'Collants-pipette'

[quote=« Christian, id: 1808898, post:77, topic:161468 »]

[quote=« Olaf Grosbaf, id: 1808894, post:75, topic:161468 »]

[quote=« Chti nain, id: 1808644, post:64, topic:161468 »][/quote]
Et dire que même au Nanga Parbat en hiver on trouve des blaireaux à raquettes :lol: http://simonemoro.gazzetta.it/files/2016/02/IMG_8481.jpg[/quote]
C’est de l’humour ?[/quote]
Oui! Comme l’a dit Antoine, l’habit ne fait pas le moine et ne dit rien du niveau et des motivations de celui qui les porte… Si tu as suivi le fil sur le Nanga Parbat, c’est la grosse actualité himalayenne du moment, avec des gusses plutôt douée-e-s qui se frottent à un très gros morceau, ce qui ne se voit absolument pas sur la photo, qui hormis les pompes d’expié, pourrait être prise dans le Jura. Il manque une couche d’info pour pouvoir juger des personnes et de leurs raisons d’être là, entonces?
Etant du genre polymorphe -barbu, collant-pipette, un peu grimpeur, trailer, vttiste, cycliste, nageur- j’aime pratiquer - et mélanger- ces différentes activités en montagne avant tout, au gré de mes envies et de mes partenaires. Du coup, j’ai un peu de la peine avec la catégorisation des gens et la caricature de leur personnalité. Ca me fait bien rigoler de me dire qu’un tel me saluera (ou pas…) en montagne ou me prendra pour un con selon que je sois équipé d’un vélo, de baskets, de skis light, de baskets, avec deux piolets sur le sac, etc. alors que je pratique dans une philosophie similaire.

[quote=« POG’, id: 1808915, post:80, topic:161468 »]

Tu oublies plein de cas très graves de personnes qui ne se comportent pas exactement comme toi. Quelques exemples en passant :

  • ceux qui pissent sur la trace;
  • ceux qui mettent un casque;
  • ceux qui préfèrent lire une carte OSM qu’une vraie carte topographique;
  • etc.[/quote]

Mais que fait la police des moeurs montagnardes? :lol: :lol: :lol:

Oui, pratiquons dans la joie, le respect et la diversité!
Amen

[quote=« Christian, id: 1808919, post:81, topic:161468 »]

Je dois être hermétique à cette forme d’humour. Désolé !!! surtout pour ce sympathique blaireau (le vrai).[/quote]
C’est vrai que ces braves mustélidés n’ont pas de chance… Quelqu’un sait d’où leur vient cette réputation? Désolé pour la digression :smiley:

Alors tu m’enverras une photo le jour où tu fais du vélo comme ceux là:

Mais en calos de bain et avec tes piolets ancreurs sur le porte-bagage…

Christian a écrit :

[quote]Olaf Grosbaf a écrit :

Oui! Comme l’a dit Antoine, l’habit ne fait pas le moine et ne dit rien du niveau et des motivations de celui qui les porte… Si tu as suivi le fil sur le Nanga Parbat, c’est la grosse actualité himalayenne du moment, avec des gusses plutôt douée-e-s qui se frottent à un très gros morceau, ce qui ne se voit absolument pas sur la photo, qui hormis les pompes d’expié, pourrait être prise dans le Jura. Il manque une couche d’info pour pouvoir juger des personnes et de leurs raisons d’être là, entonces?
Etant du genre polymorphe -barbu, collant-pipette, un peu grimpeur, trailer, vttiste, cycliste, nageur- j’aime pratiquer - et mélanger- ces différentes activités en montagne avant tout, au gré de mes envies et de mes partenaires. Du coup, j’ai un peu de la peine avec la catégorisation des gens et la caricature de leur personnalité. Ca me fait bien rigoler de me dire qu’un tel me saluera (ou pas…) en montagne ou me prendra pour un con selon que je sois équipé d’un vélo, de baskets, de skis light, de baskets, avec deux piolets sur le sac, etc. alors que je pratique dans une philosophie similaire.[/quote]

Oui en effet il me manquait quelques éléments de compréhension, il faut m’expliquer longtemps pour que je comprenne. Je rejoins ton avis bien formulé.

