Chauvinisme peu inclusif ?
Y’a surtout de plus en plus de Néocons et de plus en plus jeunes …
Faut s’adapter à cette époque Lulu
Il faut bien que du sang neuf arrive : tu, je, ne pourrons pas tenir Ă©ternellement le rĂ´le.
Bah, l’article le montre bien, le snobisme des élites cooptatives et autoproclamées n’a rien de nouveau… Il vient même rendre visite au forum de temps en temps (*)…
(nous c’est différent : on est des vieux cons assumés, c’est beaucoup plus simple)
(*) Toute référence à des personnages ou des événements ayant réellement existé, se situant ou non dans l’excellence en alpinisme ne serait que fortuite.
Sans parler de la re-conquête du terrain par le primo-arrivant de l’équipe d’origine néo-Zelandaise sur-motivé !
Une courte chronique linguistique de L. Véron ( hélas supprimée) sur les préfixes à toute les sauces !
https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-langue-de-laelia-veron/la-chronique-langue-de-laelia-veron-du-mercredi-11-mai-2022 via @radiofrance
Il y a quand même un coté un peu fourre tout dans cet article qui ne décide même pas s’il souhaite parler complètement des gens qui pour diverses raisons pratiques se sont tournés vers les activités extérieures à partir de la période Covid ou s’il parle seulement de cas qu’on voit depuis longtemps dans les structures d’encadrement et pour lesquels les réactions ne sont ni du même type ni de même cause.
Ainsi, Fiona, 29 ans et engagée en montagne depuis près de 10 ans, établit plusieurs profils types de néopratiquant, dont « le néopratiquant Les Others : sans formation particulière, en quête de micro-aventure et de hype » , à ne pas confondre avec « le néopratiquant cafiste : qui se forme, sérieux ».
Sans reprendre mots pour mots les termes je vois de quoi elle parle mais ce n’est pas une nouveauté Covid (et je n’ai pas l’impression qu’elle ait été accentuée par ce passage).
On sait tout ça depuis longtemps. L’article enfonce un peu des portes ouvertes.
Je suis d’accord avec toi. Je pense qu’il aurait été intéressant de comparer le traitement des « néopratiquants » par une certaine élite et d’autres stéréotypes du milieu. Par exemple, que les groupes de cafistes sont les plus désagréables pour certains gardiens de refuge, que le trailer est un imbécile qui ne sait pas profiter des paysages, que suivre à la trace un GR renommé c’est d’un fade mérpisable, … Il y a clairement des liens entre ces préjugés, à partir desquels on peut distinguer différents groupes au sein de la comunauté.
Il semble que la haine des néopratiquants touche aussi l’indoor urbain. Le panneau d’Arkose à Marseille a été tagué avec la mention « Mort à la grimpe business ». Une bonne dose d’intolérance violente et déplacée,
Comme ici ?
Ou ici
Bref rien de neuf sous le soleil des mœurs et comportements des groupes de communautés humaines quelque soit l’époque et le domaine d’activité.
Chacun cherche sa place au soleil à ses risques et périls car tenter de se faire accepter dans un cénacle est aussi difficile et long que d’en sortir . Il y a des codes à comprendre, à imiter et respecter.
Il y a certaines activités et pratiques qui sont valorisés pour certains parce que rare .
Le fait qu’elles se « « popularisent » et se «démocratisent » dévalorise leurs pratiques et donne lieu, pour des motifs variés, à des débats et réactions diverses qui vont de l’acceptation au rejet de ce que vehicule les multitudes de nouveaux (néo) pratiquants.
Le sujet sur l’évolution de la fréquentation depuis une décennie du Mont aiguille en est un exemple.
Dans tout les commencements réside une force magique qui nous protège et nous aide à vivre
Hermann Hesse.
Quel rapport avec les néopratiquants ? (D’ailleurs si on s’en tient à l’étymologie du néologisme, on a tous été des néopratiquants).
Il s’agit ici du respect des lois et règlements. Ne mélangeons pas tout.
Déjà que le chauvinisme est tout sauf inclusif et à lire le chapeau de l’article, le néopratiquant est d’abord un néophyte… tout est dit, mais en quoi serait-ce de la haine ?
Chauvinisme : pourquoi pas corporatisme, créé par certains qui se sont inventé un statut dans une société élitiste et que la plupart couvent des yeux en recherche de reconnaissance sociale dans une communauté ?
Comme sur les forums où l’on peut noter une hiérarchisation de la parole et de l’arrogance : du pro qui toise du sommet, en passant pas l’instructeur, le bénévole, le marchand d’abaques et de tableaux, le pratiquant « averti »… et enfin le candide « néologué » qui aspire à être adoubé au sein du cercle.
Jus de citron ce matin !
C’est une particularité plutôt générale, si je puis dire, et pas spécifique à la montagne, ni au sport.
D’autre part, qu’est-ce que le chauvinisme « inclusif » ?
Chauvinisme, je vois bien, mais inclusif ?
Un tic de langage ? Un mot Ă la mode ?
Il suffit de lire les commentaires.
L’article mentionne la crise COVID. Est ce qu’on a des données objectives sur une augmentation de la pratique des activités de montagne dues à la crise? (ok on n’aura jamais une preuve de causalité, mais est ce qu’on a au moins une ‹ cassure › dans la courbe de la fréquentation au moment du COVID?)
l’article donne un lien vers une étude
un des résultats est:
Je n’ai pas de chiffres officiels. Mais quand je fais un tour du Mont Blanc avec 7 à 8 personnes je réserve les refuges en février et je n’ai aucun problème. Cette année (bonne intuition) je l’ai fait en décembre et beaucoup de refuges étaient déjà pleins. Ça ne m’était jamais arrivé en 20 ans.
Si vous pouviez développer, donner des exemples, afin que tout un chacun puisse faire la relation avec des commentaires. Merci
J’ai déjà dit ce que j’avais à dire sur sujet dans un message précédent .
Et tu as la gâchette à SAMFD un peu trop sensible pour que je donne suite à ta demande.
A bon entendeur.
PS SAMFD Signalement à modérateur fatigué et débordé
(ce n’est pas Robertin qui fait les signalements)