Couloir du gouter

Posté en tant qu’invité par Arnaud Clère:

Claire a écrit:

Faut-il, à votre avis, renoncer pour cette année ?

???
Vous ne savez pas lire ??? Mon mari travaille au PGHM, je
n’ai pas envie qu’il risque sa vie pour aller chercher des
corps démembrés ou des alpinistes inconscients, SURTOUT
lorsque on est prévenu du danger.
Je ne comprends pas, on dit partout qu’il est très dangereux
d’utiliser ce passage et il y en a encore qui se posent des
questions. C’est honteux. Vous vous dites alpiniste, mais
vous ne l’êtes pas. Vous savez simplement qu’en cas de
pépins, il y aura toujours une bonne âme pour vous porter
secours. C’est de l’égoïsme.

Ce jugement me semble être une réaction « épidermique » bien compréhensible mais pas forcément justifiée. Voire la suite…

Alors arrêtez de vous poser des questions et attendez
quelques semaines ou quelques mois avant de vous lancer dans
de telles voies.

La phrase de Michel suivait justement une question légitime : « Que faudrait-il pour que la situation se normalise ? Est ce que des gelées nocturnes seraient suffisantes ? ».

Il me semble donc que Michel à bien compris le message « n’y allez pas en ce moment » et qu’il se pose la question « sous quelles conditions l’itinéraire serait à nouveau pratiquable ». Je préfère les alpinistes qui se posent des questions aux alpinistes qui ne font que suivre des consignes, forcément incomplètes, sans comprendre le milieu dans lequel ils évoluent.

Pour répondre à Michel, je lui dirais qu’à mon avis un bon regel est insuffisant, et que le couloir du goûter n’est pas le seul touché. Tous les itinéraires avec des pentes habituellement recouvertes de neige peuvent être dans ce cas là.

Les grosses chutes de pierre me semblent dûes au fait que beaucoup de pierres qui étaient enchâssées dans les névés se retrouvent à l’air libre du fait de la fonte voire de la disparition complète de ceux-ci (voir la face Nord des Courtes totalement déneigée). Ces pierres, qui peuvent être bien plus grosses que celles qu’on trouve habituellement « posées » sur les névés ou les vires, peuvent être dans des positions tellement instables que le moindre filet d’eau les fera partir. Même avec un bon regel nocturne voire diurne, le soleil à vite fait de faire ruisseler le peu de neige/glace restante.

En fait, j’ai même l’impression que des voies comme les Suisses aux Courtes ne seront pas en condition avant quelques bons hivers. La glace ayant totalement disparu, un hiver ne sera sûrement pas suffisant pour en reformer assez pour brocher dans les passages raides. Et la quantité de neige ne suffira sûrement pas à sceller les gros blocs qui sont apparus.

Mais bon, dans des conditions aussi exceptionnelles, qui peut prédir comment ça va évoluer…

En tout cas, ce WE, les faces Nord d’Argentière, c’était le feu d’artifice en permanence !

  • Oh, le beau gris !
  • Wouah, t’as vu le rouge là !
    Le couloir en Y a également lâché quelques beaux spécimens. Par contre, les escalades au dessus du refuge sont en très bonnes conditions !

Posté en tant qu’invité par Popol:

Attention.
Lorsque l’isotherme 0°C actuellement vers 4500 - 5000 m descendra vers 3000 - 3500 m il faut s’attendre à une explosion des chutes de pierres en haute montagne pendant plusieurs jours.
En effet le regel a pour effet de dilater les fissures et les blocs instables auront tendance à s’ébouler de plus belle jusqu’à ce que le regel les « soude » à nouveau.

Posté en tant qu’invité par bouclettes:

Tout d’abord et pour que les choses soit claires je trouve le métier de sauveteur formidable et je fais tout ce que je peut pour ne pas avoir à faire à leurs services.

