Besoin de votre retour d'expérience, projet d'étudiants sur la prise de risque en montagne

#1

Bonjour,

Nous sommes trois étudiants en prévention des risques. Dans le cadre de nos études, nous cherchons à faire une étude sur la prise de risque liée à l’utilisation de nouvelles technologies en montagne. Nous nous concentrons dans cette étude sur les technologies pour la prévention du risque d’avalanche type air bag et applications. C’est pour cela que nous avons besoins de vos avis sur ces technologies.

Les réponses de cette étude sont confidentielles.
D’avance merci !

Lien du questionnaire de l’étude :

Censure et déplacement de digressions
#2

Pas de présentation de l’école, de la méthodologie, des objectifs du travail + faute de frappe à la première question : Nous avons des winners.

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#3

Je lis ça et je me dis que ça m’étonnerait beaucoup que j’aille au bout du questionnaire. De toute façon je n’arrive jamais au bout de ces questionnaires…

C’est nouveau l’AirBag ? Ca me semble être un truc installé depuis pas mal d’années déjà.

« Quelle est votre niveau de pratique de cette activité ? » Quand on a coché plusieurs activités et qu’on a des niveaux de pratique différents on fait quoi ?

Finalement si, j’ai été jusqu’au bout…

#4

Pour une étude sur la prise de risque, je pense qu’une techno est nouvelle tant qu’elle n’est pas encore répandue. C’est l’utilisation qui est nouvelle, pas la techno en elle-même.

#5

C’est nouveau parce que ce n’est pas très utilisé ? C’est surtout parce que ça doit plafonner non ? Du moins chez les randonneurs

#6

Sur la prise de risque, il me semble avoir lui qq part qu’elle était souvent constante pour un même individu.

Si ma voiture vibre de partout, je ralentis.
Si j’ai l’impression d’être ds une bulle de sécurité, je roule + vite - et du coup je prends des risques.
Pareil pour l’airbag : si je crois qu’il va me faire rester en surface, j’aurais tendance à aller chercher plus de belle peuf…

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#7

Ca ne me semble pas vrai. D’accord, il est probable qu’un sentiment d’augmentation de la sécurité pousse à augmenter la prise de risque mais probablement pas dans les mêmes proportions.

Exemple en escaladde : si je grimpe en solo intégral je vais jusqu’à une certaine prise de risque et une chute serait probablement fatale, si je suis assuré je vais pousser mes limites jusque la chute mais je ne crois pas que je vais prendre le risque d’avoir une chute fatale dans les mêmes proportions qu’en solo intégral.

C’est pareil pour ce qui concerne les avalanches, je n’ai pas l’impression que la systématisation du port de l’ARVA a été « compensée » par une prise de risque accrue sinon on aurait plus d’accidents.

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#8

La perception du risque varie énormément d’un individu à l’autre : Une fois j’ai fait une sortie avec un risque nivologique modéré, et le participant qui était celui qui conduisait était totalement flippé. Par contre sur le chemin du retours, il collait le véhicule le précédant à 2m le tout en roulant à 110km/h …

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#9

la question : « Utilisez-vous d’autres applications pour vos sorties en montagnes ? » mériterait une réponse à choix multiple…
Quand a la question sur une sortie avec un risque potentiel en hiver…

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#10

C’ets quoi cette question ? pas vue…

#11

Excellent ce questionnaire ! :joy:

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#12

« Vous est il arrivé de vous engager sur un itinéraire alors que vous saviez qu’il y avait potentiellement un risque ? » la case non c’est pour les gens qui ont seulement coché « ski de fond » je pense (ou pour voir le nombre d’inconscients en montagne ?)

Et pour les catégories socioprofessionnelles, il en manque quelques-unes quand même ! Ils ont choisi celles-ci sur quels critères ? Les autres n’ont pas le droit de pratiquer des sports d’hiver ?

Bon, au final il s’agit juste d’une étude de marché de Yéti.
Ou une belle démarche publicitaire : en sortant du questionnaire, tu te demandes pourquoi tu n’utilises pas cet outil révolutionnaire !

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#13

Bonjour,

Je tiens à vous remercier pour vos réponses. Nous sommes 3 étudiants de l’école Polytech Grenoble. Nous réalisons cette étude pour le projet « risques émergents ». Nous avons choisi ce sujet car il est possible que des nouvelles technologies crées pour limiter le risque mais peuvent malheureusement augmenter la prise de risques, comme des applications. Ces applications nous préviennent de différents risques, mais n’augmenteraient-ils pas aussi la prise de risques? Nous avons contacté l’ANENA et la Chamoniarde pour connaître leurs avis. Nous avons aussi voulu connaître le votre. Nous prenons notes de vos réponses et de vos commentaires.

Nous avons voulu aussi étudier l’airbag qui est un produit plus populaire pour déjà connaitre votre avis sur la prise de risque avec ce produit.

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#14

Pourtant je ne me le suis pas demandé…
Le questionnaire n’est pas parfait, mais la critique est toujours aisée. Ce qui serait bien, c’est qu’on ait droit à un retour ici sur les résultats !

#15

Ski de fond ou raquettes, il y a pas mal de trucs à faire à raquettes sans qu’il y ait potentiellement un risque (d’avalanche)

#16

tant que les ptit jeunes nous expliquent pas que « grace aux applications 3.0 et la 5G, on n a plus besoin de formation »… ce qui est malheureusement une tendance lourde dans pas mal de metiers…

#17

Il n’y a pas que les petits jeunes qui peuvent se laisser tenter par ça

#18

Je le trouve pas si mal fichu, leur questionnaire, quoiqu’en pensent les critiqueurs de service. En tout cas, j’ai répondu.

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#19

Bonjour,
Questionnaire complété. En espérant que ça aide :slight_smile:

Vrai/Pas vrai, je sais pas mais c’est ce qu’on nous a enseigné durant mes formations Neiges et Avalanches au CAF.

Lucas

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#20

Dans les informations recherchées pour préparer une sortie… un topo de l’itinéraire peut-être ? Ou est-ce trop évident pour apparaître ?

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