[quote=« Chti nain, id: 1808927, post:85, topic:161468 »]

Alors tu m’enverras une photo le jour où tu fais du vélo comme ceux là:

Mais en calos de bain et avec tes piolets ancreurs sur le porte-bagage…[/quote]

Merde, mais eux on les met dans quelle catégorie ? Ils sont même pas en Fatbike !

Vivement l’arrivée des Iti VTT sur C2C

[quote=« Chti nain, id: 1808927, post:85, topic:161468 »]

Alors tu m’enverras une photo le jour où tu fais du vélo comme ceux là:

Mais en calos de bain et avec tes piolets ancreurs sur le porte-bagage…[/quote]
Sur ce même sommet, un petit trip perso. J’étais pas en calos, mais en short: ça compte ou pas? http://www.hikr.org/tour/post85129.html

Blaireau or not blaireau, what else?

[quote=« Olaf Grosbaf, id: 1808931, post:88, topic:161468 »]

[quote=« Chti nain, id: 1808927, post:85, topic:161468 »]

Alors tu m’enverras une photo le jour où tu fais du vélo comme ceux là:

Mais en calos de bain et avec tes piolets ancreurs sur le porte-bagage…[/quote]
Sur ce même sommet, un petit trip perso. J’étais pas en calos, mais en short: ça compte ou pas? http://www.hikr.org/tour/post85129.html[/quote]
Je sais pas trop, ça dépend du type de short :lol:
Si il ressemble à un calos de bain moule-boules ou un short de course à pied des années 80 c’est oui, sinon c’est pas valable…

Bonjour,

Voici un texte que j’ai trouvé :
La mauvaise réputation du blaireau

Accusé de transmettre la rage, partageant de plus son terrier avec le renard, il a été la cible de destructions par le gaz et le poison. L’amélioration des connaissances sur l’espèce l’a peu à peu réhabilité, mais on lui reproche de provoquer des dégâts dans les céréales ou d’occasionner des gênes en creusant des galeries. Il est également accusé d’être porteur de la tuberculose bovine et subit de lourdes campagnes de destruction dans certains départements, et ce alors même que le principal diffuseur de la maladie serait le transfert du bétail d’une ferme à l’autre sans encadrement sanitaire. L’expansion urbaine, les modifications du paysage, les dérangements et la mortalité routière viennent compléter le tableau des menaces. Enfin, l’espèce reste chassable en France. Outre la destruction par le tir, le blaireau peut faire l’objet de vènerie sous terre, une méthode de chasse cruelle visant à faire acculer par des chiens un animal dans son terrier puis à le déterrer et le saisir avec des pinces.

A titre personnel, ce que j’ajouterai, c’est que le blaireau, le vrai, est pénible parce que :

  • Pour entrer dans le jardin, il creuse au moins 2 trous (un pour arriver, et un pour repartir, à moins que ce soit un pour se sauver au cas ou on arrive à boucher l’un des 2 pendant qu’il est là pour l’emprisonner).
  • Quand on bouche un trou de passage, même avec de gros cailloux, il arrive à le déboucher dès la nuit suivante.
  • Quand on a bien nivelé et cultivé le terrain, il le trouve appétissant, et il vient la nuit pour tout retourner et trouver les insectes souterrains dont il se nourrit.
  • Quand il se sent vraiment bien à un endroit (comme chez nous), il creuse un trou plus profond pour en faire un terrier, et il fait ses besoins à côté, et ça sent très mauvais.
  • Quand on croit avoir bouché tous les passages par lesquels il arrive, il en trouve encore un, et il s’installe. Même dans une cave au milieu du village.

Mais ça n’est pas grave, je le laisse vivre, et je continue mon travail sans fin pour réparer ses dégradations.

