En tout cas là on va finir par le penser…
no comment
En tout cas là on va finir par le penser…
no comment
Décidément je ne suis pas sur d’être le plus con. Il faut lire !
ce n’est pas mon propos mais un extrait de l’étude citée en source…
Tu sembles ne considérer que les chiffres qui correspondent à ton point de vue, tu ne dis rien des chiffres de l’ANENA de la saison dernière qui montrent que le Pyrénées n’ont rien à envier aux autres massifs. Et là ce ne sont pas des prévisions, ce sont des faits établis.
Perdu ! la saison 2017 -2018 : sur 64 accidents 9 dans toutes les Pyrénées à rapprocher des plus de 50 dans les Alpes du Nord… mais pour ma part j’arrête la ce dialogue de sourd.
Je souhaitai avoir un retour d’expérience de membres C2C ayant vécu des avalanches mais je vois bien qu’il ne se sont pas exprimé ou qu’il n’y en a pas. Il semble aussi que ce sont plutôt les professionnels qui s’équipent d’Airbag.
Fin du sujet pour ma part
Si les pratiquants sont 10 fois plus nombreux dans les Alpes, ça s’explique.
Chumacraju a qd-même nu peu raison, les études scientifiques sont formelles : il y a nettement moins d’avalanche ds les montagnes où il n’y a pas de neige.
Les randonneurs à pieds ont d’ailleurs intégré inconsciemment ce paramètre, puisqu’ils ne s’équipent pas d’airbag.
Je crois plutôt que tu cherchais des avis qui confirment ce que tu penses et que tu rejettes les avis différents.
Non, 45
Même pas besoin, il n’y a que 5 fois plus d’accidents dans les Alpes du Nord que dans les Pyrénées. Est-ce qu’il y a 5 fois plus de pratiquants ? Peut-être, ça me semble possible.
Soit tu es d’une incroyable rigueur intellectuelle, soit tu te mens à toi-même
Il suffit de constater qu’on a oublié son arva au parking un jour de grosse poudre pour se rendre compte de la chose: tout à coup, on est beaucoup moins sûr de ne pas passer sous une avanlanche ce jour-là. On s’engage dans la pente en belle poudre avec bien plus d’apprenhension.
Consciemment ou inconsciemment, l’arva ou l’airbag permet de repousser le niveau acceptable de risque, parce qu’ils offrent une petite chance supplémentaire de survie en cas d’avalanche. Et cela déforme la perception du risque. (Sauf pour les personnes dotés d’une incroyable rigueur intellectuelle )
J’ai mis pas mal d’années à accepter cet état de fait, et puis ensuite pas mal d’années avant d’être prêt à vraiment bétonner ma pratique (difficile de faire le deuil d’une passion qui a nourri une bonne partie de mon exitence).
L’avenir le dira, je ne suis qu’à mes débuts en ski de rando.
La peur de l’avalanche m’a longtemps empêché de débuter le ski de rando (alors que je pratiquais alpinisme et escalade), et cette peur intense est encore bien présente. J’aborde donc la pratique avec un grand conservatisme du point de vue du risque.
Pour avoir skié autant dans les Pyrénées que dans les Alpes, j’ai l’impression que le risque est comparable. La différence tiendrait peut-être au type de neige qui part : ça transforme plus vite dans les Pyrénées donc plus de coulées de neige transformée, et plus grande difficulté pour y organiser des sorties longues en limitant le risque. J’ai plus souvent serré les fesses à midi dans les Pyrénées que même en fin d’après-midi dans les Alpes. Par contre je crains la poudreuse froide des Alpes, parce que très/trop tentante et dangereuse…
Pour les chiffres : d’abord se souvenir que l’anena ne répertorie pas toutes les avalanches avec victimes (des copains ont été secourus dans deux avalanches non répertoriées, donc j’imagine que beaucoup d’avalanches ne sont pas comptées), et encore moins celles sans victime. Et qu’il y a beaucoup moins de pratiquants dans les Pyrénées.
Doit-on renoncer ou changer d’itinéraire quand en testant les ARVA en début de rando on se rend compte qu’il y a un problème ?
