Conférence très intéressante de l’ENSA.
A noter que les statistiques de Maud Vanpoulle proviennent en partie de la base SERAC.
Conférence très intéressante de l’ENSA.
Ah ben c’est sûr que les pratiquants vont tous se retrouver bien stigmatisés…
Bon, une fois la « porte ouverte » bien enfoncée, la suite c’est quoi : formation, diplôme, permis, psychanalyse, secours payants, assurance avec malus… la thèse à rendre ?
Est-ce que quelqu’un a pu obtenir la plaquette guidoss? Je n’arrive pas à lire depuis la vidéo…
Merci bien!
Tu as regardé la vidéo? Tes propos sont totalement hors-sujet par rapport au contenu de la conférence.
Oui, vue il y a peu sur un autre réseau social… Hors sujet, pas davantage que ça. Il s’agit d’un état des lieux à partir des facteurs subjectifs et qui cherche toujours la réponse à la question de comment lutter contre les risque qui sont pris par les pratiquants et pour cela, bim : « Le Discours de la méthode »! Deux choses me gênent : tenter de « modéliser » pour en déduire une sorte de formatage préventif, écartant du même coup, la part d’intuitif et d’imprévu inhérente à chaque individu et aux pratiques concernées, également ce genre d’inquisition dans les comportements finit tôt ou tard par servir d’alibi à des autorités pour empiéter sur les libertés individuelles… D’où ma question : qu’est-ce qu’on veut faire avec tout cela ?
Ça ne me dérange pas trop en fait qu’on empiète sur ma liberté individuelle de faire de grosses conneries…
Perso, ce qui m’intéresse surtout (enfin, ce qui m’aurait intéressé à l’epoque où j’étais plus concerné en vrai …), c’est qu’on m’informe, via ce genre d’étude, que ce qui me semble rationnel au moment où je le fais ne l’est pas dans les faits …
Un truc du style (exemples sortis d’une précédente étude) :
Parce que tu as besoin de quelqu’un pour savoir que tu fais une connerie ? Conduire à 2 grammes, rouler à 180, prendre de l’hero ça te tente ?
Il y a pire que de savoir qu’on fait une connerie, c’est de ne pas le savoir.
Tu as de belles et grandes certitudes supérieures … c’est bien !
Les parties prenantes étudiées et dont j’évoquais le résultat avait un comportement altéré, à la marge bien sûr (mais c’est souvent dans cette marge que se cache l’accident) par le contexte.
Et l’intêret de ces études etait de le révéler et de le quantifier.
Mais ça, c’est pour le clampin moyen qui ne maitrise pas 100% de ses décisions pas forcément rationnelles …
Bien résumé ce que je voulais faire passer comme message …
Je ne repondais pas à toi, mais à csv qui se réjouissait que l’état ou autres institutions puissent l’empêcher de faire de grosses conneries. Un peu comme le rayon de 1 km, sûrement
Pas (que) pour toi mais pour les autres. Rouler bourré par exemple. Tu souhaiterais que ce soit réautorisé ?
OK, tu étais juste derrière, je n’avais pas vu que tu répondais à qqun d’autre
Scuses …
Merci pour le lien Miko.
Tout pareil…si il y avait un pdf qui trainait quelque part merci de partager.
Euh, tu as vraiment vu la même vidéo que nous ?
Si tu crois qu’effacer ce genre de démarche va te prémunir d’être jugé en cas de pépin tu te fourres bien le doigt dans l’oeil à mon idée. En particulier si tu encadres ou si tu est juste leader (désigné ou présumé)
Ton idée c’est que comme la montagne c’est risqué, on doit pouvoir faire n’importe quoi n’importe comment, juste à l’instinct sans avoir aucun compte à rendre à personne même si ça a entraine la mort de tes compagnons ou de tes clients ?
L’intérêt à mon avis de ce genre de démarche assez ouverte et assez subtile c’est d’essayer de se prémunir contre des règles basiques stupides que le législateur ou la jurisprudence pourraient être tentés d’établir ( du genre interdit de skier par risque 4 )
Passer de « quelqu’un » à « l’État » en deux posts, c’est peu discret comme technique de détournement.
Munter, dictature étatique insupportable pour la liberté individuelle en montagne ?
Dans l’approche proposée ici, le « quelqu’un » c’est toi justement : une approche pour t’aider à ne pas en faire (ou à en faire moins…) avec l’aide de tes compagnons le cas échéant.
Et oui, ça n’est pas toujours simple de savoir mesurer la connerie que tu fais.
Document très intéressant, et qui nous concerne TOUS !
Je pense que l’ENSA fera par la suite une publication…
Conférence intéressante
Je rebondis sur l’une des questions des participants : Le choix renoncer ou continuer et parfois réducteur en particulier en ski. La mise en place d’un plan B (idéalement préparé à l’avance) permet de maintenir le plaisir tout en maitrisant les risques.
Il me semble que la méthode proposée n’en parle pas
Ca fait partie des méthode de réduction des risques (e.g. Critsal), c’est donc intégré dans la démarche (cf. type II).
L’inconvénient de l’approche guidoss telle qu’elle a été présentée (probablement succinctement), c’est que tout est interprétable différemment suivant les personnes. Je comprend la démarche, on passe de la règle à calcul des méthodes type Munter à des méthodes assumant une part de subjectivité (impossible à éliminer de toute façon) pour apprendre à décider. Dans ce cas, comment donner un socle commun lors des formations?