Ceci dit votre réaction est peu être exécive. Je comprend bien que votre plasse est fort stréssante mais faire ce métier n’est pas une obligation : la liste des candidats est longue, personne ne l’a forcé et je suis sur que si il souhaitaiy arrêter il aurait d’autres possibilités dans la gendarmerie…

Prendre des risques inutiles, non mesurés est stupide, tout autant que les éxès de règles et de sécurité. Posser des questions est preuve de maturité et de réflexion et va donc dans le bon sens…
De plus votre position vis à vis des risques est celle de ceux qui souhaitent privatiser les secours : ainsi votre mari travaillerai uniquement dans le secours sans reconvertion organisé une fois la fatigue venue, des conditions de travail sans doute moins avantageuses et un terrible doute… sort-il ? s’expose-t-il ? pour sauver des vies ou pour faire gagner de l’argent à sa boite…

Encore une fois je comprend votre sutuation fort inconfortable en cet été si exposé la haut mais la position de la plupart des membres de ce forum est plutôt raisonnable (il me semble, lire les nombreux avertissements) et il je trouve que votre réponse retranscri plus vos peurs (bien légitimes) qu’une réfléxion objéctive et argumentée.

Encore une fois, merci à lui et à son courage

Posté en tant qu’invité par Virmed:

Pour les gars de la directe américaine je suis d’accord, partir alors que pendant les 2 jours précédant çà n’a pas arreté de parpiner c’est pas très intelligent…
Le dire sur le site de l’OHM encore moins et en plus se prendre un but (ils n’ont pas sortie la voie, il se sont fait treuiller…).

Dommage celà prouve qu’il y a prendre et à laisser sur ces forums de conditions qui sont qd même bien utiles.

Posté en tant qu’invité par benoit:

ils ont sorti la voie mais ne pouvaient pas traverser le glacier, ce qui était sur le site de l’ohm aussi.
des abrutis.

Posté en tant qu’invité par Nono:

Salut,

Je reviens d’une semaine à Cham ! Avec 2 amis nous devions faire le Mont-Blanc le WE du 9 et 10. Notre guide nous a appelé pour nous dire que ce n’était plus possible et l’OHM nous a prévenu de la mort d’une personne pris sous une avalanche de pierres dans le couloir.
Finalement, le 9, nous avons fait la Jonction. Nous sommes restés 1/2 heure pour déjeuner et nous avons assisté à une avalanche de pierres venant de l’Aiguille du midi, une chute de glace/neige vers l’aiguille du Gouter, une chute de pierre venant du Maudit et enfin une chute de sérac dans les bossons !! Et tout ça en 1/2 heure …
Ceux qui montent encore au Gouter sont de simples abrutis … on devrait les laisser se débrouiller au lieu de risquer la vie des sauveteurs !!!

Posté en tant qu’invité par khamaki:

bon bin moi je remets tout simplement mes plans a plus tard
la montagne va pas bougee et on va attendre de bien meilleurs conditions… pas envie de me faire bombarder…
ca fait 23 ans que je fais de la montagne, j’ai appris avec une personne du pghm, donc respect…
quand a la gratuite des secours en montagne pas etonnant qu’elle soit remise en cause… si on dit attention dangereux ne vous engages pas trop de risques bin faut pas sinon tu payes ton secours: puisque on t’avais dit de pas y aller!!!

Posté en tant qu’invité par Fabrice:

Je pratique l’alpinisme depuis de nombreuses années et je connais bien le massif. La question va vous sembler « hors principe de la montagne » mais je la pose.
Pourquoi ne pas fermer l’acces au refuge du Gouter par le couloir par arreté municipale ou prefectorale.
Devant de tels riques ??? La vie de ces idiots et en jeu, mais SURTOUT celle des secouristes.
Des mecs du PGHM au nid d’aigle et c’est terminé. On ne passe plus, c’est tout ! On arrive à interdire de voler en parapente à l’interieur du massif en juillet et aout, on peut bien fermer un couloir quelques semaines !! C’est pour la bonne cause, merde. Mon avis : A situation exceptionnelle - Mesures exceptionnelles.
Merci

Posté en tant qu’invité par ouhlala:

