Attitudes entre grimpeurs en falaise

Salut à tous,

Je me suis remis en club cette année et ca se passe super bien, j’avoue que je suis toujours impressionné par la qualité des rencontres et des liens que ca crée. Peut-être je suis bien tombé, en tout cas je ne compte plus les personnes vraiment chouettes que j’ai rencontré par l’escalade :blush:

En même temps je vois parfois certaines attitudes a l’extérieur. J’ai passé pas mal de temps a l’étranger, la-bas une sortie en falaise quand on croise d’autres grimpeurs c’est aussi l’occasion d’échanger, faire des rencontres, voire boire un coup. Ici je vois des trucs parfois … Un coin un peu connu, dès qu’il y a un peu de monde ca devient vite la foire d’empoigne. Alors ok on se gène un peu, il y a un peu d’attente pour faire la jolie voie … Mais de la à venir dans sa bulle, voir les autres comme une nuisance et complètement ignorer tout ceux qui ne font pas partie du groupe même quand on se croise et quelqu’un vous dit bonjour, humainement ca pose question !

Peut-être c’est moi qui n’ait plus les codes, en tout cas ca me fait toujours bizarre de retrouver ca dans le monde de l’escalade. Pour ceux qui ont grimpé à l’étranger, vous avez eu des expériences similaires ?

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Bonjour, je pense que c’est simplement le reflet de la société actuelle, les grimpeurs ne sont pas mieux que le reste de la population ( on croit toujours que les gens qui pratiquent la même activité que nous sont vachement sympa), va en grande voie pour voir la course à la pôle position durant la marche d’approche…
C’est la même chose en trail, rando, alpinisme, avant il y avait encore le prétexte de la recherche d’info (topo, itinéraire) pour engager un échange, maintenant c’est en ligne…
Perso, les anglo-saxons rencontrés en montagne étaient beaucoup plus causants que les français

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Ben par moi, en general, ça se passe bien.
Je me suis acroché une seule fois avec un groupe de 5 potes où y’en avait qu’un qui grimpait en tête et qui mettait des moules pour ses potes, chacun voulant faire toutes les voies, et qui, en plus, laissait des cordes et des dégaines dans des voies où personne ne grimpait. Dans un site bien frequenté ou un club avec des jeunes et deux encadrants utilisait déjà complètement l’autre secteur facile et non patiné.