Bernard

[quote=« bernard guérin, id: 1808940, post:91, topic:161468 »]

Bonjour,

Voici un texte que j’ai trouvé :
La mauvaise réputation du blaireau

Accusé de transmettre la rage, partageant de plus son terrier avec le renard, il a été la cible de destructions par le gaz et le poison. L’amélioration des connaissances sur l’espèce l’a peu à peu réhabilité, mais on lui reproche de provoquer des dégâts dans les céréales ou d’occasionner des gênes en creusant des galeries. Il est également accusé d’être porteur de la tuberculose bovine et subit de lourdes campagnes de destruction dans certains départements, et ce alors même que le principal diffuseur de la maladie serait le transfert du bétail d’une ferme à l’autre sans encadrement sanitaire. L’expansion urbaine, les modifications du paysage, les dérangements et la mortalité routière viennent compléter le tableau des menaces. Enfin, l’espèce reste chassable en France. Outre la destruction par le tir, le blaireau peut faire l’objet de vènerie sous terre, une méthode de chasse cruelle visant à faire acculer par des chiens un animal dans son terrier puis à le déterrer et le saisir avec des pinces.

A titre personnel, ce que j’ajouterai, c’est que le blaireau, le vrai, est pénible parce que :

  • Pour entrer dans le jardin, il creuse au moins 2 trous (un pour arriver, et un pour repartir, à moins que ce soit un pour se sauver au cas ou on arrive à boucher l’un des 2 pendant qu’il est là pour l’emprisonner).
  • Quand on bouche un trou de passage, même avec de gros cailloux, il arrive à le déboucher dès la nuit suivante.
  • Quand on a bien nivelé et cultivé le terrain, il le trouve appétissant, et il vient la nuit pour tout retourner et trouver les insectes souterrains dont il se nourrit.
  • Quand il se sent vraiment bien à un endroit (comme chez nous), il creuse un trou plus profond pour en faire un terrier, et il fait ses besoins à côté, et ça sent très mauvais.
  • Quand on croit avoir bouché tous les passages par lesquels il arrive, il en trouve encore un, et il s’installe. Même dans une cave au milieu du village.

Mais ça n’est pas grave, je le laisse vivre, et je continue mon travail sans fin pour réparer ses dégradations.

Bernard[/quote]
Merci!

je ne sais pas dans quelle catégorie me mettre avec mon trial électrique pour la montagne…pourtant physique , et je suis en collant pipette aussi :lol:

[quote=« Antoine M, id: 1808913, post:79, topic:161468 »]! D’ailleurs, je ne suis pas du tout spécialiste de ce genre d’expé, mais je veux bien qu’on m’explique pourquoi ils ne prennent pas les skis: poids des sacs, qualité de la trace pour les portages suivants, difficulté physique d’enchainer des virage à 8000m ? ça va quand même plus vite à la descente, et y a moins de risques de tomber dans une crevasse non ?

Et sinon, personne n’a relevé dans le premier message de Chtinain que les skieurs de fond font de la rando pour s’occuper l’hiver? [/quote]
Pour les skis sur le Nanga Parbat, le débat semblait être ouvert. Je ne suis pas spécialiste des expés hivernales non plus mais…
Question poids, les raquettes me semblent compétitives sur ce genre de terrain. Pour l’alpi hivernal, c’est quand même souvent une bonne option.
Et surtout, existe-t-il des chaussures de ski suffisamment isolées (à hauteur d’une millet everest, à minima) ?
Enfin, la descente encordés, c’est quand même pas très funky pour enchaîner des beaux virages…

Quant aux fondeurs qui s’occupent l’hiver grâce à la rando, j’avais relevé, mais cet hiver confirme que c’est possible… Dimanche, pas de transjurassienne. Et globalement, les stations nordiques peinent à maintenir les pistes ouvertes. Au moins, on trouve toujours une bricole à grimper en peaux…

En montagne, je serais plutôt du genre lente et pipelette que collant-pipette.
Mais je préfère dire contemplative et sociable.