Les autorites preferent la prevention a l’interdiction, c’est surement plus dissuasif qu’une interdiction pure et simple qui risquerait d’etre incomprise:
"Depuis la mort d’un alpiniste macédonien, tué jeudi par une chute de pierres dans la traversée du couloir du Goûter, la commune de Saint-Gervais et les guides de haute montagne insistent auprès des candidats au sommet pour qu’ils diffèrent ou même annulent leur course.
Les guides ont eux-mêmes suspendu leurs stages Mont-Blanc et leurs courses en direction du Goûter, et le maire de Saint-Gervais, Jean-Marc Peillex, a lancé dès jeudi soir une campagne d’information et de sensibilisation.
Outre les affiches placées notamment à l’arrivée du tramway du Mont-Blanc, qui dessert le départ de la voie normale, quelque 15.000 tracts ont été imprimés pour expliquer le danger.
Samedi et dimanche, des gendarmes ont été postés sur l’itinéraire pour convaincre les plus téméraires de rebrousser chemin, mais ils n’ont pas encore réussi à dissuader tout le monde.
Habituellement en période estivale, les flancs du Mont-Blanc (4.810 mètres d’altitude) sont pris d’assaut par environ 300 personnes chaque jour, et si beaucoup d’alpinistes français ont vu la campagne d’affichage « Aiguille du Goûter, chutes de pierres, danger, itinéraire fortement déconseillé », relayée par les professionnels, les alpinistes étrangers ne comprennent pas toujours le message.
« Mais il faut absolument qu’on ait un peu de patience, nous sommes passés de 200 personnes au refuge du Goûter à 40. L’action est déjà extrêmement déterminante » "
extrait d’une depeche AFP sur http://grenoble.wanadoo.fr/

Posté en tant qu’invité par casscroot:

Concernant le secours en montagne, j’entend souvent l’argument « risquer la vie des secouristes » pour accabler l’alpiniste qui se trouve en besoin de secours. Sans remettre en cause l’inconscience (ou la volonté suicidaire) des alpinistes empruntant le couloir du gouter ces temps-ci, j’ai une question, un peu naîve peut-être:
Les secouristes portent-ils secours à un alpiniste en danger à tout prix, c a d quelqu’en soit les dangers? Ou bien il y a t il un seuil, (dont l’appréciation est laissée à leur discretion) a partir duquel ils considèrent prendre trop de risques?
Dans ce deuxième cas, et justifiant de leur compétence, rien ne les empêche de ne pas aller secourir un alpiniste si cela nécessite une trop forte prise de risque. Ils seraient dans leur bon droit. J’emet alors l’avis suivant: peut-on encore accuser l’inconscient de mettre la vie des secouristes en danger plus que de raison (il y a toujours des risques, seul leur valeur varie)sans retirer de fait toute responsabilité et capacité
d’évaluation aux secouristes ? C’est peut être autant manquer de respect aux secouristes qu’on en manque parfois à certains secourus, faute d’informations completes sur les circonstances d’un accident.
Mettre le doigt sur ce paradoxe puisse-t-il orienter la discussion hors de stériles écueils. :wink: Il en va de même sur le problème de la hierarchie des urgences : en quoi peut-on considérer qu’un secouru inconscient prend la place d’un secouru

J’espère que les montagnards saisiront la nature ma réflexion.

(Il en va de même sur le probleme de la hierarchie des urgences : en quoi peut-on considérer qu’un secouru « inconscient » prend potentiellement la place d’un bléssé « méritant », puisque les secours hierarchisent les interventions en fonction de l’urgence de la situation? ces questions méritent une réelle réflexion dépassionnée.)

