Pas tant de « qualité » (terme fourre-tout où chacun pourra mettre ce qu’il veut pour signifier « ça ne convient pas totalement à mes besoins perso »), que d’actualité, ou d’échelle, ou de graphisme, ou d’exhaustivité, ou…
C’est peut-être un peu trop demander à une carte topo - actualisée quasiment en continu - que de se substituer à la carte de végétation, aux photos aériennes les plus récentes, au modèle numérique de terrain haute-résolution, aux 3 siècles d’archives cartographiques, aux recueils toponymiques, etc. Il y a forcément des limites résultant de choix et de contraintes (plus que d’une « mauvaise qualité » au sens « travail mal fait ») - le tout est d’en être conscient pour pouvoir chercher ailleurs les informations qui nous manquent. (Mais par contre, il faut évidemment signaler toute information qui manque alors qu’elle doit, en vertu des règles dûment admises, y figurer)