C’est le cas de tous les refuges. Oui il y en a assez.
Conseils : Séjour en alpinisme pour débutant dans les Ecrins
Faut parfois accepter de porter du 43 quand tu chausses du 39, ou l’inverse. Mais oui, il n’est absolument pas nécessaire d’alourdir son sac à dos avec ses charentaises.
Il y a de multiples combinaisons possibles.
Par exemple 2 pieds droits: 1 de 44 et 1 de 39.
Etc.
De plus, si le 39 rentre dans du 44, l’inverse est plus compliqué. Cette histoire de sabots de refuge est un vrai problème, toujours pas résolu.
Merci beaucoup pour l’information. Ca fera ça en moins à emporter…
Je rigole encore depuis 5 minutes.
Merci
Bonjour,
je suis aussi alpiniste débutant.
Effectivement, quand ils disent « directement en tenue » c’est avec les bonnes fringues pour la marche d’approche et selon l’heure du départ de quoi manger.
Par contre je me permets de réagir sur les chaussures :
Lors de la préparation de ma première initiation à l’alpinisme, je m’interrogeais comme toi sur les chaussures à porter. J’ai donc appelé la compagnie des Guides pour demander conseil. A ma grande surprise, la personne qui m’a répondu m’a conseillé de louer mes chaussures !! j’étais scié ! Elle m’a expliqué qu’il valait mieux porter des chaussures rodées qui seront plus « souples » que des neuves.
C’est ce que j’ai fait… à plusieurs reprises ( 4 fois) et je n’ai eu qu’une seule fois des blessures aux pieds et c’est clairement de ma faute (chaussure mal serrée).
Bref, maintenant que tu as acheté tes chaussures, le mieux c’est de les porter au maximum avant le jour J . Et personnellement, je partirai avec les chaussures d’alpi au pieds. Plus le sac est léger, mieux c’est !
Je varierai selon les montées en refuge mais clairement pour ton programme Arsine-Faurio je ferai pareil.
La montée au Glacier Blanc n’est pas bien longue et ensuite tu ne quitteras plus tes grosses jusqu’à revenir à ce refuge le surlendemain après Roche Faurio.
Au pire si vraiment tu tiens à monter en baskets laisse les au Glacier Blanc et ne les oublies pas en redescendant, mais à prendre quelque chose en plus dans mon sac dans ce cadre ce serait plutôt les batons que les baskets.
Merci pour vos retours d’experience et pour vos conseils. C’est ce que j’ai essayé de faire au maximum : j’ai fait plusieurs randonnées pour tâcher de roder mes chaussures.
Je pense que ça devrait aller au niveau ampoules, mais par contre, sur la dernière randonnée, j’ai du trop les serrer, si bien que j’avais des douleurs en bas des tibias qui devenaient assez pénibles sur la fin. En fait, c’est la languette de la chaussure qui appuyait trop sur mes tibias, je pense. Je vais essayer de voir si je peux moins les serrer pour voir si ça améliore quelque chose.
Avec les crochets auto bloquants tu peux serrer différemment l’avant-pied et le talon.
Je ne suis pas sur de disposer de ce genre de crochets sur mes chaussures Simond.
Est-ce qu’il s’agit de ceux de la 5ème rangée en partant du bas ? Si oui, tu vois, je n’avais même pas remarqué qu’ils étaient différents des autres…
Même sans crochets autobloquants, on peut désolidariser le blocage du pied et celui de la cheville en passant une fois le lacet de haut en bas dans les crochets quand on passe au niveau de la cheville.
Sûrement. D’ailleurs il y a un petit machin orange dessus d’après la photo. D’autre part, il me semble que toutes les chaussures de montagne ont un tel crochet. Sinon, méthode @csv.
En fait, le machin orange, c’est un trou dans le crochet par lequel on voit le lacet (j’ai agrandi la photo pour mieux voir).
Je dirais plutôt les deux du haut et le troisième mais c’est différent (sorte de sangle)
Bonjour,
Ca y est, je suis revenu de mon séjour depuis un mois environ, et j’en profite pour vous remercier une fois de plus pour tous vos conseils qui m’ont été très utiles.
Aussi, voici mon petit retour d’expérience par rapport aux différentes questions évoquées plus haut.
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Tout d’abord, j’ai effectué la montée du prè de Madame Carle au Refuge du Glacier Blanc avec mes chaussures d’alpinisme. J’avoue que ça a été assez dur comme entrée en matière, car même si j’avais fait quelques randos de préparation avec mes chaussures, la dénivelée, et surtout, la cadence imposée par les autres qui galopaient presque n’a pas été facile (j’étais le seul avec des chaussres d’alpi).
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Concernant mes chaussures, je les ai utilisées à chaque fois que je pouvais au cours de petites randos effectuées dans les dernières semaines avant mon départ. Non seulement, ça m’a permis de les assouplir un peu, mais aussi de m’y habituer, tout simplement. Au final, j’en ai été très content, même si ce sont des chaussures plutôt d’entrée de gamme. Et je suis parti avec elles au pieds…
Pour éviter les ampoules, j’avais utilisé de la crème NOK pour préparer mes pieds durant 20 jours avant mon séjour. Ca a bien marché, sauf que j’avais complétement oublié d’en mettre au niveau des talons (je n’en avais jamais eu jusque là à ce niveau, c’est pour ça), et du coup, j’ai attrapé une sacrée ampoule à cet endroit là. -
Concernant les Crocs, il n’y a pas eu de problème pour en avoir dans les deux refuges, mais j’ai remarqué qu’on avait plus de choix lorsqu’on arrivait tôt au refuge (13h00) que plus tard (17h00).
Voilà, bonne fin de journée.
Merci pour ce retour.
J’espère que ces chaussures t’accompagneront encore pour de belles courses en montagne