l’idée n’est pas d’opposer 2 modes, mais bien de montrer qu’il y a des pistes pour que le financement proviennent de différentes sources.
Je trouve que pour financer l’équipement, des topos (bien faits) + l’adhesion à des clubs comme ECI, greespit, hotroc ou autre, c’est très bien et j’incite tout le monde à le faire.
C’est par contre plus limité pour l’entretien, le rééquipement, la pédagogie, la veille techno. Quand on a tous le topo de Presles, on va pas racheter le nouveau car 3 nouvelles voies ont été ouvertes… donc compter sur le topo de Presles pour rééquiper la falaise n’a pas de sens… On va pas demander non plus à un bénévole non spécialiste de faire un état de l’art sur les différents inox
C’est pour ça que je trouve qu’un organisme global genre ASCA manque chez nous. Ca permet de ratisser des fonds plus largement : ca permettrait à des gens, mais aussi à des marques, des salles de verser de l’argent (incité en plus par la niche fiscale) en toute transparence, à tout le monde d’avoir un interlocuteur unique (si j’ai envie de rééuiper une voie, je sais qui contacter), des pratiques uniformes (entre untel qui met tel inox, et un autre d’autres)