C2C interpellé par les équipeurs

Je faisais de l’autodérision :wink:
Et désolé de m’être trompé de destinataire :slight_smile:

@pulse : pour ce site, j’ai eu l’info d’un des ouvreurs/équipeurs : « ils » l’ont abandonné pour ne pas gêner les ventes du topo ; d’où le peu d’infos :wink:

Donc en fait, TOUT LE MONDE dit qu’il y a un problème. …mais il faut quand même le prouver. …

Je ne crois que ce que je vois disait St Thomas. Encore faut-il ouvrir les yeux…

1 Like

Bien sûr, toute affirmation le devrait, ou au moins être prouvable.
Et ce n’est pas « tout le monde », il y a des contre-exemples cités plus haut parmi les 2800 message

Non non, les ouvreurs n’ont pas compris. Leur appel est faux. Ce n’est pas une histoire de fric, ils n’ont pas bien compris (cf. les messages plus haut).

Merde à la fin, un peu d’honnêteté ne ferait pas de mal. Le problème est clairement le fric. Je ne juge pas ceux qui ont ce problème, puisque j’ai le même, mais il faut arrêter avec l’hypocrisie. C’est visiblement ça (comme d’habitude) le nerf de la guerre. En tout cas c’est ce qui ressort de cet appel.

Si le problème est l’argent, il n’y a que trois solutions :

  1. Sur chaque « fiche » de couenne c2c appelle les grimpeurs à acheter les topos locaux, comme ce qui a été fait en exemple pour je ne sais plus quelle voie.
  2. Les équipeurs arrêtent d’équiper.
  3. C2C arrête de traiter de grimpe… mais ça semble mal parti pour leur faire avaler la pilule.

Tout le reste est du blabla.

Ou alors, il faut que les ouvreurs intentent une action en justice contre C2C, mais je crains qu’ils n’aient aucune chance. Ou alors qu’ils inventent une autre solution pour emmerder C2C, mais attention à le faire dans les limites de la légalité, parce que l’équipement sauvage, par exemple, est quelque chose de légalement condamnable… et faut pas croire que tout le monde va fermer les yeux indéfiniment.

Merci pour cet article très intéressant.

La racine du problème est de manière manifeste, le fait que l’escalade en site sportif, (tout comme l’alpinisme, le "terrain d’aventure) devrait se pratiquer sous sa propre responsabilité et ne pas impliquer celle du propriétaire du terrain.

Sache pour ta gouverne que ce dernier point a fait l’objet de précision de la part du collectif :
https://forum.camptocamp.org/t/c2c-interpelle-par-les-equipeurs/199458/1965?u=mister_orange

Ce qui signifie que le collectif ne remet pas en question la description des sorties en grande voie ou encore l’éventuelle création de nouveaux itinéraires si besoin est. Il s’agit simplement d’éviter de retrouver des schémas du type qu’on peut rencontrer pour Presles.

2 Likes

ça plane tellement que l’association Greenspits est signataire de l’appel ainsi que bon nombre de leurs membres …