Oui on en a parlé dans le fil sur le Nanga, et même donné quelques éléments de réponse, mais il faut dire que le fil est long à lire, bientôt 450 messages :lol: :cool:
Pour la difficulté physique de tourner à 8000m, il y a un documentaire (je ne le trouve plus, mais il est sur youtube) très bien sur deux copains qui sont descendus la face nord de l’Everest (couloir Norton ou Horbein, je ne sais plus), un y est mort.
Et pour la rapidité de la descente ? Pas sûr qu’en hiver ça passe. Luis Stitzinger est descendu toute la face Diamir du Nanga en juin, en condition déjà pas mal glacée, alors j’ose pas imaginé en hiver… Par contre il n’avait pas de collants, ni de pipettes :wink:
Sinon, Moro avait des skis en 2014 sur Nanga, mais surement pas pour le sommet !

Quelques infos sur les descentes à ski des 8000 iciici !

[quote=« hedera, id: 1808945, post:95, topic:161468 »]En montagne, je serais plutôt du genre lente et pipelette que collant-pipette.
Mais je préfère dire contemplative et sociable.[/quote]

Me disait qu’avec un pareil pseudo, tu devais plutôt être collante-pipelette… mais ça n’empêche pas d’être contemplative et sociable.

Commentaire de « Marco » sur un site d’à coté:

[quote]Itinéraire suivi : Chamechaude - Comment j’ai approché un collant-pipetus vulgaris - Dénivelé réel effectué : 840m

La montée à Chamechaude est une valeur sûre pour rencontrer l’animal et ça n’a pas manqué.
J’ai rencontré assez vite quelques spécimens mais de la sous-espèce domestique qui sont, en général, fort sympathiques.
L’un d’entre eux m’a d’ailleurs remercié de le laisser passer sur le haut et nous avons conversé agréablement au sommet.
A la descente, alors que j’allais désescalader le ressaut sommital, j’aperçois un magnifique spécimen sauvage, dans sa parure de jais, qui s’approche à grandes enjambées du bas du câble.
Il déchausse quasiment instantanément et empoigne le câble tout de go.
Je remonte d’un mètre et me pousse afin de ne pas le gêner, admiratif de sa prestance.
Au moment où il passe près de moi à 50cm, je lance un « bonjour » qui n’obtient pas de réponse.
Toujours enclin à trouver des excuses chez l’autre, j’imagine que la fatigue lui brouille la vue, ou que je lui brouille l’écoute.
Ses muscles sculpturaux ont certainement besoin de tout l’afflux sanguin et il n’en reste quasiment plus pour irriguer le cerveau.
J’ai même pensé, qu’à force de pratique intensive, la masse musculaire lui aurait envahi la boite crânienne.
Je profite de l’arrêt en haut du câble pour faire une photo.
L’animal, après avoir arrêté son chrono à la croix, est déjà de retour.
Je le regarde dans les yeux et lui lance un banal mais bienveillant « il fait beau ». Pas de réponse.
J’ai cru un moment, tel le psychologue du film « le sixième sens », être mort et ne pas le savoir, et du coup invisible aux mortels.
J’aurais peut-être dû, à l’instar des explorateurs de l’Afrique équatoriale du XIXème siècle, prendre en compte la différence culturelle et lever amicalement la main en lui disant « moi ami de toi ».
J’ai même été tenté de le toucher, tellement il était proche de moi.
Dieu merci, je m’en suis bien gardé ayant quelques connaissances de la faune sauvage.
Si on touche un jeune isolé, il risque d’être rejeté par sa mère.
Surtout qu’apparemment il ne doit pas être un garçon facile.
Philosophe, je me dis que ses homologues des autres éléments, tels le guépard, l’aigle royal ou le requin blanc, ne sont pas là pour être sympathiques.
On les admire et c’est tout.
Je le remercie donc d’avoir illuminé ma journée de montagne.[/quote]

Voilà, j’ai bien rigolé!

