Posté en tant qu’invité par Charmoz-Grépon:
Oh mon salaud!!
On avait dit bière!! Et je ne désepére pas de trouver cette fameuse cotation noir sur blanc :-))
Posté en tant qu’invité par Charmoz-Grépon:
Oh mon salaud!!
On avait dit bière!! Et je ne désepére pas de trouver cette fameuse cotation noir sur blanc :-))
Posté en tant qu’invité par bloli:
Réussir le passage à vue est un bel exploit car il faut comprendre une fois en haut
que la sortie se fait sur le flanc gauche. il ne faut pas mollir car le dernier mouv est
assez athlétique et il est « sans retour ».
Avec le renseignement et un crash, la cotation V semble bonne.
L’histoire du IV de jadis est discutable car il est dit aussi que ce fut le 1er V de Bleau
le 1er IV étant la Prestat.
Quant au passage en renfougne, je ne connais personne l’ayant réussi.
A ce titre, la fissure Wherlin, 1er III de Bleau, au Rempart, n’est pas évidente
du tout. Je l’ai tenté en chaussures de rando, mais cela glissait trop.
Les tricounis de jadis ont poli le roc et le lichen et la terre complètent le tout pour
rendre le bloc assez problématique. A faire en chaussons et en vêtements ne craignant
pas d’être bien salis.
Posté en tant qu’invité par Charmoz-Grépon:
J’ai vite compris que ça sortait à gauche!! pas moyen de faire vautrement, je veux dire autrement…
Bien d’accord sur le dernier mouv’ sans retour…D’où bagarre, non pour réussir à vue (ce que je voulais absolument) mais pour ne pas abimer les racines en dessous…
Je n’avais pas de crash-pad…
A propos de fissures, si qqn a fait l’Équerre (Franchard) à vue sans crash,j’aimerais qu’il me donne sa cotation…
Posté en tant qu’invité par bloli:
Bravo Philippe pour ce brillant exposé !
A signaler aussi :
Franchard Isatis :
les deux oranges qui se jouxtent ; commencer par celui de gauche,
chemin des Gorges de Franchard, dont le n°1 est un peu difficile à trouver et poursuivre par celui de droite côté Haute Plaine ; cela fait pas loin de 90 numéros que l’on peut compléter , « tête bêche », par le jaune PD+ qui part à la fin du Orange de droite. Cela ajoute 23 numéros pas tous si faciles avec pas mal d’intermédiaires.
Apremont :
L’orange du parking Apremont Ouest est un bel ensemble assez exigeant ; c’est celui
dont le numéro 2 se trouve sur un haut bloc avec une chaîne pour descendre. Dommage que la réfection de 2002 n’ait pas été complète.
A explorer et « domestiquer » avant de le refaire en enchaînement.
Au parking des Gorges (là où se trouvent le plus gd nb de circuits) on peut enchaîner les 22 premiers numéros du jaune et rejoindre le vert (30 mètres au dessus un peu à gauche) qui se pratique bien malgré la patine, car très vite très sec.
Il y aurait aussi (projet perso) une grande journée de simulation longue course consistant à faire :
Petit enchaînement malgré tout intéressant car facile d’accès et tranquille :
Mont Ussy : Jaune + Orange
PS : déterminer l’équivalence en hauteur d’escalade n’est pas évident :
la désescalade, quasi absente en montagne - ou alors très facile - est parfois exigeante à Bleau et donc ne saurait être négligée dans le calcul du « mètrage »
les intermédiaires, dont le nb et la continuité sont très variables selon les circuits.
Exemple : le Rocher de la Reine est riche en intermédiaires ce qui en fait un circuit nettement plus long que ses 59 (c’est bien ça ?) numéros.
Ainsi, il est par exemple très difficile de calculer la hauteur réelle effectuée sur le circuit montagne de Franchard ; à moins de faire le circuit uniquement dans cette optique, ce qui demanderait pas mal de temps…mais pourquoi pas, si des volontaires acceptaient de se partager le travail.
Posté en tant qu’invité par bloli:
Petite nuance au sujet de la marche : il y en a certes pas mal, mais jamais plus de vingt trente mètres et le plus souvent quelques mètres séparent les blocs.
Autre nuance : deux, trois passages à mon avis et dans un sens (en partant à droite par le chemin qui part perpendiculaire au parking ; sens le plus difficile donc) sont des petits III ; on le sent quand on est en baskets.
Personnellement, j’ai une paire spéciale Circuit Montagne : des vieilles chaussure de rando, serrées, souples et dont la semelle est quasi lisse. Je prends (par temps chaud)
deux litres d’eau dans une banane et je continue à marcher quand je bois ou mange.
