Posté en tant qu’invité par Mic’hel:
Au final, je ne fais peut
etre pas ce que j’aime, c’est vrai. Mais au moins je gagne ma
vie. Au fait est ce que j’aime maintenant, me plaira plus
tard, bonne question.
J’te plains, Christophe.
derriere. IL vaut mieux reflechir en accumulant les diplomes.
Aaargh, j’aime pas ce type de généralités qui devraient s’appliquer à tout le monde… Ch’ui plutot d’accord avec alexis quand il dit qu’en france, on a tellement peur de se retrouver sans boulot qu’on fait des etudes sans savoir pourquoi. Faut dire que le système français extremement rigide et conformiste y pousse…
Ce que j’ai noté comme différence principale entre la france où j’ai fait mes etudes (jusqu’au DEA) et la suisse (où je fait ma thèse) c’est l’importance qu’on donne à l’age en france. En carricaturant « si t’es pas ingénieur a 23 ans ou docteur à 26 ans, t’es a chier ». Donc evidement ça pousse pas a prendre un an pour reflechir ou essayer une voie un peu particulière ou aller bosser un an au canada pour apprendre l’anglais…
y’a surement pas qu’une façon de « faire sa vie ». Mais c’est vrai que c’est pas forcément facile de trouver le juste milieu entre faire ce qu’on aime et qui rapporte pas forcément pour vivre décemment et faire ce qu’on aime pô vraiment mais qui rapporte.
A toi de voir, Didier (t’es en classe d’ailleurs?). j’crois que personne ne peux vraiment te donner une reponse définitive. essaie de te renseigner sur la formation de guide (comme tu as commencé à le faire en postant ton message) et sur d’autres formations universitaires (ou autres) plus classiques au cas où… Et pis comme dit Christophe:
Preparer sa liste de course, essayer le proba, ne me parait
pas incompatible avec le fait de poursuivre ses etudes.
c’est un peu en rapport avec cete discussion: pour ceux qui se sentent à « un carrefour » de leur, je leur conseille un bouquin intéressant et très agréable à lire (mon opinion) qui regroupe plein de temoignages de personnes qui ont « changer de vie », d’où le titre « et si l’on changeait de vie », d’Armelle Oger aux editions Lattès. Ou comment prendre une autre voie que celle qu’on croit toute tracée pour son existence.