Vous avez 4 heures.
Je suppose que l’ANENA comptabilise quand il y a une intervention des secours, pas à chaque fois que quelqu’un est bousculé, sans conséquences, par une coulée.
Je dirai même plus que beaucoup de personnes ici se focalise sur le nombre de pratiquants, mais qu’il faudrait plutôt regarder le nombre de journées cumulées de pratique. S’il y a vraiment moins de neige dans les Pyrénées, alors même à nombre de pratiquant égal il devrait y avoir moins de journées de pratiques…
Ben justement il y a eu intervention des secours pour ces 2 cas. Et dans l’une, une hospitalisation longue et des séquelles importantes pour une des 3 personnes impliquées.
Une formation te permettrait effectivement de faire ton propre jugement et d’avoir des connaissances et des statistiques. Dans les Pyrénées, le CAF en propose de qualité.
Comme chacune de nos pratiques, c’est à nous de juger le niveau de risque que l’on est près à prendre et donc les risques que l’on est pas près prendre. Cependant, la connaissance du risque de fait cela dit par une connaissance du milieu. Et c’est pas simple!
En tout cas, pour ma part, c’est trypique sans airbag mais avec une étude de l’itinéraire et une lecture du BRA attentive.
Je suis plutôt d’accord avec toi mais est qu’on ne peux pas considérer aussi que justement on est conscient que notre pratique nous expose à un certain niveau de risque que l’on accepte en essayant de le gérer, mais que l’on essaye de palier à notre potentielle défaillance en s’offrant éventuellement une chance de plus quand on a merdé dans notre appréciation des risques.
Quant au sujet principal, les Pyrénées n’étant à ma connaissance pas soumis à une météorologie particulière style humidité du pacifique comme pour les Andes, je me dis que les critères objectifs de détermination du risque d’avalanche dans nos contrées qui s’applique. Donc à partir du moment où tu as de la neige et de la pente supérieure à 30° le risque existe et le choix d’utiliser ou pas l’Air Bag doit se faire sur d’autre critères.
Quelle est la conséquence de ce paramètre sur le risque d’avalanche ?
Je ne peux pas me considérer comme un expert là dessus mais on m’avait expliqué que ça donnait une certaine stabilité à la neige et que ça limitait grandement les avalanches. D’ailleurs si on prends les pentes raides dont celle célèbre skiée par Sylvain Saudant là bas, il est dit que la neige tient mieux dans ces pentes grâce à cette humidité (C’est un peu le même phénomène qui a donné la monstre saison de pente raide il y a deux ans en Europe).
D’ailleurs ça avait contribué au choc lors de l’accident de JP Auclair et son pote, car pour tout le monde la zone était moins exposée et certains y ont vu un signe du changement climatique.
Après je ne suis pas expert des conditions particulières de ces zones là (même si le sujet est hyper intéressant), je voulais juste faire remarquer que le critère discriminant pour le choix d’utiliser ou non l’Air Bag me paraissait déconnant.
Chumacraju Je ne permettrais pas de te traiter de con je ne te connais pas … par contre je maintiens que tu dit une immense connerie quand tu dis que l’aléa avalanche est moindre dans les Pyrénées (c’est même dangereux de dire ça)
Il y a effectivement moins d’accident (et encore comme dit plus haut les hautes pyrénées sont très souvent sur le podium des département où il y a le plus de mort) tout simplement parce qu’il y a 2 fois moins de pratiquant dans les Pyrénées …
OUI La durée de l’enneigement est moins importante dans les Pyrénées (car l’alitude est plus basse) mais la durée d’enneigement n’a rien a voir avec le risque avalanche
NON les quantités de neiges ne sont pas moins importantes dans les Pyrénées (il suffit de regarder les statistiques, et ces 3 derniers hivers en particulier
Enfin, Neige (même en petite quantité) + pente supérieure (ou égale) a 30°(on en trouve beaucoup dans les pyrénées hein) = Risque Avalanche peut importe où tu te trouve.
Formation ANENA, CAF, il en existe plein qui coutent bien moins chere qu’un sac air bag et qui sont toujours plus bénéfique !