Posté en tant qu’invité par Valério:
je reprends une réponse que j’ai faite hier concernant le civisme aux pieds des écoles d’escalades… digression du sujet de seynes
car il m’est arrivé de vilipander de gens qui a moins de 5 m de la falaises arrosaient généreusement la garrigue ou le marquis gardois prétextant une envie pressante (mais bonne mère avé le soleil qui tape ça pue cette affaire très rapidos
ils me regardaient comme un drôle de terrien l’air de dire " ben voui où veux tu que j’aille "
à contrario
faut dire à leur décharge que les femmes s’isolent plutôt deux fois qu’une et ce sont bien les mecs les crados dans l’histoire
donc
"Bruno a écrit :
Au sujet du PQ brulé … il y a qq années en Grèce un adepte de cette pratique faussement écologique (car les étrons et le pQ sont certes vilains … mais pas polluants) a mis le feuu à toute une région et a passé pas mal de temps en prison!
tiens Bruno !
voici ma réponse et la solution de toilettes séches
il y a la lecture de « comment chier dans les bois » de kathleen Meyer(Edimontagne 2001)
pour une approche environnementale d’un art perdu
en gros mon colon
il suffit de creuser une tranchée à Seynes où ailleurs!!! de 20 m minimum de long 25 cm de profondeur et 30 cm de large et chacun après son offrande recouvre son chef d’oeuvre de terre et le tour est joué
c’est pas si chiadé que ça… car " pour chier droit, on a pas besoin de tortiller du cul " (dixit l’avocat Vergès )
finalement la mairie avec un emploie jeune prépare le terrain et les grimpeurs nourrissent la terre gracieusement
elle est pas belle la vie