantastique! ça explique les poupées gonflables de l’autre poste et hop d’une pierre deux coups, enfin…si je puis dire!

Posté en tant qu’invité par pascoool:

dommage de sortir du sujet,c’est un problème important…

Posté en tant qu’invité par Zon:

Désolé mais vue les sujets de discussion…espace de liberté…vos idées la dessus est bien loin de l image de la montagne que j ai …enfin a vos chronos…que le meilleur gagne …
Zon

Posté en tant qu’invité par une montagnarde:

je peux apporter un peu de lumière par rapport au sujet de catherine mabillard! elle a été controlée positive Mais, à la caféine, car elle boit énormément de café dans une journée! alors après c’est à toi de savoir ou tu arretes le dopage! et elle n’a jamais été suspendue! et dis à la mauvaise langue, qu’il a meilleur temps de se renseigner avant de lancer des fausses choses qu’il connait que partiellement! ABE

Posté en tant qu’invité par ;0):

Salut montagnarde,
C’est bien la question que j’ai posé plus bas, mais personne n’a vraiment répondu…ou commence le dopage? les athlètes n’ont plus de liberté et son sur le fil du rasoir…pour des gouttes nasale (ex.) ou pour un petit noir de trop, ce qui est ridicule. Nous savons depuis plusieurs décénies qu’il y a des produits indécelables, notament l’hormone de croissance ou la testostérone pour ne citer que les plus connus, mais personne ne bouge. Par contre pour jeter le discrédit sur un (ou une) athlète pour un produit d’usage courant il y aura toujours des mauvaises langues. Il y a dans le sport des gens justes et forts, comme dans la vie, et c’est par eux que les choses peuvent changer!

Posté en tant qu’invité par une montagnarde:

je suis tout à fait d’accord avec toi à ce sujet! pendant une saison, un athlète n’a pas le droit de prendre un médicament même s’il tombe malade, car ils sont presque tous dopants! même de prendre une petite aspirine est impossible. produit dopant! et les athlètes ont des controles, au niveau international, mais aussi à la maison, cela peut arriver! donc si tu peux te faire controler avant la pdg tout simplement à la maison! pas besoin qu’il y ait un controle après! en plus, les coureurs sont très controlés, dès qu’il y a plus de résultat, les controleurs s’intéressent à ton cas! je trouve dommage que beaucoup de personnes pensent que les élites se dopent! pendant que t’es sur ton fauteuil entrain de regarder la télé un soir ou un jour qu’il fait vraiment très mauvais…pense que eux ils sont dehors entrain de s’entrainer! donc tout ce travail, après ca se paie par des bons résultats! et c’est parfois les amateurs qui sont dopés sans le savoir en ayant pris des médicaments!! et à mon avis, dans ce sport, les enjeux ne sont pas assez grands pour qu’il y ait autant de dopage que certaines personnes peuvent le penser! et j’espère que certaines personnes non dopées vont aussi réagir pour ne pas laisser salir ce sport, inutilement!

Posté en tant qu’invité par pascoool:

pour info un sportif sans licence ne peut pas ce faire suspendre,mais depuis cette saison ceux de la coupe suisse ont une licence…abo et la cafeine est un dopant!!!

Posté en tant qu’invité par fildefer:

et la boisson Red bull (a la taurine) dans tout ca ? (toujours interdite en France mais autorisee en CH et RFA ?) Evidement c’est surement pas aussi bon qu’un plat de Panzani…

Posté en tant qu’invité par un montagnard:

bonjour Charmante Montagnarde,
Juste pour revenir au sujet de ta petite copine Catherine !!
Je peux comprendre qu elle aime bien le café !Moi aussi!Mais de se faire contrôler avec une dose de caféine équivalente a 30 tasses de ristreto … C est un peu trop pour moi!!

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par une montagnarde:

écoute, je savais pas que cela représenté autant! mais, cela fait combien de « vrais » cafés, càd dans une tasse normale et non un petit fond. au fait ma question est de savoir combien de ristret valent pour un café…? à partir de là, on peut vraiment faire une comparaison et tirer des conclusions???

Posté en tant qu’invité par ;0):

Ce ne sont pas 30 tasse de café pour être positif mais plutôt quelque chose comme 4 tasses…si mes souvenirs sont ok

Posté en tant qu’invité par pascoool:

le problème c’est pas de boire une deux trois ou dix tasses,la question est de savoir si l’on prend ca pour améliorer ses performances et si c’est pour améliorer,et que l’on bois 30 cafés…y a plus facile que de boire 30 cafés,et là c’est limite…
Espérons que le skialpinisme ne sombre pas dans cette M…qu’est le dopage…

Posté en tant qu’invité par ;0):

Absolument d’accord avec toi! ce que je défends ce n’est pas la fausse innocence, c’est plutôt le manque d’informations des coureurs, un licencié n’est pas forcément un pro et peut être pris en faute pour une bagatelle et cela s’appelle une injustice! autre question, pourquoi un athlète devrait être plus vertueux que n’importe quel citoyen qui boit et qui fume en prenant ces cachets afin de paraitre heureux et d’encaisser les frustrations? dans cette société du « pas vu pas pris » pourquoi le sport et la montagne catalysent notre désir de pureté peut-être plus parfois que l’amour?il serait certe excellent que le sport montre l’exemple, mais n’est-il pas trop tard? le monde de la montagne n’est pas plus vertueux que d’autres, beaucoup l’ont appris en le payant de leur vie…alors pour le ski alpinisme je n’ai que peu d’espoir, le dopage n’étant que le reflet d’un mal être généralisé au même titre que toutes les substances qui nous font paraître meilleurs (sans jugement de valeurs) par un mensonge à notre propre regard et à celui des autres…

Posté en tant qu’invité par Beef:

Bugno s’etait fait pincer en cyclisme, avec qc comme l’equivalent de 40 tasses de cafe. Dans son cas, et vu son medecin, la cafeine servait plutot a masquer un autre produit.

D’ailleurs je me demande quelle dose de cafeine ont les Powerbar?