Un bon truc est de le faire à deux en alternant la tête toutes les 10 mn par exemple.
Autre info : la couleur est variable : jaune, orange et rouge, ce qui - au niveau du vieux circuit Pascal Meyer peut prêter à confusion -
Dernier tuyau : pour faire un « temps », l’entreprendre en deux ou trois séances d’une portion bien identifiable à chaque fois ; et noter les temps effectués.
Ainsi, le grand jour venu,
A vos chronos !
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par bloli:
Elle est côtée 4, mais vue la patine, telle quelle, je pense qu’elle vaut un bon 4+ expo.
Si cela t’intéresse, j’ai créé un diplôme de parfait dülferiste accordé à tout grimpeur ayant effectué l’Equerre dans les règles de l’escalade en dülfer.
Je peux t’envoyer le diplôme, qui comporte une illustration rétro, si tu me donnes ton email. Mais pour le valider il faudra qu’on se retrouve sur le terrain…
Personnellement, je n’ai jamais osé me redresser sous le surplomb avant qu’un ami ne me coache en m’indiquant la prise de sortie. Sans savoir qu’elle existe, la cotation grimperait.
Mais c’est un des problèmes qui rend insoluble une cotation vraiment objective et cohérente à Bleau. L’on ignore en effet si les cotations indiquées relèvent d’une escalade à vue ou après renseignement ou travail. Dans de nombreux cas, avoir grimpé ne serait-ce qu’une fois le bloc, le rend nettement plus facile après.
Dans d’autres cas, prenons l’exemple de la Marie Rose ou de la Science Friction, même déjà grimpé, le bloc conserve sa difficulté.
Pour toutes ces raisons, il faut se garder d’un absolutisme sur les cotations et considérer avant tout l’échelle de difficulté par rapport à soi-même.
L’on peut avoir plus de plaisir et de fierté à réussir un bloc moins côté que le plus difficile de tous ceux déjà grimpés par soi. Personnellement, mes blocs qui m’ont donné le plus de fil à retordre ne sont pas les plus diffciles -selon la cotation officielle - que j’ai pu grimper.
Tout cela étant dit, il reste que l’Equerre est un « must » de la forêt.
Parmi les belles choses de ce niveau, il y a l’angle sud-ouest de la Calanquaise à la DJ
(vers le n° 42 du Mauve) une traversée sur un bombé en adhérence, avec chute absolument interdite et non parable (cotation IV- d’origine, IV/IV+ actuelle) ou la magnifique ligne à gauche de l’arête de Larchant, dont le nom serait la fissure aux roses, sous toutes réserves, que j’appelle pour ma part le mur aux pitons : 15 m, un échantillon de falaise, mur dalle avec un mouvement clé à 7/8 m de haut, puis une sortie dans une sorte de dièdre surplombant à bonnes prises ( IV). Je précise que je l’ai fait sans corde ni parade, ni crash (à cette hauteur de toutes façons…) mais après l’avoir déjà grimpé avec corde lors d’une précédente séance.
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par seb:
salut !
j’aimerai bien faire un circuit « montagne » à Bleau, ( par exemple le mauve à la dame jouanne ou autre)…le problème c’est que je connais pas l’enchainement, donc seul avec le nez dans le topo c’est dur de reconnaitre l’itinéraire et j’avou que seul j’ai la flemme de passer du temps à chercher les blocs, donc si quelqu’un connaissant ce genre de circuit est intéréssé à se faire ça à deux…je suis completement ok ! ( coté niveau, je navigue dans le bleu/rouge ça suffit j’espère!)
je suis dispo en semaine et le week end en février…ecrivez moi corema76@hotmail.com
seb
Posté en tant qu’invité par Philippe:
Si tu veux enchainer des circuits montagne, nous sommes un petit groupe… Voir posts plus haut…
Mais le Mauve est rarement en conditions en hiver (lichen humide, sable « désquamé »…) Et il faut savoir que le grès de ce secteur est fragile quand il a été gorgé d’eau. Et une prise qui casse sur le Mauve, Brrrr…
Donc attendre une période séche
Posté en tant qu’invité par seb:
oui, c’est sur que j’avais pas penser que les prises pouvaient casser et avec la hauteur vaut mieux faire attention…et je voudrais savoir, vous faite ça en chaussons ou en basket ?
Posté en tant qu’invité par Pierrre:
Quand on sera grands et forts, on le fera en basket !
