Posté en tant qu’invité par J.Marc:
S’il m’arrive de ne pas mettre d’autobloquant pour une couenne de 10/15m - j’ai tort, je sais - ce n’est évidemment pas parce que j’envisage positivement une chute de cette hauteur ! Mais je me fais alors assurer par quelqu’un au sol qui tient le rappel ; c’est efficace en site asceptisé (pas de chute de cailloux), mais je pense qu’une telle assurance devient illusoire au delà de 20m (élasticité de la corde et difficulté de communication avec l’assureur).
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Sauf si le grimpeur est nettement plus lourd que l’assureur (au moins 25kg de +), il vaut mieux rester libre de ses mouvements : pouvoir dynamiser (on rallonge la chute pour que le choc soit plus élastique) ou au contraire sécher au plus court en cas de risque de chute au sol ou sur une vire ; et pour se faire, il faut pouvoir avancer ou reculer.
Pour éviter une projection violente sur la paroi, et dans le même temps une rallonge trop importante de la chute, il suffit d’être à 1 m de l’aplomb du grimpeur (juste en dessous, c’est pas top, parce qu’en cas de vol après le premier ou le deuxème point, on a toutes les chances de se prendre ses pieds sur la tête (avec risque de lâcher l’assurance); donc en léger décalage, et de côté, et en retrait.