Que les gardes aient du mal à justifier des interdictions, c’est plutôt normal… vu que ce n’est pas leur taf. Après tout, ce n’est pas à la police de pondre lois, réglements et arrêtés.
Quant à qualifier ceci ou cela de « farfelues » « vent » « théories de bureau » : un peu de respect et de compréhension envers autrui ne fait jamais de mal, a fortiori pour les ardents défenseur de la nature qui sont bien conscients de la complexité (scientifique et juridique) des sujets environnementaux.
(Notons au passage que la législation française a fait le choix, du point de vue de la protection de l’environnement, d’une approche plutôt permissive ; et, pour la pratique de la randonnée ou du squat de propriété privée - n’en déplaise à ceux hurlant un peu facilement au « liberticide » dès qu’ils ne peuvent plus faire tout et n’importe quoi qui leur siérait - remarquablement permissive par rapport à nos voisins de tradition latine, anglo-saxonne, germanique ou scandinave).