Posté en tant qu’invité par Bebos:

Parce qu’on a encore le droit de prendre ses responsabilités et d’aller se manger un caillou en pleine tronche bordel ! Arrête de dire n’importe quoi Sarko, y’en a plein le c… de la nouvelle solution française qui consiste à foutre des arrêtés d’interdiction de partout et 135 € d’amendes sans la moindre souplesse par rapport aux personnes à qui ça s’adresse !
Bien sûr que c’est stupide de monter au Gouter en ce moment, mais ce sont les gendarmes du PGHM qui ont raison, il faut tenter de dissuader sans tomber dans le principe oh combien dangereux de l’interdiction. « Il est interdit d’interdire », voilà un principe qui devrait s’appliquer en montagne… Ce qu’on aime en montagne, c’est pouvoir prendre ses responsabilités en toute liberté, de pouvoir décider de renoncer au couloir du Goûter parce qu’on estime que c’est trop dangereux, et non pas parce qu’on est verbalisable !
Commence donc par fermer le Goûter aujourd’hui, et l’année prochaine ils nous fermeront les glaciers parce qu’ils sont trop ouverts… Et pourquoi on fermerait pas le dôme des Ecrins ? Et pourquoi on fermerait pas le Tacul ? Et le Whymper, il faudrait un arrêté préfectoral et trois flics à l’entrée à partir de la mi juin…
« A situation exceptionnelle - Mesures exceptionnelles. »
Ce qui pourrait être exceptionnel cette année sera monnaie courante dans cinq ans si on se met à raisonner comme ça. Je vous signale qu’on voit des flics au bord du lac d’Aiguebelette pour empêcher les gens d’aller se baigner sur les caillous et faire respecter un arrêté municipal à la c… de 1993 !!
La connerie nous guette camarades !!

Posté en tant qu’invité par moa:

salut à tous

n’allez pas au gouter

ce qui se passe est de l’ordre de l’éfondrement, du glissement

de terrain…

ça part dans tous les sens et ça déborde largement du couloir…

ça part tout le temps , la nuit , le jour et c’est énorme

déjà cinq morts , plus les bléssés ,

aux dires du pghm qui est allé voir en helico,

c’est pas du tout fini…

voila , 3 nuits passées à l’aiguille du gouter jusqu’à lundi…

quand on est monté , c’étais comme d’habitude, mais apres…

il faut attendre que le couloir se purge, ou soit purgé…

que ça se calme…

ne prenez pas de risques inutiles

à plus…

Posté en tant qu’invité par FredK:

Je ne comprends pas pourquoi la mairie de St-Gervais ne fait pas construire un pare-pierres/pare-avalanches, du style visible au bord des autoroutes ou sur la route montant vers Argentière. Une belle structure en béton de 2 m de large, sur toute la longueur du couloir, avec feux de passage, alternativement d’abord ceux qui montent puis ceux qui descendent, une caméra pour surveiller et compter les passages …
Pour la prévention, ce serait quand même mieux qu’un câble… et qu’un GHM montant la garde…
??

Posté en tant qu’invité par cecile:

oui avec des rondes en hélico. et quand ils repèrent qqn qui tente malgré tout la traversée du couloir, d’abord sommations et puis tir à vue si le récalcitrant persiste. comme ça c’est reglé.

Posté en tant qu’invité par Fabrice:

Tu sais, le problème c’est que les cons qui veulent prendre des risques peuvent en faire prendre aux autres, le truc il est là.
C’est tout simple ! Pourquoi on n’a pas le droit de rouler à 200 km/ h en voiture, c’est parcequ’on peut mettre la vie des autres en jeu. Toi, tu peux prendre tes risques à la con, mais laisse les autres vivre, c’est tout !
Cette année c’est un cas exceptionnel, je le rappele. En station on ferme des pistes, c’est interdit d’y aller quand le risque d’avalanche est grand …alors pourquoi ?
Si un jour, dans un couloir, un risque de chute de pierres menace un village, on va pas fermer son accès ! On va laisser faire ??? Ton avis est lourd, c’est clair, il faut savoir prendre des mesures adultes, dans ce monde de « gamins ».