Posté en tant qu’invité par bloli:
En baskets, c’est un peu vulgaire pour un circuit (une « piste », auraient dit les anciens),
de cette noblesse. En Weston, à la limite…qu’en pense Charmoz Grepon ?
Plus sérieusement, savoir que le bloc majeur, assez facile à trouver depuis le Chalet Jobert (monter en écharpe sur la droite) , nommé précisément la DJ, sèche vite sur son flanc sud, là où se trouve l’un des passages les plus aériens (15 m), l’arête de Larchant (n°52).
En principe, interdit, donc plutôt à faire discrètement et pour éviter une possible grosse
frayeur au 1er pas clé (on a déjà les pieds à environ 5 m), commencer par le faire assuré (il y a un gros piton en contrebas du sommet, qu’on peut coupler par un sanglage ou contreassurer par une grosse lunule 4/5 m sous le piton.
Avec les différentes variantes possibles, il y a moyen de faire une bonne petite séance
de moul. (enchaîner par exemple l’arête, 3 ou 4 fois de suite, cela fait une longueur
de falaise).
Et Charmoz Grepon ne me contredira pas : en hiver, préférable d’aller voir du côté du Maunory, plus vite en conditions et donc moins banzai (j’ai déjà valsé avec un bout de prise resté dans les doigts, cela fait tout drôle).
Quant au niveau requis, mieux vaut être humble. Car il s’agit d’autre chose que de technique pure. Ne pas brûler les étapes : le jaune est un bon moyen de se familiariser avec l’exposition, puis l’orange et enfin le Mauve.
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Charmoz-Grépon:
Déjà essayé en basketts (jusqu’au 50 à peu près) Mais il s’agissait de Nike avec lesquelles je grimpais très bien; je me fais peur avec celles que j’ai maintenant!
Donc, soyons normands, ça dépend… du vent…
j’ai vu un type qui s’entrainait pour l’aspi au pas de course sur le jaune avec 10kgs sur le dos…et en grosses!!
Sérieusement, des chaussons confort sont préférables;
PS: les Westons CIRÉES sont bien sûr indispensables pour dîner au Chalet Jobert…
:-))
Posté en tant qu’invité par Inge:
Bonjour
excusez mon francais. Je suis étudiante suédoise et avec miennes amies nous voulons faire la varappe à Fontainebleau. Qui peut montrer a nous bons spots ?
Merci
Takk So Mukke !
Posté en tant qu’invité par bloli:
Demandez donc au jeune Pierre ou PA, il sera fera un plaisir de vous guider sur le terrain.
A moins que ce message ne vienne précisément de Pierre, qui chercherait à tenter
Philippe ? Il faudra mettre une perruque et te raser de près pour n’être pas reconnu…
Personnellement, étant blessé, je ne peux grimper, mais il peut m’arriver de « coacher »
ma femme. Nous sommes toujours ouverts pour faire connaître la forêt aux nouveaux venus. Il suffit de laisser une adresse email.
Posté en tant qu’invité par Pierrre:
Damned, me voila démasqué ! La ficelle était un peu grosse, le proxy un peu visible…
Je ferai mieux la prochaine fois.
A propos de M. Gr., son ascendance corse semble avoir une fois de plus pris le pas sur ses velléités bleausardes ! Pas de signe de vie : il dort encore ?
PS à l’attention d’Olivier : aurais-tu un tamponnoir ? Tu peux me contacter par mail. Merci !
Posté en tant qu’invité par c30s:
ben tu te rappelles pas,j’t’avais montré…
Posté en tant qu’invité par c30s:
—>(Quant au passage en renfougne, je ne connais personne l’ayant réussi. )
c’était un peu humide ce jour là,il est vrai…
Posté en tant qu’invité par c30s:
hum…la dernière fois que j’au vu Olivier se servir d’un tamponnoir le tamponnoir il était…hum,un peu cassé quoi…on pouvait plus le dévisser
il a fallut le ramener au magasin
Posté en tant qu’invité par bloli:
Qui ? le tamponnoir ou Olivier ? Cela m’est arrivé une paire de fois de coincer mon tamponnoir mais vu que je l’ai toujours, je suppose que j’ai réussi à le dévisser.
Qui se cache donc sous ce pseudo parmi les quelques grimpeurs à qui j’ai réussi à faire au moins passer quelques heures à donner du marteau ?
Posté en tant qu’invité par c30s:
bloli a écrit:
Qui se cache donc sous ce pseudo parmi les quelques grimpeurs à
qui j’ai réussi à faire au moins passer quelques heures à
donner du marteau ?
hum…c’est plutot moi qui aurait cherché à modérer ta frénésie de perforation du tendre gres bellifontain…
[%sig%]