Posté en tant qu’invité par raph:
Je crois qu’il faut se mettre dans la peau des organisateurs : ils doivent s’adapter en fonction des conditions de neige et des conditions meteo. Ils aiment ce qu’ils font, la plupart du temps de maniere benevole et je suis sure qu’ils preferent faire une belle epreuve, bien alpine qu’un simili de montees descentes sur pistes.
Neanmoins, l’apet securitaire reste leur prioirite : je pense que le traumatisme des championnats du monde de l’annee derniere est toujours presnent dans les esprits.
L’annee derniere j’ai eu la chance de faire partie des benevoles de la Pierre.
Je ne sais pas si vous vous rappelez des conditions dantesques : des metres de neige, le mauvais temps, un risque d’avalanche de 6 sur une echelle de 5… Et ben les organisateurs ont quand meme reussi a rendre les itineraires de repli interessants, sans quasiment passer sur les pistes de ski.
Je me rappelle des senaces un peu stressantes ou les parcours etaient etudies, afin d’assurer une belle course pour les concurents sans pour autant mettre en jeu leur securite.
Trouver le juste equilibre n’est pas chose facile.
Regardez les commentaires sur telle ou telle sortie de ce we : la polemqiue sur ce forum sur l’avalanche a la pointe ronde, la sortie a la tournette, les commentaires sur la sortie de la combe a Marion… Et vous vous voyez oganiser des courses de 2200/2500 m de denivelle en haute montagne pour 150/200 personnes.
De nouveau, pour en revenir a la pointe ronde : d’apres ce que j’ai lu, ca pouvait paraitre limite. 10/15 personnes sont passees, celle d’apres passe, seule, pour pas charger la pente, et bing, l’avalanche…
Ca aurait pu se passer n’importe ou, des le moment qu’il y avait un peu de pente avec des plaques. Seulement, avec 30/50 personnes sdans la pente, le resultat n’aurait pas ete le meme.
De nouveau, je reste convaincu que les organisatuers preferent aussi un joli parcours.
Je reste un fervent adepte du ski alpinisme, du ski de montagne. Je prefere me retrouver dans de belles combes enneigees ou sur des aretes. Je prefere faire des sommets vierges. Mais je m’adapte aux conditions, et je le fais pour moi. Mettez vous a la place des organisateurs qui doivent le faire pour eux, les coureurs, les benevoles, le public.