Définition?

Posté en tant qu’invité par nof:

Bonjour,

Je me pose une question :
Où s’arrête le randonnée et commence l’alpinisme?

Toutefois, j’ai essayé d’y répondre :
C’est l’ascension sportive d’une montagne. Certe le randonnée peut répondre à cette définition, mais l’alpinisme commence là où l’ascension nécessite l’utilisation de ses mains pour des passage d’escalade ou d’un piolet et des crampons. L’itinéraire n’est souvent plus sur un sentier.

En effet, il m’arrive parfois de me trouver sur un terrain où il difficile de trancher.

Qu’en pensez-vous?

Posté en tant qu’invité par Alexis:

La voie normale des ecrins s’effectue sur un bon sentier d’un bout a l’autre, sans l’usage des mains. Bon, il y a un terrain glaciaire, ca peut aider a trancher.

Mais par exemple la voie normale de la Dibona ? Y’a un sentier tout du long, sans neige (si on y va au bon moment, evidement), il faut poser un peu les mains, mais moins que dans le couloir arnaud au Chamechaude …

Posté en tant qu’invité par alain:

…« La voie normale des ecrins s’effectue sur un bon sentier d’un bout a l’autre, sans l’usage des mains »…

ouais c’est pas dur mais n’exagerons rien…

Posté en tant qu’invité par Francois:

A mon avis, l’alpinisme nécessite l’utilisation de matériel spécifique (corde, piolet, crampons) avec son mode d’emploi, et il y a aussi une certaine notion d’engagement et la conscience que l’on se déplace sur un terrain dangereux.
A cet égard, considérer que la voie normale du dome des Ecrins ne serait pas de l’alpinisme me paraît justement procéder d’une certaine inconscience. Le terrain est incontestablement dangereux. Il y a des crevasses et des séracs, on est en altitude etc… Que ces dangers soient annulés ou diminués par des dispositions techniques adéquates est justement le fait de l’alpinisme.

Posté en tant qu’invité par alain:

en tout cas legalement ya 1 difference,les accompagnateurs moyenne montagne ne peuvent exercer que dans des conditions et des sites bien definis.Apres faut etre guide,y’en a qui pourraient surement te renseigner.

Posté en tant qu’invité par Christophe:

Pourquoi vouloir definir une frontiere entre les 2. L’alpinisme de certains, c’est de la rando pour d’autres personnes. Ex : ascension du Mont Blanc en basket avec timing cannon, c’est plutot de la course a pied que de l’alpinisme. Alors que pour la plupart des gens (dont moi), l’ascension du Mont Blanc reste de l’alpinisme.
C’est vraiment de la masturbation intellectuel pour les jours de pluies.

Posté en tant qu’invité par nof:

Quand un sujet de discussion ne m’intéresse pas, je n 'en parle pas!

Posté en tant qu’invité par Pierre-Olivier:

« En effet, il m’arrive parfois de me trouver sur un terrain où il difficile de trancher. »

A mon avis et au vu d’autres discussions du même genre (Par exemple donner une limite entre escalade et alpinisme…;-)…Ca rappellera des souvenirs des premières discussions de ce forum!),
Le sujet ne peut pas être tranché. Est-il alors bien nécessaire d’essayer?

  1. On n’a qu’à dire qu’on fait de la montagne (à skis, à pied,à raquette,à crampons, à pied, à mains nues…;-),…finalement peu importe.

  2. Après, en cas de problème grave en encadrement d’un groupe ou de clients, …C’est une autre question!

Posté en tant qu’invité par Jeff:

Les prérogatives de l’AMM sont définis en négatif par rapport au guide… En gros, la rando c’est quand le terrain ne nécéssite pas l’usage du matériel et des techniques de l’alpinisme. Nous voila bien avancés !!!
Rassurez-vous, le débat à lieu aussi chez les AMM, pour certains endroits litigieux…
Mais attention, aucune notion de danger intervient ici. Un AMM peut emmener quelqu’un au camp de base de l’Everest, où les risques liés à l’altitude sont conséquents (oedèmes…). Certains passages délicats, voir dangereux, peuvent être du ressort de l’AMM, si le recours à des techniques ou à des matériels ressortant de l’alpinisme n’a pas lieu…
Jeff

Posté en tant qu’invité par Charles:

Ben la différence c’est pas compliqué ; la rando c’est pour les taffioles et l’alpinisme pour les autres .

;-))

Charles

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

simple, clair, précis, concis.
Moi j’aime le style de Charles!

Posté en tant qu’invité par Cyril:

Et le ski « extreme », c’est à partir de quand ?

Posté en tant qu’invité par Mic’hel:

30 degrés!

Posté en tant qu’invité par Jeff:

30° centigrades, celsius, fareinheit ?

Posté en tant qu’invité par Alexis:

le ski par 30 degres Kelvin, ca c’est extreme !!!

Posté en tant qu’invité par alain:

entre rando-escalade-alpinisme la difference n’est pas toujours bien franche,mais avez vous remarque la difference d’ambiance entre grimpeurs et randonneurs?on voit qu’ils sont dans des etats d’esprit completement differends.

En rando,on ne cherche pas la difficulte,on l’evite.
La difficulte ou le danger ne font pas partie de l’univers du randonneur habituel.On marche avec la tete decontractee.
Les sentiers font sagement le tour des barres rocheuses.
Ou alors on aura soin d’ajouter qu’il s’agit de rando « sportive »,signifiant justement que ce n’est plus tout à fait de la rando…

le jeu de l’alpinisme n’est pas d’eviter les difficultes puisqu’il propose au contraire d’aller au devant!
Et le jeu consiste à rechercher volontairement ces difficultes,puisque le plaisir vient justement de les surmonter.

Posté en tant qu’invité par fab_ice:

pas toujours…l’habilete d’un alpiniste, peut aussi se mesurer a sa capacite a savoir contourner des dificultes ou des obstacles, et non pas a foncer tete baisser droit devant dans le premier piege venu.

Posté en tant qu’invité par Francois:

J’aime foncer tête baissée…mais faut avoir la tête solide…ah, oui! faut avoir la tête solide…et les naseaux fumants.

Posté en tant qu’invité par alain:

ce n’est pas ce que je voulais dire

Posté en tant qu’invité par alain:

j’estime que c’est une interpretation outranciere de mon texte