Posté en tant qu’invité par bouclettes:

La différance c’est que la montagne est un espace de liberté pas comme les routes et pour ceux qui ne veulent surtout pas s’exposer il y a effectivement les stations.
Pour ma part je n’irais pas par là bas mais pourquoi toujours réglementer ? Cela rend les gens naifs, idiots et irresponsable (un comble pour leur sécurité !!!).
Enfin, si sur la route tu expose des pauvres gens, dans le couloir du gouter, tu n’expose que ceux qui ont choisi d’y aller et de ne pas faire 1/2 tour, c’est pas vraiment pareil…
Sinon, toi qui est attaché aux régles quand il y a un virage genre N6 en MAurienne (ou d’autres routes bien pires) et que c’est limité à 90 tu fonce ou tu réfléchis ?

Posté en tant qu’invité par s@m:

J’aurai bien vu un systeme avec des feux en plus : ‹ rouge clignotant › attention risque de chute pierre. Au feu vert on peut passer les yeux fermés.

çà permettrait d’installer une buvette de chaque coté…
…Mt-Blanc quand tu nous tiens !!

Et puis tant qu’à faire un pare-pierre, on pourrait aussi équiper la traversée du couloir avec du béton, çà éviterai les chutes et çà permettrai de passer vite.

J’arrête le délire, d’ailleurs je ne connais pas l’endroit !! Et vu la fréquentation estivale, je risque de ne pas y mettre les pieds avan un moment (encore que l’hiver, peut-être ??)…

Bon W.E. à tous (c’est pas encore mais çà approche à grands pas ;-)))

Posté en tant qu’invité par Jeff:

Le problème de l’interdiction, c’est le problème de la responsabilité de chacun :
-ceux qui prône la liberté sans restriction dans ce post, pensent sans doute que les alpinistes (?) qui vont au Mont-Blanc sont aussi renseignés et aussi responsables qu’ils le sont eux-même. Comme devraient l’être tous montagnards dignes de ce nom avant une course, fut-elle aussi techniquement facile que la voie normale du Mont-Blanc.
Or, c’est faux ! Ces « gens » vont au casse-pipe sans même en avoir réellement conscience… Souvent étrangers (barrière de la langue), ayant ce projet dans la tête de longue date, ils n’ont pas le recul intellectuel suffisant pour analyser sereinement la situation.
A un certain moment, le législateur se doit de prendre des décisions en lieu et place des personnes qui sont dans l’incapacité de le faire de toute bonne foi.
On est ici dans ce cas, à mon avis.
La difficulté du sujet vient surtout du mode de détermination de ce niveau de bonne foi…
Je sais qu’il est toujours difficile de voir son terrain de jeu préféré envahi par les légalistes, mais nous devons nous poser la question de la pérennité de notre activité, et celle-ci passe peut-être par des concessions à ce sujet ?

PS : et l’arête Payot, elle craint autant ? D’hab’, ça parpine moins par là…
Jeff

Posté en tant qu’invité par Fjj:

Il y a un truc qu’on a aussi tendance a oublier, le couloir il est bien sur la commune de St Gervais? (j’y suis jamais allé)

Si c’est le cas, le maire est responsable de ce qui s’y passe. Cela me fait rire quand il y en a qui dise que la montagne est un endroit de liberté, que l’on peut faire ce que l’on veut… Cependant il y a quand même un responsable: le maire!

mais si jamais il y en a un qui y va et qui meurt, sa famille peut très bien mettre en procès le maire de St Gervais car il n’avait pas interdit l’accès au couloir alors que c’était beaucoup trop dangereux car s’il le déconseille « seulement » c’est que c’est encore « praticale »

Je ne veux pas dire oui ou non pour l’interdiction, c’est juste qu’à mon avis on est beaucoup trop mal placé pour savoir ce qu’il faut faire car on est pas responsable s’il y a un problème…

Posté en tant qu’invité par Jean-Marc:

Jeff, tu touches le point central du débat.

Oui à la montagne « dernier espace de liberté », mais cela signifie que des personnes non experimentées peuvent tenter des courses trop dangereuses, sans en avoir conscience.

Et par définition, les gens non expérimentés n’ayant pas conscience du danger, se sentiront en sécurité…

La plupart des défenseurs de la liberté à tout prix sur ce forum rejettent tout interdiction mais sont suffisemment expérimentés pour juger du danger.