De l'utilité des pitons

#1

Posté en tant qu’invité par Max:

Salut,
Je suis relativement nouveau dans le monde de l’escalade et j’ai encore beaucoup à apprendre. Une question m’est venu en regardant des films d’escalade anciens (Etoile et Tempête…) à propos des pitons.

Mis à part pour l’artif, qu’en est-il de leur utilisation aujourd’hui? Même en TA, je n’en ai jamais emporté ne voyant pas leur utilité. Pour la progression coinceurs, friends et autres sont très bien adaptés et si je tombe sur un relais scabreux, je le « protège » avec des sangles et éventuellement des coiceurs. Peut-être est-ce car je ne fréquente que du D et pas plus?

Est-ce que vous emportez des « clous » au fond du sac? Si oui qu’en faites-vous?

Cordialement,

[%sig%]

#2

Posté en tant qu’invité par tetof:

Tout dépend du rocher, en calcaire ou dans le rocher compact de l’Oisans, les pitons restent un moyen de protection indispensable.

Même dans le granite chamoniard, tu peux très bien te retrouver au taquet et avoir besoin de planter une lame.
Sauf si j’ai des infos très sérieuse sur le matos à prendre ou l’état de l’équipement en place, je prends toujours quelques pitons okazou.
Je t’accorde que c’est moins indispensabe dans des courses D. Néanmoins, il suffit de sortir des classiques et d’être obligé de poser un rappel pour comprendre l’utilité des pitons.

#3

Posté en tant qu’invité par Seb:

Dans le pourri auvergnat en hiver aussi, pitons longs, cornières et autres broches à épine te seront bien plus utiles que tous les camalots du monde, mais dans ce cas ce n’est plus tout à fait de l’escalade

#4

Posté en tant qu’invité par jean:

c’est interressant dans avoir 2, 3 apres faut se trimbaler un marteau donc on en prend rarement
mais sa sert parfois dans des endroit c’est pas facile de trouver a mettre des coinceurs