Euh, un itinéraire ne requierant pas d’endurance, c’est une coline de 300m maxi.
Donc difficile de faire de la montagne sans avoir un minimum d’endurance.
Que l’on ne recherche pas forcément l’endurance en montagne, oui, mais que l’on puisse s’en passer, non.
Ma conception est que les sports « organisées » style compet de ski alpi, c’est de la « sous-montagne » : pour faire de la montagne, il faut au moins savoir faire une compet mais l’inverse n’est pas vrai. Je dis « savoir faire une compet » dans le sens savoir monter et descendre, donc avoir de l’endurance et un minimum de technique, mais pas besoin d’être autonome. Evidemment, si on ne sait faire que ça, on ne pourra faire que des compet facile et en arrivant dernier, mais on le fera. Alors que si on est très fort en compèt mais que l’on ne sait pas lire une carte, on se prendra de buts et on se fera torcher en montagne par le premier pépé qui connait bien le coin
Evidemment, l’aspect montagne n’est pas « étanche » : même si on ne recherche pas l’autonomie, on l’aquière toujours un peu sans faire exprès, du coup tout compétiteur assidu est relativement autonome. Mais comme en plus la plupart des compétiteur recherchent aussi l’autonomie, les purs bêtes de courses incapables de se débrouiller hors compèt sont rares.
Je ne suis pas d’accord. Je pense qu’en montagne, il y a « les valeurs montagne », et l’aspect sportif. Chacun dose les 2 aspects comme il veut, mais il ne peut pas éliminer totalement un aspect.