Depuis que j’utilise une cire spéciale (Squirt ou autres) pour lubrifier chaîne, cassette et plateau(x), je suis le plus heureux des cyclistes. Mais pourquoi n’ai-je pas connu ce truc plus tôt ? 
Terminé les mains pleines de cambouis quand je crève de l’arrière, les sièges de ma bagnole tachés, les bruits agaçants au pédalage YES !
C’est comme le tubeless : essayer, c’est adopter.
Hop, un p’tit tuto okazou (mais tout le monde connaît je suppose …)
Je plussoie pour le Squirt.
Par contre le plus chiant c’est la transition. Tout démonter pour nettoyer l’ancien lubrifiant à fond c’est plus que pénible…
Déjà fait sur le VTT mais faut que je me motive pour le route…
oui c’est le plus chiant. Avec de la patience, on arrive à dégraisser sans démonter, mais c’est galère. Le mieux c’est de partir sur une transmission neuve, beaucoup plus facile à nettoyer. C’est ce que j’ai fait
Avec un décapant/dégraissant pour transmission et un système de brosse spécial chaine ça se nettoie super bien et super vite. Juste nettoyer pignons, plateau et galets à la brosse en trempant dans le nettoyant.
J’utilise ça pour mon tout suspendu et c’est le top : https://www.probikeshop.fr/park-tool-nettoyeur-de-chaine-cm-5-2/91387.html
Il ne faut pas s’étonner que le matériel ne dure pas et que le vélo n’avance pas.
Une transmission se nettoie régulièrement. C’est le b.a. BA de l’entretien d’un vélo.
C’est trop fatiguant et trop salissant de nettoyer donc on jette et on en change. Ah oui quand même. C’est beau notre société d’opulence.
On peut faire le plus gros du nettoyage sans démonter : brosses et liquide dégraissant. Il faut juste attacher et tenir le vélo en hauteur et mettre le tapis qui va bien dessous. Mais, il est tout de même préférable de temps en temps de démonter la chaine, démonter la cassette et de nettoyer les pièces séparément. Les plus perfectionnistes finissent le nettoyage dans un bain à ultrason (Lidl en fait à qlqs dizaines d’euros).
La cire en phase aqueuse, c’est bien. Sauf que cela ne tient pas longtemps sous l’eau, voir même ça ne tient pas longtemps même sans pluie. Pour utiliser judicieusement la cire, il ne faut pas être un faignant car pour remettre de la cire (et il faut en remettre souvent) il va falloir nettoyer & sécher sa transmission après chaque sortie.
Ai-je dit que c’était fatigant ? Juste chiant . Un problème avec ça ?
J’ai changé ma transmission aussi parce qu’il était temps de le faire. Eh oui, une pièce d’usure, ça se change.
Ce forum VTT est un forum sur …le VTT, pas sur la morale et la bonne conscience. On n’est pas au bistrot
Bonne journée
pas pour moi. J’aime pas du tout.
Mais sinon oui, beaucoup de monde utilise et semble satisfait.
Y’a plein de cires qui existent, pas forcé de prendre le squirt.
Effectivement, y’a plein de marques, dont certaines ont leur spécificité. Il paraît que la D4 n’est pas terrible, mais je n’ai pas essayé. J’utilise la Squirt, et j’en suis satisfait. J’en rajoute sur un tour de chaîne tous les 2-300 km. Je pense qu’on s’y retrouve question finances, parce qu’une transmission cirée dure plus longtemps qu’une transmission graissée.
Je comprends, j’ai mis un peu de temps. En voyage et sur route, je continue d’utiliser les pneus à chambre, mais en VTT et gravel, c’est un vrai plus question confort et accroche
Non, le tubeless j’utilise depuis 20 ans, c’est le top.
Je voulais dire le squirt (ou les cires en général) j’aime pas du tout.
Ah ! ça m’intéresse d’avoir l’avis d’un détracteur. Que reproches-tu ? (la cire a aussi ses inconvénients, j’en ai conscience)
bah, tout est sur le topic VV.
Mais en gros: nettoyer complètement la transmission c’est chiant. Le squirt est de la cire dispersée dans de l’eau donc il faut attendre que l’eau s’évapore pour que ça fonctionne (en gros tu peux pas en mettre et aller rouler comme de l’huile).
Du coup pour en remettre en cours de route ça fonctionne pas.
C’est pas top sur transmission sale (faut nettoyer) sinon ça fait des sortes de boulettes. Et ça a tendance à faire des boulettes quand tu en rajoutes beaucoup (donc aussi nettoyer). Et enfin, je trouve ça moins efficace que l’huile (de bonne qualité) pour la durée de vie de la transmission.
