Si en vélo couché tu carbonises des cyclistes en vélo droit, c’est que tu es très fort et que tu les carboniserais encore plus si tu étais aussi en VD
En montée le VC est bien plus dur que le VD
Chapeau …
Certes je suis en trike, ce qui est encore pire, mais j’ai presque doublé mon temps pour le Ventoux …
Bivouac plus ou moins léger
Oui mais c’était juste pur l’approche jusqu’au refuge non?
Ca m’est arrivé aussi de porter des bières juste pour la première (courte mais raide) étape. Mais ensuite on s’en est passés
A puissance egale, ce qui compte c’est le poids total. C’est normal que face à toi même, tu sois plus lent avec un trike qui doit être 2 fois plus lourd que ton vélo droit.
Évidemment, contre des types entrainés qui développent plus de 350 watts sur des longues periodes et tout musclés, c’est compliqué d’être plus rapide. Mais avec des gens un peu enrobés et moins pratiquant, la physique fait son oeuvre et ça passe crême.
Le ventoux, ça sera pour ce printemps
La différence entre le velo et la rando semble relèver d’autre chose : la comparaison ne semble pas nécessaire en rando.
Perso, je ne vois pas l’intérêt de vouloir légitimer la recherche de gain de poids en rando alors qu’on la dénigrerait en velo.
Je suis sur qu’il y a sur randonner léger un topic qui parle de ce sujet fondamental (cf le gars qui pèse son masque anti covid).
peut-être même un sujet « le slip est-il vraiment nécessaire ? »
C’est une vraie question. Mais en cas de risque de patous même si ça change pas grand chose, psychologiquement c’est important.
Non absolument non ,rien sur le slip
Regrettable omission.
On peut quand-même trouver un certain nombre de topics idoines avec le mot clé « slip », dont celui-ci :
https://www.randonner-leger.org/forum/viewtopic.php?id=1729
extrait :
Testé le « no slip » pendant 9 jours, tour d’Annecy et des Aravis.
J’avais un pantalon de montagne, les rigolottes non-maintenues. Cela ne m’a pas posé problème. Au contraire, j’avais l’impression de moins étouffer, surtout lors des canicules. J’adopte désormais l’idée. Voilà de la lessive en moins.
Pas eu le temps de tester le « no chaussettes ».
Tout à fait.
Je constate que certains connaissent RL, ce qui ne semble pas être le cas de tout le monde, notamment chez ceux qui en parlent le mieux, magne2 en tête (et après, on viendra vous reprocher un certain…hum…ton comment ? « péremptoire » ? ).
autre extrait
Tu ne crois pas si bien dire Oscar, j’ai même cru voir écrit quelque part dans le forum que certain, sans slip, se scotchait les-dites-valseuses
Tu cite des liens sur cette pratique qui est plus que marginale…
Sinon cité un fil de discussion ,on va loin dans la caricature…c’est comme dire que C2C est un site anti vax
comme je l’ai dit, ce qui légitime l’un et pas l’autre, c’est où se situe le poids.
A vélo, il est sous les pieds, et en plus, ça roule. Une fois lancé, le poids n’a plus aucune importance sur l’effort. En montée, il n’est pénalisant que dans le cadre du poids total cycliste + vélo, donc un gain de 2kg pour un ensemble cycliste+vélo de 80kg, ça fait que 2,5% d’energie en plus à dépenser en côte (en négligeant donc la resistance de l’air et les frottements, sinon la part du poids diminue encore plus).
En rando, le poids est au pire sur le dos, au mieux au dessus des pieds. Il est donc ressentie par les pieds ou le dos à chaque pas. Fait 50 flexions/extensions avec une bouteille dans chaque mains, et la même chose sans charge. Je pense qu’il y a un cas où tu va sentir une grosse difference de fatigue. Le corps doit fournir de l’énergie en permanence pour éviter que ce kilo se retrouve par terre, alors qu’à vélo, quand on arrête de pédaler, le vélo ne s’effondre pas, il n’y a pas besoin d’energie pour qu’il tienne droit tout seul (bon, ok, avec une chite béquille).
On peut donc dire que, bah c’est un peu plus sportif. Sauf que la quantité d’energie n’est vraiment pas la même entre les deux sports, et que ce soit pour des problèmes physiques (mal de dos etc) ou de condition physique (combien j’ai de muscle, d’endurance etc), ça peut directement impacter les objectifs fixés ou le plaisir de l’activité. Evidemment, quand on est suffisement sportif pour porter des sacs de 50kg façon sherpa, 2kg, c’est peace and love, et on se retrouve dans des % d’energies supplémentaires dépensés faibles par rapport à la quantité totale dépensée. Mais pour des personnes normalement constituées, 2kg en rando, c’est un impact important.
après c’est un peu exponentiel. Il est « facile » et finalement assez peu couteux de gratter 2kg dans un sac sans dépenser des milliers d’euros ou se sacrifier. Après, faut attaquer les trucs ultralégers en matières très chers pour un confort limité. Genre faire le tour des écrins avec une bache et 200g de graines par jour et en courant parceque le type a suffisamment de gras/muscles à autolyser pour faire cet effort en déficit calorique permanent, et un mental suffisement solide pour dormir sur le dur et dans le vent enroulé dans une bache. Mais là on n’est plus dutout dans le même sport.
Sans remettre en cause, l’impact de la position du poids, je ne vois pas en quoi cela légitime ou non la recherche d’un gain de poids, d’autant plus qu’on pratique sur des terrains vallonnés. Ce n’est simplement pas la même activité.
Sur le vélo des cyclistes du dimanche que tu carbonises, tu irais plus vite et avec moins de fatigue qu’avec ta mule de vélo couché de 16kg.
C’est d’autant plus facile qu’on ne sait pas quel poids fait le sac initialement. S’il s’agit de dire que le gros kg que tu vas gagner entre un vélo moyenne gamme et un vélo haut de gamme ne va pas changer du tout au tout la performance (plus que le poids, c’est notamment la qualité des roues qui risque de jouer), ok, mais affirmer qu’entre un vélo à 16kg et un vélo à 8kg, le gain est négligeable, c’est nimp.
ben c’est là où c’est drole. Si mon vélo pesait 5kg de moins, et que je ne faisais que des parcours en cote sans descente, je n’irait même pas 5% plus vite, et j’aurai dépensé 5000 euros.
La recherche de poids en cyclisme route, amateur en particulier, c’est vraiment pour jouer à quikalaplusgrosses (enfin la plus légère).
Pour la rando, quand on gratte 2-3 kg, c’est significatif, ça reste la même activité (aller en haut de la montagne) et c’est faisable sans dépenser une fortune.
Et entre 8kg et 16kg, c’est pas n’imp, c’est des maths.
Parce que ça s’agissant de vélo, c’est faux ? Le gain de poids change l’activité ?
Gagner 5kg sur un vélo à 16kg pour 5000€ ? Euh ? Le truc, c’est que est ce qu’en comparant un vélo couché et un vélo droit, tu compares les mêmes choses ? Notamment en terme de prix.
Pour le vélo, ça mérite un gain chiffré 5% plus vite (d’ailleurs est vraiment négligeable un gain de 5% ?) et des prix avec un poids de départ et d’arrivée, alors que pour la rando, le delta de poids suffit et une quantification approximative : c’est significatif.