Cirer sa transmission

Nettoyage au pétrole desarhomatise au pinceau avec un pinceau ,lavage au jet et huile special velo ou 3 en 1 apres séchage et a chaque sorties
J’en ai démonté des cassettes mais jamais pour nettoyage
Par contre sur du campa pour route les roulements ça oui fluides en été graisse en hiver

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Il ne s’étonne pas, il s’en fout
Voire ça l’amuse …
En privé (non, non, je ne dénoncerai pas) il a été qualifié de « parangon du cuistre » : c’est tout à fait ça … incapable de la moindre remise en question …
Je ne vois pas ce qui a motivé ta réaction (et pour cause …) mais je devine aisément !

En VTT le Squirt c’est pas mal mais je ne trouve pas ça indispensable : ça supporte mal le lessivage par la pluie-boue, on se moque du coté salissant, ça coute plutôt cher (renouvellement à chaque sortie) : une huile épaisse l’hiver (wet lub supportant les lessivages par la boue liquide) et une huile légère l’été (qui ne colle pas le sable) est une stratégie tout aussi envisageable.
En vélo de route (ou Vélotaf) par contre c’est vraiment un très gros progrès : assez durable, très efficace (pas de bruit, c’est un signe) non salissant. Il faut juste nettoyer régulièrement les galets où ça à tendance à s’accumuler.

Outre ce que j’ai écrit précédemment, je vais aussi partager mon process de nettoyage lubrification :

Je nettoie mon VTT quasi à chaque sortie quelque soit la météo (à part peut être des petits tours pépères dans des conditions vraiment propres).
Je mets mon VTT sur pied car c’est bien plus commode pour travailler.
Selon l’état du VTT je ne nettoie que la transmission.
Je commence par gratter les galets du dérailleur et le plateau avec une spatule souple.
Je passe un coup de brosse grossièrement sur la transmission.
J’utilise de l’eau tiède.
Je nettoie ma chaine avec l’appareil cité dans mon premier message et un nettoyant transmission (biodégradable).
Ensuite, avec une petite brosse je finis de décaper galets, plateau et cassette.
Je vaporise un savon (biodégradable).
Je fais un gros rinçage.
Je sèche la chaîne ((j’attends un peu que ça s’égoutte et je passe un chiffon dans tous les sens.
Je lubrifie avec un produit de la marque Finish Line.
Et c’est reparti pour un tour !

Cela est très simple et pas trop long.
Il est important de le faire très régulièrement par rapport à l’usure et au fonctionnement mais aussi parce que c’est plus facile à nettoyer et moins long.
Je n’ai jamais utilisé de cire.

Sinon, pour le tubless j’y suis passé l’année dernière quand j’ai acheté mon tout suspendu ; je n’en changerai pour rien au monde : confort, grip, absorption de vibrations.

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J’ai fait pareil ya pas longtemps :slight_smile: J’ai découvert aussi le truc en question. Bon, il est toujours question de lubrification on va dire :wink:

Voilà, c’est tout à fait ça. Pour le VTT, en effet, ça se discute. Ca oblige, en conditions mouillées/boueuses, à nettoyer à chaque fois la transmission avec soin, et à une nouvelle application. En termes de coût, ça se discute. Ca revient sans doute un peu plus cher, en effet. Mais pour quel confort ! C’est comme le tubeless, ça revient plus cher que le le tubetype, mais on s’y retrouve.

On peut également pendre le vélo. Au garage ou dans un atelier, ça le fait très bien avec qlqs vieux bouts de cordelettes et des mousquetons reformés.
Ca ne coute rien et surtout ne prend pas de place.

Par contre, c’est moins pratique à emmener en voyage.

C’est ça, et j’avoue que j’ai hésité entre qu’est-ce que vous avez appris et qu’est ce qui vous a fait rire aujourd’hui. Finalement, j’ai laissé dans ce sujet.

