Bivouac au Mont-Aiguille pour les nuls

J’arrive un peut en retard sur le sujet, mais en tous cas c’est chaud.

Ils s’amusaient mieux il y à 65 ans !
"Le mardi 27 août 1957, il atterrit sur le mont Aiguille (2087 m). Le samedi 12 juillet 1958, il se pose au sommet du dôme du Goûter (4 304 m), battant ainsi le record de France d’atterrissage en altitude. Le vendredi 22 mars 1960, il atterrit sur le mont Aiguille enneigé.
:rofl: :muscle: :money_mouth_face:

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J’ai eu le privilège de côtoyer Henri Giraud qui pilotait encore à plus de 80 ans. Sacré bonhomme.

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Oui c’est pas le sujet mais ça fait du bien d’en parler
Sinon, je me pose la question : si tu bivouaques dans une voie ED+ du Mt Aiguille, est ce que tu risques un PV pour non respect des règles ?

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Il faut avant tout rester pragmatique, lucide et respectueux d’une logique spécifique à notre pratique.
Il n’est pas concevable de pénaliser une cordée qui aurait bivouaqué dans la voie ou même au sommet après une sortie tardive. L’argument de sécurité d’une cordée qui bivouaque pour éviter une descente nocturne avec la fatigue (et éventuellement sans frontale) est incontestable.
Par ailleurs, sur l’arrêté d’interdiction il est bien noté « prairie sommitale ».

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pour moi (et c’est peut être mon côté bisounours naïf) mais il y a l’arrêté pour éviter les organisations types « camping sauvage » qui montent dans l’après midi et redescendent le matin avec la gueule de bois
et les pratiquants respectueux de la montagne qui, nécessité ou itinérance, ont eux aussi un besoin de dormir

et puis qui va te verbaliser ? le PGHM j’imagine.
Pour le « fun » le coup de fil à 20h « on est sorti de la voie en retard, notre frontale est HS, venez nous chercher en hélico, on n’a pas envie d’avoir une amende » vaudrait son pesant d’or non ?

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Les gendarmes tout court ou les gardes de la Réserve, voire le garde champetre de chichilianne au pied de la voie le matin parce qu’ils ont vu les lumières et le feu de camp de pin à crochets la veille…