Posté en tant qu’invité par bart:
Pitié pas ça ölïvïër!
Posté en tant qu’invité par bart:
Pitié pas ça ölïvïër!
Posté en tant qu’invité par ölivier:
ok bärtöünët
Posté en tant qu’invité par Francois:
Evidemment que cette méthode est discutable. Toutes les méthodes sont discutables vu qu’il n’existe pas de méthode fiable pour la prévision des avalanches. Elles ont néanmoins le mérite d’exister.
Je pense que toutes ces méthodes doivent être connues car, même si elles sont plus ou moins empiriques et approximatives, elles obligent à prendre en compte un grand nombre de paramètres (dont certains n’ont à priori pas grand chose à voir avec la neige) et à réfléchir sur la situation.
Je pense également que la démarche du skieur de rando n’est pas la même que celle du nivologue. Le nivologue part d’un certain nombre de cas particuliers et de mesures pour élaborer une « loi générale » (le risque au niveau d’un massif) alors que le skieur de rando fait le contraire: extraire une information particulière (le risque au niveau d’une pente bien déterminée: celle où il se trouve) d’une « loi générale » (le risque au niveau du massif). Donc il semble difficile que le nivologue et le skieur utilisent les mêmes méthodes ou, du moins, les utilisent de la même manière.
Posté en tant qu’invité par julien:
je suis bien d’accord…
Posté en tant qu’invité par julien:
n’oublions pas que le Nivo test de Bolo est aussi basé sur une approche statistique…
Je pense que Marc a bien resumé l’approche de Munter. Pour l’instant, les modeles de prevision a base statistique (partiellement) sont les plus fiables non? (Avalog par ex.)
Posté en tant qu’invité par julien:
Juste et comme le dit Munter
« L’avalanche ne sait pas, elle, que tu es un expert! »
Posté en tant qu’invité par julien:
de toute facon, ces methode (3x3 ou nivo test) ne sont pas des formules magiques. Ca fait juste reflechir sur plusieurs point. apres a toi de decider…
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Plus fiables que quoi pour savoir quoi?
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Je ne doute pas de l’aspect pédagogique de ces méthodes. Je les utilise sans le savoir car leurs données sont ancrées en moi à cause de mon métier.
Je pense que l’on doit pouvoir gérer plus finement le risque, avec des connaissances et de l’expérience, en analysant la neige en surface et surtout en profondeur en complément de ces méthodes.
Concernant le Nivotest de Robert Bolgnesi, je voudrais signaler que je ne suis pas d’accord avec l’augmentation du risque qu’il indique lorsqu’il a plu dans les deux derniers jours (si je me souviens bien). J’indiquerais le contraire.
Posté en tant qu’invité par catherine:
Oncle Bill a écrit:
Concernant le Nivotest de Robert Bolgnesi, je voudrais
signaler que je ne suis pas d’accord avec l’augmentation du
risque qu’il indique lorsqu’il a plu dans les deux derniers
jours (si je me souviens bien). J’indiquerais le contraire.
Oui, il y a des cas où ça stabilise super bien le manteau qu’il ait plu.
Bolognesi met aussi une augmentation de +2 pour neige mouillée : là aussi, ça se discute !
Par contre, Bill, d’autres fois, la pluie pourrit complètement le manteau neigeux et s’il n’y a pas de regel le danger peut-il subsister 2 jours ? il me semble que oui : j’ai faux ?
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Certes, en cas de forte pluie il risque d’y avoir ensuite persistance de quelques avalanches de vieille neige humide (surtout plaques de fond, mais ça dépend aussi d’autres paramètres comme la température et la couverture nuageuse après la pluie) mais le plus grand danger pour les skieurs, c’est quand même les plaques de neige sèche, qui sont neutralisées ou disparaissent après la pluie (sauf si ça n’est qu’une minuscule pluie bien sûr), donc le danger a plutôt tendance à diminuer (sauf pendant la pluie).
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Revenons à la question de départ : Faut-il, dans les comptes-rendus de courses, indiquer comment on estime la stabilité du manteau neigeux? Je réponds oui mais il faut argumenter (neige regelée portante, tracé de partout, etc.), ce n’est pas parce qu’on a pas déclenché d’avalanche que c’est stable. Sinon, quel crédit donner à une sensation de quelqu’un qu’on ne connaît pas? Autant ne rien mettre. Certes il a été dit que c’est à chacun de trier l’information, mais tout le monde ne le fera pas.
On peut argumenter par l’observation de la neige en surface, l’activité avalancheuse observée, quelques observations en profondeur (je persiste). Les statistiques ne seront d’aucune aide, par contre les méthodes comme celles de réduction ou le Nivotest pourront être une aide à l’observation.
Posté en tant qu’invité par julien:
que tous les pseudo modeles ebauchés sur des bases physiques (modeles deterministes, numérique) qui tente de prevoir le danger d’avalanche. Modeliser le comportement de la neige au niveau d’une petite zone par des lois physiques demande la connaissance de bcp trop de parametres et est donc inutilisable.
Pour le CEN, je sais pas comment ils procedent (j’ai un peu ce qui fait par la bas) mais en suisse, entre le modele de Bolognesi et celui developé au SLF c’est des modeles de prevision du risque a base satistique. pour la previ globale (BNA suisse, c’est different, ils se basent sur toutes ces observations faites par les sations IMIS et les services des pistes…, j’imagine que c’est idem pour le CEN).
Posté en tant qu’invité par toni:
Bon idee!
A mon avis, comme dans la question des trous, il ne faut pas appliquer la reciprocite ->
Pour les informations de la neige, je trouve la meme chose. De dire que c’est sure je ne ferai dans des cas rare (pas ex. printemps, regel, dune etc).
Mais ce que je dirait c’est les signes comme « accumulations importantes », « 20cm neige fraiche », « woums », « avalanches spontanes », etc. Je crois c’est deja bien applique pour le moment.
Salutations et bon WE
/Toni
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Je pense qu’il n’y a pas grand monde qui fait de la prévision locale du risque d’avalanche.
Pour la prévi globale, faite par les centres départementaux de Météo-France, on utilise :
Le risque global ne sort donc pas d’un modèle même si un modèle est plus ou moins utilisé (selon la situation).
Sur le terrain, face à une pente, il faut se débrouiller en comparant la prévi globale aux observations du terrain. Avec des connaissances, je pense que c’est plus efficace qu’une méthode purement statistique.