On peut décider que ces sujets seront désormais postés ou déplacés dans les forums discussions.
Mais ça parait difficile de le faire pour le décès d’une personnalité de la montagne.
Se posera alors le dilemne de la frontière à placer.
Rien n’est simple.
Avis de décès : RIP, * , ou commentaires personnels?
comme l’expliquait Kask’ade, ça peut être un moyen de témoigner de son soutien en prenant le temps de rédiger quelque chose de plus complet dans un second temps
[quote=« J.Marc, id: 1210366, post:121, topic:112654 »][/quote]
Ca me fait pensé au débat sur le statut d’invité.
La question est difficile à trancher, mais la décision c’est faite par la force des choses.
Je ne dis pas non plus que c’est LA solution, bien au contraire.
[quote=« Bonoboin, id: 1210370, post:123, topic:112654 »]Ca me fait pensé au débat sur le statut d’invité.
La question est difficile à trancher, mais la décision c’est faite par la force des choses.[/quote]
Non, aucune décision de faite, juste un état provisoire.
L’avenir nous le dira.
Je dis ça sans malice ni bravade.
Je dirais qu’une fois la personne inhumée / incinérée, ce n’est plus une Actualités. On peut donc vite / immédiatement déplacer ces sujets.
This post was flagged by the community and is temporarily hidden.
C’est curieux, chez les alpinistes, ce besoin de faire des phrases.
quand une personne chère est décédée? J’trouve pas ça curieux moi. Courageux plutôt.
.
S’il était possible de mettre une photo du disparu au 1er post, cela ajouterait un peu d’humanité pour la nouvelle. exemple Jean-Cédric Walmetz
Je suis assez d’accord mais ce n’est pas la première fois qu’on voit naître cet affrontement étoile/commentaire.
Personnellement, je compare ceci à un enterrement:
Il y a ceux qui savent trouver les mots, qui savent les exprimer et qui le font, pour réconforter la famille endeuillée; et il y a ceux qui, non sans ressentir moins de compassion ou être moins touchés, ne vont pas réussir à mettre des mots là-dessus.
Parce que ce n’est pas facile à faire, parce qu’on a parfois peurs d’être maladroits… Mais ils sont malgré tout présent, et leur présence réconforte.
C’est pour moi exactement le même principe ici.