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Est ce un effet de mode ou bien y a t’il une raison pour que l’on ne voit jamais de garde boue sur les vélos ? VTT, gravel.
Les roues emportent eau, terre, sable et projettent tout ça directement sur les plateaux et la chaîne…
Pourquoi ce débat pointu sur la cire quand on laisse de côté ce détail ?
C’est ringard les garde boue ?

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C’est vrai que ça n’a plus trop la cote. En VTT, ils sont minimalistes, idem en gravel. Il faut éviter les GB très enveloppants comme sur les randonneuses, qui sont une gêne redhibitoire sur les terrains très gras. C’est vrai qu’ils réduisent les projections sur la transmission, mais n’empêchent pas un nettoyage méticuleux.

Je suis un ringard, sur velotaf et mon vélo de « voyage » j’ai des garde boues…globalement quand tu dois rouler longtemps quelques soient les conditions. Sur mon VTT, inutile, tu reviens minable de toute manière,…

2 domaines où ils se justifient complètement. Il en existe de très beaux et très légers :

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Depuis les origines du VTT, il n’y a jamais eut de garde boue sur les VTT. C’est normal et logique, parce qu’un garde boue va collecter la boue et rapidement empêcher de rouler en conditions difficiles.
Pas plus sur les vélos route (course), pas plus sur les cyclo-cross.
Le Gravel, s’il sert réellement à aller sur la terre, c’est logique qu’il n’ait pas de garde-boues.

Il n’y a eut des gardes boues que sur les vélos « de ville » (y compris ceux appeler VTC) où le fait de ne pas se salir, de ne pas se mouiller, est un point important.

J’ai monté des garde-boues sur mon vélo-taf (vélo-taf sur base VTT). Sur le vélo voyage, ça va dépendre du voyage et du vélo.

Tout dépend de la discipline en vtt!
En enduro/DH c’est courant un garde boue à l’avant et même en coupe du monde.

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Ok merci de l’information.

J’ai un garde boue à l’avant ce qui évite de salir les plongeurs de la fourche. Mais rien à l’arrière.
Il est vrai qu’en vtt il n’y a qu’un petit garde boue devant et quasi jamais à l’arrière.

À l’avant en vtt ça se justifie pour éviter d’avoir la boue qui arrive dans les yeux (ou les lunettes).
à l’arrière y’a pas vraiment d’intérêt.

Le soucis est qu’en cas de boue collante avec des garde boue classiques ça bourre et bloque la roue. En vtt on essaie au contraire de garder un bon dégagement autour de la roue pour pas bloquer.

Voilà, les garde-boue classiques n’ont jamais été de mise en VTT, même au tout début. Vouloir protéger sa transmission des projections, c’est un peu comme pisser dans un violon.
Avec la grande vague du bikepacking, les sacoches font office de GB
Quand on doit démonter son vélo pour le transporter (Train, avion), on apprécie de n’avoir ni GB ni porte bagages, (et accessoirement une transmission cirée…). La tendance est au minimalisme. Le vélo de l’aventurier/baroudeur est devenu un vélo épuré. Ainsi vont les modes …

Si, ça évite que les projections ( flotte et boue liquide surtout ) se concentre au mauvais endroit…!
Un simple garde-boue souple et un peu large fixé à la selle c’est très loin d’être parfait (comme un vrai garde-boue de vélo de ville) mais ça limite les dégâts.
Garde-boue avant indispensable pour limiter les projections sur le visage.
Le mieux c’est de rouler quand il fait sec !

en vtt tu t’en fiches un peu. Quand c’est boueux t’es boueux de toute façon à la fin de la sortie. Que tu le sois un peu plus ou un peu moins c’est pas important.

En vélotaf c’est déjà plus important, mais de toute façon quand il pleut mieux vaut un pantalon étanche (ou se changer à l’arrivée).

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En ce qui me concerne, ne pas avoir le cul trempé est un élément de confort auquel je prête attention…
Un pare-boue derrière la selle ne coute pas grand chose et ne pèse rien.
Après, tout dépend du type de sortie : pour du court technique ou tu est souvent derrière la selle, je fais sans, mais pour du long roulant je met le garde-boue.