3 Likes

Ils auraient répondu oui mais bon, ça aurait été kif kif

Dans la problématique des droits d’auteurs et d’internet. je pense que le problème se pose principalement sur la première édition du topo papier d’un site.
Normalement ( esprit montagne ? :slight_smile:), par respect du travail réalisé par l’ouvreur et aussi de la collectivité qui a financé l’opération ( on l’oublie trop souvent ici). il ne devrait pas y avoir de topo exhaustif rentré sur C2c le temps d’un laps de temps " raisonnable" à définir entre gentlemen. Laisser aux auteurs le plaisir de nous faire découvrir le site, les voies , le milieu et de valoriser leur travail.
Ensuite, c’est la loi du marché pour les topos papier et de l’internet pour l’échange communautaire d’information.
Soit le topo papier est bon, il se vendra bien et les rééditions seront attendues et se vendront très bien ; soit il est mauvais et un autre topo papier aura tôt fait de le remplacer.
Avec le temps, les infos finissent par circuler dans les milieux de la grimpe via les réseaux de grimpeurs ( les copains, les copains de copains…) comme cela à toujours été le cas ( photocopie, puis fichiers, blogs perso…) et finalement par compilation d’information un topo complet mais different et actualisé en continu se crée dans c2c. Cette info fait aussi une belle publicité du topo papier. Je ne comprends pas que des ouvreurs veuillent se priver de ce médias gratuit pour diffuser leurs oeuvres.
Pour les réédition ultérieures se pose souvent le problème que les ouvreurs et/ou équipeurs ne sont plus forcément les mêmes. On parle pas du tout ici des conflits parfois violent qui opposent différents ouvreurs sur les sites, menés chacun au nom du respect de la sacro sainte éthique, du " bon droit" à équiper, notamment les sites qui ont évolué au fil du développement de l’escalade vers une pratique sportive. par ex pour les vénérables " écoles d’escalade".
En fait, ce qui apparait clairement ici, c’est que le modèle de financement des voies et sites sportifs n’est plus en phase avec l’époque. Les grimpeurs de couennes consomment en masse de l’escalade perçue uniquement via le biais de la performance et du rendement ( faire des croix). A la course en avant de la perf répond l’inexorable Course en avant de l’équipement. Jusqu’a épuisement des sites… Une bulle spéculative est en train d’exploser.
A part un accès payant pour les rats des falaises ( on ne voit pas pourquoi ils contribueraient à un financement participatif), au pied des couennes en saison, je ne vois pas trop comment le financement des futurs équipements et surtout rééquipements, pourra être assuré en grimpe péri urbaine, notamment. ( les tentatives, en via ferrata souvent font long feu). Et qu’on arrête avec l’éthique et la morale pour la grimpe sportive. C’est un business que chacun ici, qui a pu s’occuper du financement des équipements ou rééquipements, a pu côtoyer ou finit par découvrir plus ou moins amèrement, quand lui, travaille et se démène bénévolement au sein des assos.

2 Likes

Tu parles de collectivités territoriales ?
Parce qu’elles au contraire souhaitent un retour sur investissement au profit de son territoire (ils dépensent pas pour faire plaisir à celui qui demande) et à tout intérêt à ce que le site soit fréquenté et pour cela il faut qu’il y ai un max de communication.

1 Like

Oui. Le topo est dans un premier temps (indicateur bilan première année) un indicateur direct de rentabilisation attendue de l’équipement. Par contre c’est évident que les CT attendent beaucoup plus en terme de retombées éco sur le commerce, les hébergements et les consommations associées et les emplois que cela pourrait pérenniser , maintenir ou créer.

Dsl, je saisi pas la première phrase. (Indicateur bilan première année )

un forum, parfois, c’est chiant pour pouvoir discuter sérieusement…:slight_smile:
je disais que les premières ventes ( et réassort dans les différents points de vente) sont un bon indicateur de l’attractivité du site et donc de la rentabilisation, éventuelle mais en tout cas attendue, de l’investissement

1 Like

@zianx
Tu es dans le juste.

Peut-être que les "ouvreurs " manquent d’ « ouverture » d’esprit! :wink:

Aujourd’hui tout le monde trouve normal d’utiliser mails et Facebook [gratuits] pour diffuser des infos et de ses nouvelles. A l’époque, peut-être que des pros courriers et pros cartes postales se fendaient contre internet car il déstabilisait leur équilibre.
On voit maintenant qui a le vent en poupe! Vaut mieux négocier le virage, que le subir.

Là visiblement tu m’as mal lu. Je ne défends pas mes petits spots secrets car étant secrets ils n’ont pas besoin d’être défendus de plus qui dit secret ne dit pas forcément interdits. Je trouve ton analyse à côté de la plaque totalement. Mais visiblement tu n’est pas le seul à ne pas vouloir entendre ce que je dis.

2 Likes

D’ailleurs encore merci à eux !

1 Like

Les comités territoriaux sont des annexes de la FFME au niveau départemental :CD84 CD38 CD13 etc … se sont eux qui gerent les falaises du département , 90/100 des bénéfices des topos retournent dans l’entretien et la maintenance des sites conventionnés ou pas .Couper se financement c’est mettre en péril la survie des sites d’escalade en France