Il y a aussi un souci dans cette question car pas de possibilité de choix multiples. C’est soit C2C soit Géoportail mais les deux c’est pas envisagé
Besoin de votre retour d'expérience, projet d'étudiants sur la prise de risque en montagne
Pour la csp : puisqu’il n’y a pas, par exemple, « employé » ou « salarié », on a essayé les autres catégories : impossible de valider « sans emploi ». Heureusement que @mollotof a trouvé un job, sans quoi il ne pourrait pas compléter ce questionnaire
Disons que c’est un risque mais pas nécessairement une tendance générale.
Celui qui s’équipe est aussi souvent celui qui a pris conscience du risque et qui ne va pas se contenter de s’équiper mais également va se former.
La mauvaise attitude serait de se croire protéger parce qu’on est équipé, d’y aller avec un AirBag là où on n’irait pas sans, de s’engager dans une pente avec la main sur la poignée plutôt que de renoncer.
Il reste une question : au départ de la rando je constate que j’ai oublié mon ARVA ou qu’il ne fonctionne pas. J’y vais ou pas ? Si je n’y vais pas c’est que je compte sur mon équipement, pas très bon ça.
Pas forcément, c’est aussi une question de responsabilité: avec la « procédurite » actuelle vaut mieux se couvrir . Donc étant donné que j’ai fait des formations pour encadrer en ski de rando, si je suis avec d’autres personnes, j’y vais pas (on pourrait me chercher des noises en cas d’accident, même si je ne suis pas en situation d’encadrement du groupe). Si je suis seule (mais ça fait des années que je ne suis pas partie seule), c’est une autre question.
De toute façon, j’ai commencé le ski de rando sans ARVA/pelle/sonde, sans BRA, sans GPS, sans topo, sans alti, sans boussole, sans carte, sans couteaux, sans portable ni airbag bien sûr, et seule, mais comme le web et les forums n’existaient pas non plus, il n’y avait personne pour me dire que je prenais des risques « insensés » (ce n’était pas du tout mon impression d’ailleurs mais maintenant, avec les forums, je pense que c’est ce qu’on dirait si quelqu’un faisait la même chose).
Bref, la notion même de prise de risque est assez subjective.
P’tit’ étoile.
Tout à fait mais je ne parlais pas de responsabilité et de procédurite mais de bon sens quand on va randonner. En club et en privée je n’ai d’ailleurs pas le même comportement sur des itinéraires sans aucun risque. En club c’est ARVA, pelle et sonde obligatoires, contrôle des ARVA en début de rando et tout ça… dans le privé non.
Tu avais des skis, tout de même ?
Des skis (et des chaussures) de piste (en plus, c’était du matériel de débutant). Les seuls trucs que j’avais acheté pour commencer le ski de rando: les fixations et les peaux (j’ai tout de même acheté assez rapidement des chaussures, car bonjour les pieds en sang après chaque sortie )
Intéressant comme sujet, et pas si horrible que ça le questionnaire !
Même chose pour moi. Tiens, il m’arrive aussi d’être gentil. Non, ce n’est pas si terrible, je trouve.
Oui, je pense que nos amis voulaient parler de risque « socialement acceptable », comme le dirait Munther.
Mais comme dit plus haut, c’est tellement subjectif, cette question me semble effectivement de trop.
Tout le monde a déjà pris un risque dans sa vie, même sans faire des hivernales à 8000 m. La question du curseur est insoluble. Comme le prouve une autre discussion qui a été le théâtre d’échanges très vifs sur ce forum. On prend tous trop de risques pour certaines personnes. Et pas assez pour d’autres. En montagne encore plus qu’ailleurs.
Munter. Ça te plairait qu’on t’appelle POHG ?
Je me roule dans la cendre, c’était ma prof d’allemand qui avait un h à Munther, et j’ai toujours un problème avec ça… surtout quand on sait ce que ça signifie en allemand. Le h (prononcé à la française), pas le Munter.