[quote=« rodg, id: 1808975, post:98, topic:161468 »]Commentaire de « Marco » sur un site d’à coté:

[quote]Itinéraire suivi : Chamechaude - Comment j’ai approché un collant-pipetus vulgaris - Dénivelé réel effectué : 840m

La montée à Chamechaude est une valeur sûre pour rencontrer l’animal et ça n’a pas manqué.
J’ai rencontré assez vite quelques spécimens mais de la sous-espèce domestique qui sont, en général, fort sympathiques.
L’un d’entre eux m’a d’ailleurs remercié de le laisser passer sur le haut et nous avons conversé agréablement au sommet.
A la descente, alors que j’allais désescalader le ressaut sommital, j’aperçois un magnifique spécimen sauvage, dans sa parure de jais, qui s’approche à grandes enjambées du bas du câble.
Il déchausse quasiment instantanément et empoigne le câble tout de go.
Je remonte d’un mètre et me pousse afin de ne pas le gêner, admiratif de sa prestance.
Au moment où il passe près de moi à 50cm, je lance un « bonjour » qui n’obtient pas de réponse.
Toujours enclin à trouver des excuses chez l’autre, j’imagine que la fatigue lui brouille la vue, ou que je lui brouille l’écoute.
Ses muscles sculpturaux ont certainement besoin de tout l’afflux sanguin et il n’en reste quasiment plus pour irriguer le cerveau.
J’ai même pensé, qu’à force de pratique intensive, la masse musculaire lui aurait envahi la boite crânienne.
Je profite de l’arrêt en haut du câble pour faire une photo.
L’animal, après avoir arrêté son chrono à la croix, est déjà de retour.
Je le regarde dans les yeux et lui lance un banal mais bienveillant « il fait beau ». Pas de réponse.
J’ai cru un moment, tel le psychologue du film « le sixième sens », être mort et ne pas le savoir, et du coup invisible aux mortels.
J’aurais peut-être dû, à l’instar des explorateurs de l’Afrique équatoriale du XIXème siècle, prendre en compte la différence culturelle et lever amicalement la main en lui disant « moi ami de toi ».
J’ai même été tenté de le toucher, tellement il était proche de moi.
Dieu merci, je m’en suis bien gardé ayant quelques connaissances de la faune sauvage.
Si on touche un jeune isolé, il risque d’être rejeté par sa mère.
Surtout qu’apparemment il ne doit pas être un garçon facile.
Philosophe, je me dis que ses homologues des autres éléments, tels le guépard, l’aigle royal ou le requin blanc, ne sont pas là pour être sympathiques.
On les admire et c’est tout.
Je le remercie donc d’avoir illuminé ma journée de montagne.[/quote]

Voilà, j’ai bien rigolé![/quote]

Excellent !!!
Et c’est autrement plus fin que ce qu’on peut lire ici (parfois !!!)… :rolleyes:

joli(e) !

et très bon le Marco !

[quote=« Chti nain, id: 1808158, post:3, topic:161468 »]Y’a les skieurs de randonnée, qui ont des skis et des sacs plus ou moins lourds selon le plaisir recherché pendent la sortie (gros skis pour profiter de la descente, skis léger pour ne pas se flinguer à la montée et profiter de la descente, bouteille de petite Arvine dans le sac pour partager avec les copains ou les gens rencontrés en cours de route, doudoune et matos de sécurité pour sortir hors des autoroutes de la montagne, etc…).
En général ces gens sont des amateurs de montagne en toute saison, donc des montagnards.

Et y’a les collants-pipettes, qui suivent les traces autoroutes déjà existantes, le plus vite possible, avec le matos le plus léger possible pour aller le plus vite possible en haut et en bas. Donc avec un sac (quand encore ils en ont un…) sans rien d’utile dedans, sans dire bonjour ou merci pour la trace, et surtout en profitant des autres skieurs de randonnée en cas de pépin… ou de simple question pour savoir sur quel sommet on est en fait (histoires vécues à plusieurs reprises)!
En général ces gens sont des sportifs, souvent venant des sports d’endurance, vélo, ski de fond, course à pied, qui ont besoin de s’occuper et de s’entraîner aussi en hiver. Et qui accessoirement font des courses pour flatter leur ego.[/quote]

Et y’a des modérateurs pour tenir ce type de discours…vraiment affligeant… ! Ca vallait le coup de fermer les discussions aux invités.
Et on se demande qui flatte son ego dans l’histoire

Accessoirement, faut peut être penser à se mettre un peu de plomb dans la cervelle.