En fait pour moi le seul avantage du squirt, c’est que ça fait peu de cambouis. Mais en huilant correctement et séchant bien la chaîne après huilage (avec un chiffon) le cambouis est limité aussi.
Suite au dernier changement de chaine sur mon route, j’en ai profité pour essayer la cire (squirt également) sur le conseil de mon vélociste. Plutôt satisfait. Le nettoyage, c’est un coup de chiffon pour enlever l’excès de vieille cire (les boulettes) et on remet une couche. Effectivement faut pas le faire juste au moment d’aller rouler mais lors du coup de chiffon global au retour de sortie.
Il ne faut pas s’etonner que les gens t’ignorent, quand avant de comprendre ce qu’écrivent tes interlocuteurs tu les prends pour des idiots (et des pimpims, mais ça me va je suis un heureux pimpim).
Si tu avais eu à faire la transition d’un vélo en huile classique à un vélo en squirt lub tu aurais compris que je parlais du nettoyage intégral et bien plus poussé que le nettoyage classique d’une transmission dans la continuité de son entretien « normal »…
Question bête: tu roules plutôt dans des terrains « boueux/humides »? Parce que j’ai l’impression que c’est là dessus que se fait beaucoup la différence d’appréciation (par rapport à nos terrains plutôt poussiéreux/caillouteux du sud)
j’habite au pied du Jura 
Si j’ai parlé de démonter les pièces, et de les finir dans un bac à ultrason, c’était bien pour évoquer un vrai nettoyage ! Pas besoin de passer à la cire pour réaliser correctement l’entretien de sa transmission.
On ne peut pas nettoyer correctement une cassette sans la démonter. Je démonte également la chaîne pour la contrôler, et finir de la nettoyer ds le bac à ultrason.
Comme tu l’as rappelé, les « dire » d’experts du clavier, je préfère en sourire qu’en pleurer.
Pour la cire, il n’y a rien de nouveau sous les cocotiers. C’est généralement un produit en phase aqueuse. C’est marqué dessus. Qui dit phase aqueuse, dit solubilité à l’eau. Qui dit solubilité à l’eau, dit n’aime pas la pluie J’imagine que c’est indiqué dans les notices techniques que cela ne le fait que moyen avec pluie. Il faut donc les lire. Sinon, Google donne l’information en qlqs clics.
Compte tenu des spécificités des lubrifiants, le « bon » lubrifiant dépendra donc de sa pratique. On ne mettra pas la même chose pour traverser l’Islande que pour faire des sorties à la journée sur goudron en zone sèche.
Mon expérience de la cire ressemble à celle de « Pointe_Puiseux ».
J’ai essayé (cire peut-être pas top : D4) … assez conquis dans un premier temps :
Du coup, après essai : retour à une bonne huile fine avec un peu de Téflon.
Si l’on sait s’y prendre : surtout n’en mettre pas trop, TRES bien essuyer l’excédent au chiffon, il me semble que la production de cambouis est vraiment minime et contrôlée, que la chaîne reste lubrifiée quelle que soient l’ambiance ou les conditions météo, et que c’est durable au point de pouvoir enchaîner 2/3/4 sortie, sans remise à zéro.
Essayer ailleurs voir si c’est mieux, être conquis dans un premier temps, revenir à ses premières amours …
…
… …
Euhhhh …
Non, rien.
Merci pour ton retour. Alors, la cire D4, ce n’est franchement pas le top. Je n’ai pas testé, mais j’ai vu et entendu plusieurs témoignages négatifs.
Personnellement, j’utilise le Squirt, et j’en suis vraiment content. J’ai opté pour la version hiver, qui résiste mieux aux mauvaises conditions (pluie). Même après plusieurs heures très humides, elle conserve une certaine efficacité. Je n’ai pas d’action chez eux, je précise …
Mais c’est sûr que c’est plus efficace en régions sèches , typiquement les itinéraires VTT et gravel du sud, où la poussière encrasse les transmissions huilées.
On utilise aussi de la cire Squirt et on en est assez contents, pour des VTT plutôt en enduro. L’an denier a plutôt été une saison sèche.
Comme c’est monsieur qui gère l’achat les produits, j’ai cherché « squirt » dans mon moteur de recherche (qui n’est pas Gogol), et j’avoue que j’ai découvert un truc. J’ai dû aller dans les images pour voir que c’était bien le petit flacon blanc avec l’étiquette bleue.
