Différences entre l’escalade en salle et en falaise

#1

Bonjour à toutes et à tous,

Je supervise un travail de maturité au gymnase - équivalent lycée en France - au sujet des différences entre l’escalade en salle et en falaise. Mon étudiante, Julie Simond du gymnase de Burier, a réalisé un petit sondage pour étudier cette problématique. J’invite donc les utilisateurs du site camptocamp à y participer d’ici la fin août.

Cliquez sur ce lien pour accéder au sondage.

Je vous remercie d’avance pour votre participation et vous souhaite une belle suite d’été,
Micha

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#2

C’est fait - possible de voir un resumé des resultats une fois le taf est fait?

#3

Manque à mon avis le type de voie (bloc, couenne ou grande voie), car c’est impossible de comparer du bloc en salle avec une grande voie en montagne…

#4

Répondu également, curieux de lire les résultats ! Mais je rejoins @Chti.nain par rapport au type d’escalade qui peut (pour mon cas) clairement changer mes réponses au questionnaire

#5

J’ai répondu dans le sens falaise = couenne.

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#6

En fait une grande voie ce n’est qu’un empilement de couennes.

#7

avec du gaz en plus a tout les étages…

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#8

Mouais… :upside_down_face:
Et une traversée du lac Léman à la nage ce n’est qu’un empilement de longueurs de piscines de 50m…

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#9

Oui je n’étais pas complètement sérieux. Mais en même temps la gestuelle dans une longueur reste similaire à la gestuelle d’une longueur de couenne. On tire peut-être un peu plus vite au clou pour tenir l’horaire/garder des reserves pour la suite, mais le même raisonnement tient aussi des fois sur une longueur (« je veux pas passer toute ma journée/me cramer complètement dans cette voie » ou « il commence à faire nuit/pleuvoir donc faut que j’arrive en haut pour deséquiper »).

#10

Et une couenne, un empilement de blocs.

Donc une grande voie est un empilement de blocs. CQFD !

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#11

Et par rapport à la salle on risque juste d’être mouillé s’il pleut.
Car il y a pas de toit. C’est mal fait cette montagne quand-même.

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#12

moi non plus,
et en salle faut faire gaffe, le gaz part…

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#13

sinon, je crois que la salle , sa se rapproche plus de la gymnastique verticale, que de l’acensions d’une paroi. en plus les prises en SAE, n’ont aucun rapport avec celle du rocher, enfin , il me semble

#14

Il y a quand-même des vielles salles de bloc où les prises sont aussi patinées que dans les voies de 5+ de l’agglo Grenobloise…

#15

L’escalade extérieure ne se finalise pas forcément par l’escalade d’une paroi. Cf le succès des couenes

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#16

J’étais très étonné quand j’ai appris que Stefano Ghisolfi n’avait jamais fait une grande voie avant de faire une compète de grande voie sponsorisé par Red Bull avec des prises en résine vissées sur un barrage…

#17

y’a des prises très diverses maintenant. Y’a même des prises qui font simili conglomérat (poudingue), avec des ptits cailloux qui ressortent, c’est rigolo.
(Sans parler des pros qui font des répliques de mur, comme pour burden of dreams)

Bon sinon j’ai pas trop compris l’intérêt du sondage, mais j’ai répondu.

y’a des salles avec un mur extérieur :wink:

#18

J’ai répondu aussi en allant dans le sens que pour la plupart des questions (voire toutes je me souviens plus), ça dépend :sweat_smile:
Ça dépend notamment des ouvreurs, mais aussi du style de grimpe, de quelle dimension technique ou physique on parle, du type de rocher…

#19

Hello,

Merci pour toutes vos remarques ! Cela sera intéressant que mon étudiante les intègre pour être critique vis-à-vis des questions posées. Elles permettront aussi de proposer de nouvelles pistes de réflexion ; mais au stade d’un travail de maturité elle a dû limiter le sujet.

Une fois le travail terminé, à la mi-décembre, je vous transmettrai volontiers les résultats.

Bon week-end, à l’ombre d’une falaise si possible,
Micha